Adeline fait baisser le loyer

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L'été est toujours propice aux évolutions, quand on a 18 ans. Pour la bande des Sardanapales, c'est un véritable bond qui se produit. Adeline et Sasha avaient participé a entamé la transition qu'attendait Sybille depuis longtemps. La belle Sasha d'ébène n'avait pas hésité un seul instant au défi de Sybille. Il ne lui avait fallu que quelques jours pour, tout comme Adeline, leur montrer une vidéo d'elle, le pieu énorme de son père lui écartant les chairs. Étant plus proche d'Adeline que de n'importe qui d'autre, elle lui avait avoué en avoir rêvé depuis longtemps. En fait, depuis l'an dernier, quand il l'avait surprise dans la salle de bain, à la sortie de sa douche pendant qu'elle se séchait. Cela n'avait duré qu'une seconde ou deux, mais elle n'avait pas pu passer à côté des yeux de son père sur son corps. Par la suite, il était gêné de la regarder, et elle n'était pas dupe: il la trouvait bandante et s'en voulait de penser ça. Pourtant, il arrivait souvent à Sasha de ne mettre son pull qu'une fois sortie de la maison. Même quand il lui faisait la remarque qu'elle n'était pas assez habillée, elle sentait bien à quoi il pensait. Et cela l'excitait.

Alors le défi de Sybille était relativement bien tombé. Elle s'était empalée avec délectation sur les vingt bons centimètres du chibre de son père. Puis elle avait compris ce que Sybille avait recherché dans ce défi. Son père, si fier, si viril, si chef de famille, lui mangeait littéralement dans la main. Elle passait un été sans discussion sur l'heure de rentrée, sur ses choix de faculté. Il prétextait qu'elle était majeure, mais Sasha savait qu'il n'en était rien. Il lui suffisait de poser sa main entre ses cuisses, et elle obtenait ce qu'elle voulait. Depuis, elle ne l'avait sucé qu'une fois, et c'était presque plus pour son plaisir personnel.

L'été avait donc été ponctué de défis lancés par Sybille: Moira s'était occupée de son oncle gendarme; Leïla avait séduit le secrétaire de mairie; Jade, à sa plus grande surprise, avait littéralement dominé le directeur de la fac d'arts; Louise avait réussi le tour de force de rendre dingue son chef de service, lui permettant ainsi de quitter son poste quand bon lui voulait sans aucune conséquence. Sybille, elle, avait visé plus haut, plus précis, plus calculé. Elle n'avait qu'une bouchée du directeur de la banque, celle qui abritait les finances des familles les plus fortunées de la région. "Attaquer directement aux bourses," avait-elle plaisanté en montrant la vidéo, au moment où elle prenait les testicules de l'homme pour les aspirer à l'en faire râler.

Et pour la chef de l'équipe, les choses étaient en place, bien plus tôt que ce qu'elle aurait cru. Alors que chacune se prépare à la rentrée qui se profile, Sybille veut passer à la vitesse supérieure. Et pour ce faire, elles doivent se rassembler. Pas question que chacune ait son appartement, ou même reste chez ses parents. Elles doivent passer un cap, devenir sœurs pour de bon, et vraiment tout partager.

-- On est sept, lui avait précisé Leïla. Je sais qu'en général, la colocation coûte moins cher que d'avoir son propre appart', mais là, je ne suis pas certaine qu'on puisse se payer un truc aussi grand.

-- Crois-tu vraiment que nous sommes faites pour des choses aussi basses que payer un loyer? lui avait rétorqué une Sybille au comble de la joie. Adeline, tu viendras avec moi gérer les détails, mais je crois avoir trouvé ce qu'il nous faut!

Les Sadarnapales le savaient: lorsque Sybille faisait ce genre de mystère, il ne servait à rien de vouloir essayer d'en savoir plus. Alors elles se plient volontiers au jeu de la patience. Elles n'étaient jamais déçues!

