Adeline fête sa première crémaillère

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La soirée tant attendue arrivait enfin. La liste des invités avait fait l'objet d'une attention particulière de la part de Sybille. Il ne s'agissait pas d'avoir une brebis galeuse dans le lot. Mais elle fut assez fière de ses amies, spécialement Adeline, qui avait réussi à faire venir le couple de porn stars et le riche politicien qui souhaitait rouvrir les maisons closes.

Le récit d'Adeline avait non seulement déclenché des envies chez toutes ses amies, suivies d'actes et d'orgasmes à la chaîne, mais avait aussi attisé l'imagination de Sybille. Elle n'était pas sans connaître le pouvoir que pouvait exercer une patronne de bordel dans le temps. À l'époque, il ne s'agissait que de miettes, mais pour Sybille, l'ouverture d'un établissement de ce genre ne pourrait être qu'un accès direct aux arcanes du pouvoir.

La présence de Monsieur Pierre Gaspard et du couple le plus chaud du pays ne pouvait que mettre Sybille en ébullition. Soixante-trois personnes seraient présentes, en comptant Truc. Leïla n'avait pas été en reste, même si Adeline avait fait fort. Rien de moins que le fils du Ministre de l'Intérieur, connu pour ses frasques et qui avait dû être écarté le plus possible des médias, en se rendant dans une faculté de province où il devait se faire oublier. Mais Leïla, elle, l'avait repéré dès le premier jour. Elle n'avait pas eu besoin de forcer les choses avec lui. Ses charmes naturels, et sa tendance à lui de vouloir sauter tout ce qui bouge, avait été suffisant. La grande surprise avait été que la belle-mère du jeune homme - âgée de seulement 7 ans de plus que lui - avait elle aussi succombé aux charmes de Leïla... devant le regard attentif dudit beau-fils. Qu'il était jouissif, depuis ce récit, d'entendre les discours enthousiastes du Ministre sur l'obéissance civile, et le respect des valeurs - catholiques - du pays! La seule chose que Leïla ne savait pas encore, c'était si le Ministre était au courant des pratiques pas très catholiques de sa nouvelle femme.

Les autres Sardanapales s'étaient plutôt centrées sur les grandes fortunes de la région. Shana et Moira étaient toutes deux officieusement en couple avec des héritiers de la grande distribution et de l'agroalimentaire. Jade avait mis le grappin sur un couple libertin qui étaient dans le prêt-à-porter de luxe, et Louise s'était découvert une idylle avec Géraldine Baxter, fille de Sir Baxter, qui était simplement riche depuis plusieurs générations et qui savait exactement où placer son argent pour qu'il lui en rapporte sans avoir à tenir en laisse un Conseil d'Administration quelconque.

Tous ces gens seraient présent, ainsi qu'une tripotée d'étudiants et étudiantes triées sur le volet, soit pour leur physique, soit pour leur attirance pour les pratiques dites déviantes du sexe... souvent pour les deux à la fois. L'accueil par Truc nu avec juste un string et un gag ball allait donner le ton de la soirée.

Sûrement que certains et certaines ne seraient pas à l'aise dans cette ambiance. Peut-être même qu'une petite partie ne viendrait pas. Le carton d'invitation précisait "Tenue légère exigée", et les Sardanapales avaient respecté le dress code à la lettre. Adeline semblait avoir déniché peut-être la robe qui serait la plus remarquée de la soirée.E Elle était fendue par devant et par derrière, la dentelle transparente était fine. Son abdomen était serré dans un bustier en cuir qui soutenait mais laissait visible à travers la dentelle ses seins tout ronds, et déjà gonflés de plaisir en accueillant les premiers invités.

Truc fit son effet. Une cage de chasteté, un gode enfoncé dans l'anus, il ne portait qu'une sorte de collier en forme de nœud papillon, laissant apparents sa bedaine et son torse. Beaucoup rirent en le voyant la première fois, d'autres ne surent pas très bien comment réagir, et quelques uns en furent clairement excités.

Adeline passa le début de soirée avec Anthony, qui continuait de l'appeler régulièrement. Pourtant, ce soir, dans l'intimité de la chambre d'Adeline, Anthony semblait vouloir prendre ses distances.

-- Je ne peux pas être amoureux d'une nana qui n'est pas amoureuse de moi et se fait baiser par tout le monde...

