Adeline fête la fin du lycée

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Adeline respirait enfin. La dernière épreuve du bac derrière elle, elle pouvait enfin penser à l'été et tous les plaisirs qu'il allait lui apporter. En quelques semaines, il lui semblait que son corps avait changé, s'était un peu arrondi aux endroits les plus attendus: des hanches légèrement plus rondes, qu'ele aimait de plus en plus mouler dans un robe, et ses seins qui avaient gagné un bonnet. Le temps passé avec les Sardanapales était une sorte d'orgasme continuel, même lorsqu'elles ne se touchaient pas, elles ne parlaient quasiment que de sexe et de tout ce que ça leur apporterait dans leur vie. Mais pour le moment, Adeline ne voyait que le plaisir. Elle s'imaginait mal profiter de cela pour assoir son pouvoir sur les hommes, comme le pensait Sybille.

C'est donc avec l'idée que la soirée se terminerait par un orgasme qu'Adeline se rendait sur le lieu de la fête de fin d'année: une petite crique réputée pour être une plage naturiste pendant la journée. Elle en avait souvent entendu parler sans jamais avoir osé aller y jeter un oeil. Mais cette fois, ça allait être différent. Sybille avait doné rendez-vous aux sept Sardanapales à 16h30 à cet endroit, plusieurs avant que les autres invités n'arrivent, et bien avant que la plage ne se vide de ses usagers habituels. Elles avaient jusqu'à 21h pour profiter d ela plage entre elles. Après cela, la fête commencerait réellement.

Adeline était aussi stressée qu'excitée. Ele allait goûter aux joies du naturisme ailleurs que chez elle, devant des inconnus, mais si elle savait que montrer son corps ne la dérangerait pas, elle ne savait pas comment elle réagirait à la vue d'autres corps nus. Allait-elle se mettre à mouiller au point que cela se voit? Ou peut-être n'y aurait-il que de vieux pervers venant là dans l'espoir de mater de jeunes demoiselles. Si tel était le cas, ils allaient être servis!

Elle retrouva Jade sur le parking, beaucoup plus stressée par le fait de se retrouver dénudée en public.

-- Je suis allée jeter un coup d'oeil. Il y a du monde!

-- Tu en rajoutes, enfin, lui répondit Adeline. Il n'y a pas tant que ça de monde à venir sur cette plage. À tous les coups, il n'y a que des vieux pervers.

Mais au visage de son amie, elle comprit que ce n'était pas le cas. Elles descendirent ensemble en se tenant la main. Elle n'avait jamais vu Jade ainsi, alors elle décida de dédramatiser:

-- Allez, Jade! Ça va être marrant! Et puis, tu es superbe! Je suis sûr qu'à nous sept, on va faire se dresser des queues!

-- C'est bien ce que veut Sybille, oui. Se foutre à poil entre nous, ça ne me dérange pas. Mais devant des inconnus. Puis il y a peut-être des gens qu'on connaît. Ou pire! Des gens que nos parents connaissent!

Adeline s'arrêta sur le chemin, entendant déjà au loin les vagues rouler et s'écraser sur le sable, ainsi que des rires et autres éclats de voix. Il faisait très chaud. Même sa simple petite robe lui semblait lourde à porter. Et c'était sans parler du sac à dos qu'elle avait amené, avec des affaires pour la soirée. Son coeur se souleva à l'idée que ses parents puissent apprendre qu'elle allait à la plage nudiste. Mais elle sourit à Jade et haussa les épaules.

-- Quand bien même... Dans un mois, on ira toutes à la fac, on aura chacune notre propre appartement, on fera ce qu'on voudra quand on voudra. Alors mes parents peuvent bien me gueuler dessus parce que j'aime être nue à la plage, ça ne me fera rien de rien! Allez viens, ma belle!

Elle posa un baiser sur sa joue en riant et la tira vers le chemin qui quittait celui de randonnée pour descendre vers la crique. Rapidement, elle vit que Jade avait raison. Il y avait bien plus de monde que ce qu'elle avait pu imaginer. À vue d enez, elle aurait dit une centaine de personnes. En tous genres. Des vieux, des vielles, des jeunes, des gros, des minces, des épilés, des poilues. Il lui sembla que tous les genres de corps étaient représentés sur cette plage.