Pour le rendez-vous fixé un après-midi orageux et lourd, Adeline s'était habillée dans le style que lui avait demandé son amie: innocente, mais sans sous-vêtements. Elle avait donc opté pour un chemisier à carreaux, style bûcheron, noué sous sa poitrine, pour la gonfler légèrement. Il est vrai que ces dernières semaines, elle avait gagné un bonnet. Elle mettait ça sur le compte d'une croissance non terminée, mais aussi de son dépucelage et d'une activité sexuelle qui se débridait de plus en plus. Elle n'était d'ailleurs pas dupe sur les intentions de Sybille. Toutefois, elle n'avait pas choisi la facilité, pour le bas. Elle aurait pu passer sa jupe d'écolière et n'avoir qu'à la relever au moment où Sybille trouverait opportun de le faire, mais elle avait préféré son short en jean moulant. Anthony lui disait que quand elle le portait, on ne voyait plus que son cul. Et pourtant, il n'était pas si sexy que ça. Il lui tombait à mi-cuisses et elle avait souvent pensé à le découper plus à ras de son entre-jambe, sans jamais avoir pris la paire de ciseaux pour autant. Elle ne regrettait pas, finalement. Un short trop court aurait directement montré leurs intentions. Ainsi habillée, elle pouvait laisser planer le doute... et obliger le propriétaire à défaire ses boutons avant d'avoir accès à son sexe.

Sybille, elle, avait passé un tailleur. Adeline le reconnut tout de suite: il appartenait à la mère de Sybille, et cela la vieillissait légèrement. Mais elle n'en restait pas moins sexy et désirable. Peut-être même encore plus. Serait-ce possible que d'ici quelques années, Sybille devienne encore plus ensorcelante?

Elles sonnèrent ensemble à la porte d'un bâtiment qui semblait énorme. Adeline se demandait combien d'appartement il pouvait contenir. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque ledit propriétaire les fit entrer et qu'elle découvrit qu'il ne s'agissait que d'une habitation! Un loft de plus de 300m2, avec patio intérieur, une énorme cuisine, un salon encore plus démesuré. À l'étage, il y avait quatre chambres, qui pouvaient communiquer entre elles si on le désirait. Chacune était dotée d'une petite salle de bain avec douche, mais au bout du couloir, la grande salle de bain était équipée d'un bain à remous.

-- À six, on a encore un peu de place! s'exclama le propriétaire fier de lui.

Adeline était tellement émerveillée par l'endroit qu'elle ne faisait même pas attention aux regards appuyés du cinquantenaire grisonnant sur ses formes. Elle se voyait déjà vivre avec ses amies ici, organiser de véritables orgies, et puis, pourquoi ne pas devenir ce que Sybille avait tellement envie de devenir?

-- Le seul inconvénient, ce sont les vis-à-vis depuis les chambres. Nous n'avons rien pu faire contre la construction de ce bâtiment. Heureusement, c'est un bâtiment administratif, alors à moins de réunions tardives, il n'y a personne le soir! Et les rideaux que nous avons fait installer vous garantissent toute l'intimité dont vous aurez besoin: on voit depuis l'intérieur, mais pas depuis l'extérieur!

-- Nous ne sommes pas très intimistes, précise Sybille en ricanant. Un bâtiment administratif, vous disiez? Genre les impôts?

L'homme n'était pas passé à côté de l'allusion, mais il répondit à Sybille avec une légère gêne dans la voix. Adeline devinait très bien les images saphiques qui l'assaillaient alors qu'il précisait:

-- C'est une sorte d'annexe à la mairie, si j'ai bien compris. Mais à terme, elle devrait le devenir complètement.

-- Un bâtiment plein de grandes décisions, alors... souffla Sybille. Nous sommes très intéressées.

-- Vous... heu... J'avoue que je m'attendais plutôt à parler prix avec vos parents.

-- La négociation se fera avec nous deux.

-- La négociation? Notre prix est fixe. Soit il vous convient, soit il ne vous convient pas.

-- Vous trouverez quelque chose à dire à bobonne en rentrant, lança Sybille, sûre d'elle.