-- Tout le monde ne me baise pas, Anthony! Pour qui tu me prends?

-- Tu vois ce que je veux dire, Adeline...

-- Je le vois, oui, dit-elle en souriant en coin. Mais amoureux tu l'es, et si je ne t'aime pas de la même manière, j'aime bien ta queue... et même ton goût. C'est ainsi, Anthony.

-- Et si je tombais amoureux de quelqu'un d'autre? lui demanda-t-il sans grande conviction.

Adeline s'approche de lui, à la fois autoritaire et féline. Anthony était à chaque fois décontenancé lorsqu'elle faisait ça. Tout en elle semblait le pousser à la traiter de petite salope, voire même de sac à foutre - et il était persuadé que ça l'exciterait - et en même temps, il avait peur de le faire. Non pas peur qu'elle le prenne mal et qu'elle soit vexée, mais peur des remontrances si de tels mots sortaient de sa bouche. Assis sur le bord, il sentit la main d'Adeline sur sa queue en même temps que son haleine fruitée:

-- Alors elle devra être partageuse, parce que cette queue est à moi.

-- Oh merde, Adeline... réussit-il seulement à répondre alors qu'avec une habileté déconcertante, elle fit bondir ladite queue de son short.

Il aurait voulu protester, lui dire que même lorsqu'il la culbutait de toutes ses forces en levrette, il se sentait le plus faible des deux, que même lorsqu'il lui tirait les cheveux pour la cambrer sur son pieu, c'est lui qui se sentait jouet sexuel. Il aurait aimé lui dire comme il se sentait humilié, même en cet instant, comme leur relation faisait de lui l'inverse exactement de ce qu'il avait toujours imaginé être un homme. Malgré ses envies de se défaire de toutes ces normes, ces codes, inventés de toute pièce pour diriger les pensées des membres d'une société qui filait droit dans le mur, il ne pouvait s'empêcher de penser qu'un homme était viril et dominant. Chose qu'il n'avait senti qu'une fois, avec Adeline. Mais c'était dans la cave, et ce n'était pas vraiment lorsque lui était aux commandes qu'il l'avait sentie soumise. Avec le recul, il avait même compris qu'elle avait mené la danse du début à la fin.

C'était elle la dominante, même en ce moment, alors qu'elle enfournait sa queue dans sa gorge jusqu'à serrer les dents sur sa garde tout en pressant ses couilles.

-- Putain... dit-il dans un soupir qui signait sa défaite.

Une fois de plus, il cédait. Une fois de plus, il dut se l'avouer, jusqu'au moment où lui reviendraient les normes: il adorait qu'elle le domine. Et même la frustration était un délice. Parce qu'il lui sourit, quand après quelques va-et-vient, elle rangea sa queue en lui demandant de rejoindre les invités, prétextant qu'elle devait être là pour accueillir les derniers arrivants. Anthony dut sortir avec le short tendu, la forme de son érection marquée sur le tissu. Et il dut encore se l'avouer: c'était bon, délicieux, tellement excitant que tout le monde voit l'état dans lequel Adeline l'avait mis... même si c'était aussi très humiliant.

La soirée battait son plein, Truc était débordé de travail à abreuver les invités, recevait sa dose de fessées et d'humiliations, les corps commençaient à s'échauffer en dansant, l'alcool faisant son œuvre dans les plus hésitants. C'est le moment que choisit Shana pour annoncer sa surprise. En fait, elle avait été préparée par elle et Leïla. Elle prirent le micro et dans un chaos de rires et de sifflets enthousiastes, la porte s'ouvrit et laissa entrer sept hommes. Ils étaient grands, forts, torse nu, les muscles saillants. À tous, la peau était d'ébène, les épaules larges comme trois fois celles d'Adeline, songea-t-elle. Leur sourire en disait long sur leur plaisir à se retrouver là, leur torse et leurs fesses déjà assaillis de mains féminines avides d'en avoir plus. Shana vint enlacer Adeline par derrière, embrassant sa nuque tout en lui précisant:

-- On ne les a pas choisis que pour la taille de leurs muscles, ma chérie. Ce ne sont pas des queues, mais des monstres. Et endurants comme tu n'imagines pas.

Sybille profita du moment pour elle aussi prendre le micro. Dans sa robe au décolleté à en réveiller les morts qui mettait pourtant ses jambes en valeur ainsi que la forme parfaite de ses fesses, il ne lui fallut pas longtemps pour faire taire tout le monde:

-- Tout d'abord, je tiens à remercier chacune et chacun d'entre vous d'avoir répondu présente à l'appel des Sardanapales pour cette soirée. Chacune d'elle aura un de ces beaux mâles qui viennent d'arriver pour elle. Approchez-vous, messieurs... Veuillez vous aligner devant moi. Elles vont vous choisir. Celui qui restera sera à moi.

Il y eut des éclats de viva, quelques applaudissements, malgré la jalousie clairement visible chez d'autres femmes.

-- Rassurez-vous, mesdemoiselles et mesdames. Les Sardanapales sont partageuses!

De bons éclats de rire suivirent cette déclaration et Sybille savait très bien qu'il s'agissait aussi de soulagement. Elle sourit en coin, survolant l'assemblée du regard, avant de continuer.

-- Profitez de la soirée, mettez-vous à votre aise, où et avec qui bon vous semble! Truc est à votre disposition pour tout ce que vous voulez... Mesdames, les godes-ceintures se trouvent dans le tiroir de la table basse!

L'auditoire s'esclaffa, et Truc se fit tout petit, derrière le bar américain. Un groupe d'étudiantes qui se trouvait justement sur le canapé ouvrit le tiroir et commença à s'amuser avec les jouets en gloussant.P Pendant ce temps, les six amies de Sybille s'étaient déjà approprié chacune son étalon, goûtant déjà à leur bouche ou à leur torse puissant.

-- Vous êtes nos invités, continua-t-elle. Et à peu près tout est permis, ce soir. Les Sardanapales ne sont pas que luxe et volupté. Les Sardanapales dictent leurs règles et en tant que souveraine des Sardanapales, je proclame que pour la remercier de tout ce qu'elle a accompli pour nous jusqu'ici, Adeline ici présente recevra le foutre de chaque homme présent. D'une manière ou d'une autre, ajouta-t-elle avec un petit ricanement.

Cette annonce fut suivie d'une petite seconde d'étonnement général. Adeline devient rouge pivoine et sentit tous les regards tournés sur elle. Ses amies furent les premières à sortir de leur torpeur en lâchant des cris aigus de joie et en venant l'embraser à pleine bouche. Sybille fut acclamée par l'ensemble des invités et la musique reprit, finissant d'enflammer les corps que ce petit laïus avait allumés.

Adeline, suivie des cinq autres, vint embrasser à pleine bouche celle qui venait de s'autoproclamer comme leur souveraine. Rapidement, les sept hommes furent déshabillés et chacune à sa manière les firent durcir tout en dansant. Les Sardanapales lançaient les festivités et quelques couples s'enlaçaient déjà, aidant à faire monter la température dans le loft qui était en train de devenir le plus chaud et mythique de la ville. La DJ elle-même donna du sien en retirant petit à petit le moindre bout de tissu qui la couvrait.

Sybille laissa ses amies pour se diriger vers Truc déjà aux prises avec deux femmes qui riaient en le caressant malgré sa cage. Adeline, elle, alla rejoindre ses invités spéciaux: Monsieur Gaspard, Gaël et Saori. L'adjoint était venu accompagné et les deux femmes lorgnèrent sur le membre incroyablement énorme de Moussa, celui qu'elle avait choisi pour la soirée, et qui n'était déjà plus habillé que d'une sacoche sur sa hanche droite, où Sasha avait glissé une poignée de préservatifs apparemment à sa taille.

Saori ne se priva pas. Elle posa directement les mains sur ce pieu. Elle emprisonna la chair dans la première, sur la garde de l'homme qui lui souriait en coin.

-- Je ne fais même pas le tour, dit-elle d'un air rêveur.

-- Attendez que je durcisse pour de bon, lui lança-t-il non sans fierté.

Saori ricana et serra sa deuxième main à la suite de l'autre. D'un signe de tête, l'invitée de Monsieur Gaspard la rejoignit et mit une de ses mains à la suite.

-- Et on voit encore son gros gland...

-- Saori, Valérie, faites-vous plaisir! s'exclama Adeline.