L'homme manqua s'étouffer, mais son regard, dans lequel on lisait un mélange de frayeur et d'outrance, ne pouvait cacher la rougeur de ses joues. Même Adeline fut prise de court. Sybille, elle, s'approcha de l'homme qui commençait à bafouiller:

-- Que voulez-vous... dire? Je... Veuillez s'il vous...

Sybille l'avait contourné en se collant à lui et elle fait claquer sur ses fesses, ce qui stoppa net les jérémiades du cinquantenaire.

-- Qu'est-ce que vous...?

Sybille enfonça son talon aiguille sur le pied de l'homme en le toisant. Adeline remarqua directement: malgré la douleur, malgré sa carrure, il ne bougeait pas d'un poil et soutenait le regard de Sybille qui semblait amusée.

-- Tu vas nous louer ce loft. Et pour rien avec ça, petite merde. En échange, on s'occupera de toi, moi et mes amies. Et crois-moi, il n'y a pas assez de chambres ici pour toutes mes colocataires. Adeline?

Celle-ci s'avança jusqu'à son amie, faisant attention à ne pas montrer à quel point elle était estomaquée par la situation.

-- Déshabille notre nouvel ami, veux-tu? À moins que celui-ci n'ait une objection à proférer? demanda-t-elle en appuyant de plus belle son talon sur le pied de l'homme qui grimaça mais remua la tête de gauche à droite. Nous avons donc un accord?

Adeline commençait déjà à défaire la ceinture de l'homme, qui se laissait faire apparemment volontiers, tout en gardant les yeux plongés dans ceux de Sybille.

-- Voyons d'abord ce que j'y gagnerais, à défaut d'argent.

Ricanant à cette réponse, Adeline se mit à accélérer ses mouvements. Sans ménagement, elle lui retira chaque bout de tissu que l'homme portait, découvrant un corps certes légèrement bedonnant, mais musclé et complètement imberbe. Sybille, elle, s'était dirigée vers le canapé, où elle s'était assise en retirant ses chaussures.

Adeline n'avait été prévenue de rien, et elle devait bien avouer qu'elle se retrouvait un peu perdue. Il lui fallait combler, improviser, t plaire à Sybille bien plus que le propriétaire n'avait à le faire. Alors elle improvisa. Elle attrapa la ceinture de l'homme, qui heureusement n'était pas en cuir, et la passa autour du cou de leur soumis qui se laissait faire, à la fois défiant, incrédule que deux aussi jeunes femmes puissent réussir à le satisfaire, et visiblement excité par l'expérience qui ne faisait que débuter. Elle força sur la dent pour percer le tissu et tira aussitôt sur la laisse improvisée pour le mettre à quatre pattes.

Le sourire de la belle Sybille lorsqu'elle arriva devant elle avec l'homme était sans équivoque. Elle était plus que ravie, et Adeline commençait à comprendre pourquoi elle lui avait demandé à elle de l'accompagner. Alors d'un coup, elle gagna en assurance. Elle claqua le fessier rebondi de l'homme et lui ordonna:

-- À genoux, toutou!

Dans un sursaut, le cinquantenaire s'exécuta. Tirant sur la ceinture vers le haut, Adeline rajouta dans un ricanement:

-- Le dos bien droit...

Sans un mot, Sybille avança son pied nu vers le visage de l'homme. Celui-ci le prit dans ses mains et commença aussitôt à l'embrasser, avant de sucer les doigts de pied, en commençant par le pouce. Sybille se laissa aller dans le canapé, riant aux éclats, plus par moquerie que par chatouillis.

-- Imagine-toi, lui dit-elle en le faisant lécher la plante de son pied pendant qu'elle l'appuyait contre son visage, sept jeunes femmes à qui tu pourrais lécher les pieds, les jambes... Tu aimes lécher les chattes?

-- Oui, Mademoiselle! répondit-il en s'appliquant à n'oublier aucun orteil du pied de Sybille.