La blonde qui accompagnait Monsieur Gaspard sembla lui demander son autorisation. Adeline l'examina un peu plus. Monsieur Gaspard hocha simplement la tête et Adeline remarqua aussitôt qu'elle savait y faire. Rapidement à genoux, elle engouffra à peine plus que le gland du bel éphèbe avant d'être bloquée. Elle avait les cheveux colorés, une poitrine opulente, sûrement refaite. Et à voir comme elle se mettait à sucer Moussa, il n'y eut aucun doute pour Adeline: Valérie était une escorte. Cela la fit sourire, et elle la regarda faire avec un intérêt presque professionnel, se demandant déjà si elle ferait l'affaire dans leur future maison close.

Elle était en véritable admiration devant les deux femmes, l'une aspirant le gland le plus énorme qu'elle n'ait jamais vu, l'autre ayant encore la place de passer sa langue sur presque toute sa longueur, tout en lui malaxant ses bourses pleine d'un foutre qui lui revenait de droit. La scène était tellement prenante qu'elle ne vit pas l'homme l'approcher par derrière. Elle sentit juste sa robe se relever et un liquide chaud et gluant asperger ses fesses. Lorsqu'elle se retourna, un peu surprise en voyant un jeune étudiant, le sexe encore palpitant dans la main, celui-ci lui sourit de toutes ses dents:

-- Je voulais être le premier... Tu ne me connais pas, mais on est la même promo. Je m'appelle Fred.

-- Alors merci, Fred. J'espère juste que tu pourras continuer de profiter de la soirée!

-- Ne t'en fais pas pour moi, Adeline! s'exclama-t-il en riant, tout en retournant auprès de ses amis.

Ce n'est qu'à ce moment qu'Adeline se rendit compte que la soirée avait pris un autre tournant. Les hommes commençaient déjà à s'emboîter dans les femmes. Un peu plus loin, Truc était attaché sur la table basse, sur le ventre, et suçait l'éphèbe de Sybille pendant qu'une rousse armée d'un gode-ceinture lui limait l'anus en riant, tout en lui claquant les fesses. D'autres femmes s'enlaçaient dans le canapé, les chambres avaient été prises d'assaut par des petits groupes. Adeline était trempée et Gaël dut le sentir car il glissa sa main entre ses cuisses.

-- Cette fois, c'est moi qui choisirai où me vider les couilles.

-- Même si je vous dis que j'aimerais beaucoup avoir votre goût dans ma bouche? lui demanda-t-elle tout en écartant sensiblement ses cuisses.

-- Il est possible, alors, que je cède à ta demande... ou pas! ajouta-t-il en riant, les doigts massant son clitoris déjà bien gonflé.

Près d'eux, Moussa relevait la jupe de Saori et la penchait doucement en avant pour l'ouvrir de son pieu maintenant dur comme la pierre. Appuyée sur Valérie, Saori grimaça avant de réussir à accueillir cette largeur en elle. À peine eut-il empalé le tiers de sa queue qu'il fut bloqué et entamant de doux va-et-vient qui pourtant firent naître des râles de douleur dans la gorge de la belle Saori.

Non loin, elle vit Anthony traîner, les yeux rivés sur la main qui la caressait avec une certaine jalousie. Elle lui fit signe d'approcher et il le fit, timidement. Elle n'eut pourtant pas le temps de lui adresser la parole qu'un nouvel homme s'approcha, accompagné d'une femme mature, aux seins pendants et aux hanches larges. Avec sa bedaine, il se plaça près d'elle, demandant d'une voix chevrotante d'appréhension où il pouvait jouir.

-- Mes pieds, répondit-elle sur un ton hautain.

L'homme se mit à genoux, sa femme visiblement aux anges. Et il ne lui fallut pas bien longtemps pour gicler son jus sur les pieds d'Adeline qui semblait l'avoir déjà oublié.

-- Anthony, je te présente Gaël, un nouvel ami. Je suis sûre que tu l'as déjà vu quelque part!

-- Heu... Enchanté, dit-il timidement.

-- Salut, répondit simplement Gaël tout en fourrant deux doigts tendus dans l'antre d'Adeline.

Pendant ce temps, Monsieur Gaspard ne restait simple spectateur. À genoux, la tête sous la robe de Valérie, il semblait prendre un grand plaisir alors que les deux femmes s'embrassaient à pleine bouche au rythme des coups de boutoir de Moussa qui faisait couiner Saori, lui écartant les chairs comme rarement.

-- Anthony est un régulier, dit Adeline à Gaël dans un souffle qui transpirait le plaisir montant. Anthony, tu connais Gaël et Saori, n'est-ce pas?

-- Oui, je... je les ai déjà vus, dit-il en devenant pivoine.

-- Gaël... Seriez-vous d'accord qu'Anthony réalise un fantasme avec Saori?

L'homme retira ses doigts et les lécha en regardant sa femme se faire prendre par le jeune noir, puis détourna son regard sur Anthony.

-- Tu lui prendras le cul, sinon, j'ai bien peur que tu ne sentes pas grand-chose, après le passage de ce braquemart!

Anthony en resta bouche bée, les yeux rivés sur la belle Saori qui lui souriait. Il était clair pour Adeline qu'il s'était déjà branlé sur elle, tout comme elle. Il allait pouvoir baiser l'une des plus belles stars du porno. Pendant ce temps, Adeline prit la main de Gaël et l'attira avec elle jusqu'au salon, où Truc continuait de se faire sodomiser par les femmes. Sur le canapé, les corps se mêlaient sans ordre, la piste de danse était emplie de corps nus. Sur le chemin, elle reçut de la main d'une femme le préservatif rempli de sperme. Celle-ci le vida dans son décolleté, tout en lui déposant un baiser. Ce n'est qu'une fois arrivée près de Sybille qui poussait la queue de son éphèbe dans la gorge de Sasha sans ménagement qu'elle remarqua que Monsieur Gaspard et Valérie les avaient suivis.

-- Adeline, ma chérie! s'exclama Sybille, visiblement ravie de voir que les hommes jouaient le jeu et avaient déjà commencé à l'arroser. Installe-toi dans le fauteuil! Leïla, laisse la place à Adeline. Elle ne bougera plus de là jusqu'à ce que chaque homme lui ait offert son foutre!

Leïla se leva difficilement, venant embrasser son amie tout en tirant son homme de la soirée par la queue comme s'il s'agissait d'une laisse. Adeline s'y installa telle une princesse, après avoir retiré sa robe, et alors que Gaël enfouissait sa tête entre ses cuisses, elle se vit entourée d'hommes à la queue prête à exploser. Elle se mit à sucer et branler, sans savoir à qui appartenaient ces membres qui lui giclèrent sur le visage, sur sa poitrine. Son corps était souillé, et elle devait bien admettre que cela l'excitait énormément.

Une jambe sur chaque accoudoir, la voilà qui donnait de la voix, ajoutant la sienne à l'ambiance générale. Truc avait un moment de repos, étalé sur la table basse, Leïla se faisait défoncer par son étalon à même le sol, alors que celui de Sybille était offert à qui le désirait, faisant jouir les femmes à la chaîne en un rien de temps. Elle vit d'ailleurs Moussa revenir vers elle, précisant qu'Anthony et Saori étaient allés dans la salle de bain.

-- Arrose-moi de ton foutre, lui dit Adeline en gémissant de plaisir. Pendant qu'il me baise. Et tu me baiseras ensuite!

Moussa et Gaël ne se firent prier ni l'un ni l'autre. Le noir grimpa sur elle et lui présenta son énorme pieu à la bouche, pendant que l'autre se défaisait de ses vêtements et enfilait une capote pour, frénétiquement, limer la chatte d'Adeline qui ruisselait d'envie de sentir un membre viril lui écarter les chairs. Et entre Gaël qui la besognait avec énergie et Moussa qui grognait de plaisir en poussant son organe démesuré au fond de sa gorge, Adeline se contractait violemment de partout à chaque haut-le-cœur, pour le plus grand plaisir de Gaël.

Près d'elle, elle voyait Monsieur Gaspard avec sa blonde. Celle-ci était à genoux et le branlait énergiquement tout en lui léchant l'anus, alors qu'il avait le regard braqué sur Adeline. Elle lui sourit malgré les larmes qui coulaient et son souffle court. Elle reçut une nouvelle giclée sur le coin de l’œil et Moussa lui-même la nettoya. Il s'astiquait maintenant devant elle, visiblement prêt à lui offrir ce qu'elle espérait devenir une douche de foutre. Gaël s'activait comme un dératé, sentant sûrement l'excitation d'Adeline à son paroxysme, ses chairs contractées de plus en plus violemment sur son pieu qui lui percutait le fond du vagin comme rarement on l'avait cogné.