Plongeant une main dans son sac, celle-ci tendit un objet à Adeline, de façon à ce que l'homme ne puisse le voir. Adeline découvrit dans sa main, un plug anal d'une taille qui pourrait faire pâlir les moins habituées. Elle-même n'avait jamais inséré que son doigt dans cet endroit, alors une chose pareille! Sybille posa son pied au sol et l'homme suivit le mouvement, embrassant à présent sa cheville.

Alors qu'il essayait de remonter le long de son mollet, Sybille l'attrapa par la nuque et lui remit le visage au sol tout en faisant signe de la tête à son acolyte de s'occuper tout de suite de ce jouet sur lui. Adeline sortit de sa contemplation et le mit dans sa bouche afin de le lubrifier le plus possible.

-- Tu vas sagement te laisser faire, petite merde, hein? invectiva Sybille en claquant les fesses musclées du cinquantenaire.

-- Oui, Mademoiselle! s'exclama-t-il alors avec une voix qui partait dans les aigus et qui fit ricaner les filles.

Alors Sybille posa ses mains sur les fesses de leur soumis et les lui écarta au maximum:

-- Vas-y, ma belle... Enfonce-le-lui dans son beau cul, lui ordonna-t-elle d'un ton sec après avoir craché sur sa rondelle.

Ne sachant trop comment s'y prendre avec ce nouveau jouet, Adeline prit le parti de ne pas y aller de main morte. Elle posa la pointe du plug sur son anus et poussa d'un coup sec de son pouce.

-- Aaaaahh! cria l'homme.

-- Hummmm quelle bourrine! s'exclama une Sybille plus que ravie.

Adeline rougit, s'inquiéta un instant que l'homme n'ait eu trop mal. Mais Sybille était partie, et elle allait devoir la suivre, même l'anticiper, si elle pouvait. Son amie lécha les fesses du propriétaire des lieux, tout en les claquant à nouveau. L'homme avait beau émettre des plaintes sourdes, Adeline ne pouvait que constater qu'il bandait comme un âne.

Son sexe était puissamment dardé, nervuré. Sa queue était magnifique. Elle attrapa un des bougeoirs en verre sur la table basse, rejeta par terre la bougie chauffe-plat qui était dedans, puis le posa au sol, sous l'homme.

-- Je vais te le traire, Sybille, dit-elle en commençant déjà à le branler énergiquement.

La chose à quatre pattes devant Sybille se mit à gémir. Adeline lui gifla les bourses en lui intimant de se taire, mais le geste lui fit lâcher un cri. Aussitôt, il se prit un aller-retour de la main de Sybille:

-- Quand ma copine te dit de fermer ta gueule, tu la fermes!

Visiblement habitué à ne pas tomber dans les pièges les plus faciles, l'homme hocha simplement la tête, en fermant la bouche et baissant les yeux. Adeline l'astiquait à lui en faire mal, tout en malaxant fermement ses couilles, ou agitant le plug dans son cul. Devant lui, Sybille commençait à se caresser. Il pouvait admirer cette jeune vulve dégouliner de cyprine odorante.

-- Tu veux y goûter, hein, la chose?

Nouveau hochement de tête frénétique, les mâchoires serrées, le regard suppliant, au bord de l'orgasme.

-- Retourne-le, les mains dans le dos, lança-t-elle à son amie.

Adeline lâcha le mât de l'homme pour le faire basculer en le poussant du pied. Elle lui mit les mains dans le dos et posa sa tête sur l'assise du canapé, près de Sybille qui s'était levée. Elle vint devant lui, et écrasa son sexe du plat de sa chaussure. Difficilement, leur soumis retint une plainte. Adeline remarqua dans le regard de Sybille qu'elle adorait cette résistance. Cette dernière ricana puis tourna le dos à l'homme, releva sa jupe, et vint s'asseoir de tout son poids sur son visage.

-- Oh oui, tu voulais la goûter cette chatte, hein? Maintenant tu l'as! dit-elle e frottant sa vulve sur tout son visage, lui laissant à peine le temps d'avaler de l'air de temps à autre.