Il put voir avec délice la belle Adeline se répandre sur le fauteuil alors que Moussa se vidait les couilles à grands râles sur le visage de la luxurieuse brune qui criait son plaisir. Lorsque Moussa se mit sur le côté du fauteuil, Gaël vit le résultat: il avait inondé ses seins et terminé sur son visage. Adeline haletait, le corps flasque. Il retirait déjà le plastique autour de son membre et elle lui fit signe d'approcher, ouvrant déjà la bouche. Elle n'eut qu'à suçoter son gland turgescent pour récolter son dû, le jus de cet homme qu'elle sentait de plus en plus à sa merci. Il se répandit dans sa bouche alors qu'elle glissait un doigt dans la raie de ses fesses et écarta son œillet de sa première phalange, augmentant la puissance de son orgasme.

Elle sentit une giclée sur son ventre mais n'y fit pas attention. Elle levait les yeux sur celui qui avait l'honneur de finir dans sa bouche, s'appliquait de le vider jusqu'à la dernière goutte en pressant encore un peu plus son doigt en lui. Elle n'eut toutefois pas le loisir d'aller jusqu'au bout. Moussa avait déjà enfilé un préservatif et poussait son gland énorme contre sa chatte devenue très sensible. Ses chairs s'ouvrirent pourtant facilement, dans un cri de douleur qui lui fit exorbiter les yeux. Alors que Gaël se retirait en souriant et qu'elle avalait difficilement son foutre, elle vit de nouveau trois queues apparaître devant son visage. Elle ferma les yeux, sous la douleur que lui provoquait les assauts de Moussa, qui ne tarda pas à cogner avec férocité au fond de son con.

Le sperme gicla sur elle alors qu'elle perdait toute notion de temps et d'espace. Son vagin n'avait jamais été aussi ouvert, aussi dégoulinant. Ce membre la faisait jouir en continu. Chaque coup de reins l'emplissait de messages contradictoires, mêlés de douleur et de plaisir aussi intenses l'un que l'autre. Tout semblait comme un rêve. Les voix, les gémissements s'embrouillaient avec la musique. Comme spectatrice lointaine, elle voyait Truc se faire prendre par deux femmes à la fois, hilares, pendant que Sybille l'embrassait à pleine bouche pour l'encourager. C'est le retour d'Anthony qui la fit revenir un peu à elle.

-- Toi, tu jouis dans mon cul, lança-t-elle en remarquant que Saori le tirait jusqu'à elle par le sexe.

Moussa se retira aussitôt, râlant un peu de frustration. Anthony prit sa place, timidement, mais la pénétra d'un coup sec, après avoir étalé seulement un peu de bave sur son œillet. Si elle réussit à se décontracter comme il fallait pour le laisser se planter en elle, tous ses muscles se contractèrent d'eux-mêmes lorsqu'elle se sentit remplie ainsi, avec l'impression d'avoir encore Moussa dans son vagin écartelé. Anthony se délesta aussitôt d'une quantité qui sembla impressionnante à Adeline. Il plaqua ses jambes contre son torse et lui mordit les mollets. Il savait qu'elle aimait ça et ce ne fut pas la première fois qu'il lui laissa la marque de ses dents sur sa peau.

Pendant ce temps, Saori et Valérie s'étaient penchées sur le fauteuil, prises en levrette respectivement par Gaël et Monsieur Gaspard. Elles lui souriaient, en profitaient l'une comme l'autre pour récupérer un peu de jus sur son visage d'une langue impudique. Moussa reprit rapidement sa place, et le petit intermède prit fin. Adeline hurlait son plaisir, ruisselait de sperme, de cyprine et de sueur alors que le beau black la démontait en règle. Elle n'était plus qu'une chatte, un trou dans lequel il se branlait pour se vider les couilles pendantes qui claquaient contre elle.

Alors qu'elle se demandait si elle allait pouvoir supporter les assauts répétés de Moussa, elle distingua comme derrière un voile des hommes faire la queue pour lui jouir dessus. Elle ne savait dire combien ils étaient, mais elle eut l'impression de recevoir des litres de foutre sur le corps, ou sur le visage. Les yeux fermés, elle subissait et écoutait. La musique était forte, mais elle réussit à entendre chaque gémissement, chaque cri de plaisir, chaque râle qui accompagnait le rythme endiablé mené par la DJ. Elle ne sentit même pas tout de suite la différence lorsque le beau black se retira d'elle pour éjaculer sur son minou délicieusement disloqué. Elle ouvrit les yeux pour voir des flots épais et blanchâtres jaillir de ce pieu inouï.

Cette simple vision la fit jouir de plus belle, haletant comme si elle venait de manquer se noyer. Mais elle n'eut pas le temps de s'en remettre comme elle aurait voulu. Valérie se pencha sur elle et lui fit ouvrir grand la bouche alors que Monsieur Gaspard approchait, le sexe palpitant, prêt à exploser. Il ne lui en fallut pas plus pour retrouver toute sa tête. Il s'agissait, pour elle, de l'homme le plus important de la soirée, celui par qui tout devrait commencer. Elle se défit de la prise de Valérie et attrapa elle-même la queue tendue vers sa bouche. Elle en oublia tout ce sperme sur elle, tous ces hommes qui avaient déversé leur foutre sur sa peau. Il n'y avait plus que lui... et ses projets pour les Sardanapales.

-- C'est mon foutre, lui dit-elle en le branlant énergiquement. Je le veux au fond de la gorge.

Ce disant, elle glissa une main sur ses bourses, puis son périnée, avant d'enfoncer un doigt fin dans son anus, tout en aspirant son gland, sa verge, jusqu'à étouffer, les dents plantées sur sa garde, le nez dans son bas-ventre. L'homme ne résista pas un instant. Dans un râle puissant, il inonda sa gorge de sperme chaud et épais, qui la fit tousser. Pourtant, elle continua de pomper, comme si sa vie en dépendait. Il avait déjà joui, mais elle le suçait encore avec l'énergie du désespoir, pourrait-on dire. Il s'agissait pourtant bien plutôt de celle de l'espoir.

Continuant de le doigter, elle allait et venait le long de son chibre, l'empêchant de se rabougrir, et elle sentait avec un plaisir intense qu'il était à elle. Ses grimaces étaient signe de délice et de douleur. Elle le gardait dur malgré lui. Il était fébrile, à sa merci.

-- Encore... Tu vas m'en donner encore. Je veux tout.

-- Oh... Je...

L'homme politique ne savait plus quoi dire. Les doigts et la bouche de cette jeune femme étaient en train de le faire perdre pied comme jamais. Elle lapait, suçotait, mordait, avalait, le tout sans s'arrêter de faire aller et venir son doigt dans son fondement. Saori couinait près d'eux, alors que son homme jouissait pour la deuxième fois, au plus profond de son amour.

-- Je serai là pour toi, soufflait Adeline à Monsieur Gaspard. Pour vider tes couilles, et persuader tes amis que ton projet est le meilleur. Oh oui, je saurai leur faire comprendre, tu peux me faire confiance.

Pour alors, sa queue avait retrouvé sa dureté, celle du point de non-retour, solide comme la pierre. Un dernier homme s'approcha pour gicler sur son ventre. Truc gisait sur la table, exténué, inerte. Sybille avait remis son plug pour signifier qu'il fallait le laisser tranquille. Ce qu'elle ne vit pas, c'était les sept hommes-objets de la soirée, alignés devant les Sardanapales qui s'affairaient à les faire jouir bientôt. Même Sybille était de la partie, suçant le sien et Moussa pour remplacer Adeline. Mais cette dernière était à son affaire, pompant sauvagement l'homme qui finit par jouir une seconde fois, cette fois sur ses seins.

-- Tu pourras compter sur moi aussi, lui lâcha-t-il avant d'aller trouver un endroit où s'asseoir, accompagné de Valérie.

Dès qu'il s'éloigna, les sept noirs aux membres disproportionnés s'approchèrent et l'entourèrent. Pour Adeline, la soirée se termina dans une douche se foutre, au signal de Sybille. Celle-ci l'emmena prendre une douche et l'invita dans son lit pour le reste de la nuit.

Adeline ne s'en rendait pas tout à fait compte, du fait de la soirée la plus folle de sa vie, mais Sybille était tombée amoureuse, avait enfin trouvé son âme-sœur, celle avec qui elle ferait de grandes, d'énormes choses. Ce fut sûrement pour ça que la Reine des Sardanapales s'endormit la tête sur le sein d'Adeline, un fin sourire aux lèvres, rêvant déjà de pouvoir et de luxure.

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