N'y tenant plus, Adeline avait suivi le mouvement de son amie. Elle vint s'empaler sur le membre tendu de l'homme. Elle partit aussitôt. La situation l'ayant déjà transportée loin, elle se mit à jouir dès qu'elle le sentit écarter ses chairs. Elle était tellement excitée, tellement attirée par cette queue, qu'elle ne pensa pas une seconde à l'envelopper d'un préservatif.

-- Après ça, t'auras plus le droit de baiser avec personne d'autre que nous... Truc! Ce sera ton nom, Truc! fit Sybille en riant entre deux râles de plaisir sous les coups de langue habiles de l'homme. Même pas bobonne, sans nous demander l'autorisation avant! Regarde-la, tu la fais prendre son pied!

Adeline s'agitait frénétiquement sur le pieu de Truc, jusqu'à s'arrêter, haletante et souriante.

-- Truc, ça lui va bien, dit-elle en se relevant. Puis comme ça, on n'oubliera pas comment il s'appelle. Truc... Jouis, maintenant. Je crois qu'on doit sceller cette amitié avec un verre!

Ravie de cette initiative, Sybille se releva d'un bond et lui enfonça un talon dans le bas-ventre.

-- J'espère que tu as de quoi nous nourrir, petite merde. À genoux.

Une fois dans la position, elle lui tendit un verre propre qu'elle alla chercher dans la cuisine, et lui précisa de ne pas en mettre une goutte à côté. Pendant ce temps, les deux jeunes femmes s'assirent dans le canapé, admirant leur soumis tout en se caressant mutuellement. Elles le regardèrent se vider les couilles en silence dans le récipient. Adeline se léchait déjà les babines à l'idée de goûter son jus. Mais c'est Sybille qui prit le verre la première:

-- Alors, Truc? Tu veux de nous comme locataires? J'ai cinq autres amies du même acabit à qui tu devras obéir aussi.

-- Je serais honoré de vous servir, fit l'homme en baissant le regard sur les pieds de Sybille. Vous et vos amies.

-- Formidable! s'exclama Sybille en portant le verre à ses lèvres pour en prendre une légère gorgée.

Elle le tendit à Adeline qui ne se gêna pas pour montrer son envie à le goûter. Mais elle n'avala pas tout. Elle rejoint Truc et posa le verre sur ses lèvres.

-- Il faut que tout le monde boive, pour sceller l'accord.

Et il ne se fit pas le dire deux fois. Il ouvrit la bouche et laissa Adeline verser jusqu'à la dernière goutte dans sa bouche avant de tout avaler. Riant de plaisir, Sybille entraîna Adeline vers la sortie, en déclarant à leur propriétaire:

-- Nous emménagerons ce week-end. Je viendrai demain chercher le contrat de location. Oh! Et une dernière chose, Truc: à partir de maintenant, quand tu passeras cette porte, je ne veux plus voir un seul vêtement sur toi... Et tu porteras ce plug que je t'offre. Demain, je t'apporterai le contrat d'appartenance aux Sadarnapales.

-- Bien mademoiselle, répondit-il avec révérence sans avoir bougé d'un poil. Passez une bonne soirée!

Comme seule réponse, il ne reçut qu'une porte claquée. Une fois dehors, Adeline laissa éclater son hilarité:

-- J'y crois pas! Mais comment t'as su qu'il aimait ça?

-- Ma mère connaît la pute qui jouait le rôle de maîtresse pour lui depuis un an. Le coup du talon aiguille, ça vient d'elle. Elle m'a dit qu'il ne résisterait pas, ainsi que les jupes d'écolière.

-- Tu es vraiment machiavélique! Tu m'excites... Tu l'as soumis avec...

-- On! la coupa Sybille. On l'a soumis toutes les deux.

-- Je n'ai pas l'impression d'avoir fait grand-chose...

-- Détrompe-toi, il fallait que ce soit toi, lui dit Sybille avec un certain mystère en posant un baiser sur ses lèvres. Maintenant, moi aussi, j'ai envie de toi...

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