Elle eut tout d emême besoin de prendre une grande inspiration, de concert avec Jade, avant de se lancer dans la descente. Elles virent leurs amies leur faire signe, bien au milieu de la plage, ce qui n'étonna pas Adeline. À peine furent-elles arrivées auprès d'elles que Sybille leur parla sur un ton qui appelait à la luxure.

-- Adeline, Jade. Comme je le disais il y a quelques minutes aux copines, nous ne sommes officiellement plus lycéennes. Il va de soi que nous allons toutes décrocher ce foutu bac, surtout vous deux. Désormais, nous ne nous ferons plus la bise. C'est terminé. Les Sardapales se montrent au grand jour telles qu'elles sont!

Sur ces mots, et sans aucune hésitation, Adeline et Jade embrassèrent les autres filles du groupe. Elles avaient plus que l'impression que les regards s'étaient tous arrêtés sur elles pendant ce long échange de baisers. Vint alors le moment de se déshabiller. Chacune sa technique. Jade jetait des coups d'oeil un peu partout, discrètement, pour s'assurer qu'il n'y avait personne de connu. Adeline, elle, préférait regarder et plaisanter avec ses amies en ne se concentrant que sur elles, comme si elles n'étaient que toutes les sept. Shana se proposa pour passer de la crème sur Adeline, alors que Leïla s'occpa de Jade. Les caresses appliquées avaient réussi à faire oublier toute tension aux deux jeunes femmes. Sybille sortit des verres et une bouteille de rosé de son sac isotherme pendant que Louise et Moira s'occupaient des gâteaux apéritifs.

Assises en rond l'une près de l'autre, l'ambiance se fit de plus en plus légère. Lorsqu'elles décidèrent d'aller se baigner, la plage s'était déjà un peu vidée et les esprits étaient quelque peu échauffés par le rosé. L'eau était un peu fraîche et leurs seins pointaient au point que des bouches s'amusèrent à les sucer. Des caresses s'ensuivirent, des baisers aussi, et lorsqu'elle revinrent vers leurs serviettes, Adeline repéra quelques regards appuyés, et même des sexes tendus que les propriétaires tentaient vainement de cacher.

Sybille servit à nouveau des verres, assise près d'Adeline. Elle écouta un moment ses amies glousser, mais Adeline voyait sa voisine zieuter la plage derrière ses lunettes de soleil. Elle se pencha finalement vers son oreille:

-- Adeline, tu te sentirais d'aller inviter ce groupe, en face, à rester ce soir?

La jeune fille avait repéré les cinq personnes auxquelles elle faisait allusion. Sûrement des étudiants, dans les 25 ans. Il y avait un couple qui se bécotait sagement de temps en temps, accompagné de deux hommes et une femme, un peu trop ronde à son goût, mais un visage radieux.

-- Et toi celui sur la droite, c'est ça?

Sybille lui sourit en coin, pour confirmer son idée. Sur la droite, il y avait un groupe de trois hommes, un peu plus âgés, dans la trentaine. Ces trois-là étaient allés se baigner non loin d'elles et étaient remontés peu de temps après elles. Ils n'arrêtaient pas de mater dans leur direction et devaient régulièrement s'allonger sur le ventre pour camoufler leurs érections. L'heure du dîner approchait et la plage était de plus en plus déserte. En dehors de ces trois groupes, il ne restait plus qu'une vingtaine de personnes, soit des couples soit des personnes seule, la plupart bien trop âgés pour les intéresser.

Les autres filles les ayant entendues, elles avaient arrêté de parler et scrutaient Adeline. Allait-elle oser? Elles savaient déjà que oui. Une fille qui s'était tapé trois mecs en perdant sa virginité n'avait peur de rien, forcément. Adeline se leva la première, et se dirigea vers le groupe prévu, pendant que Sybille rejoignait les trois hommes.

Les cinq jeunes personnes la dévisageaient déjà avant qu'elle n'arrive près d'eux, et ça la mettait quelque peu mal à l'aise. Son coeur accéléra et elle les salua d'abord rapidement, sentant sa voix se mettre à trembler. Heureusement, elle pris son verre avec elle et cela l'aidait à garder sa contenance.

-- Bonjour.

-- Bonjour! répondirent en choeur les étudiants.

-- On fête la fin du bac, et des amis doivent nous rejoindre plus tard dans la soirée sur cette plage. On se demandait si ça vous dirait de nous rejoindre... Au moins pour l'apéritif, si vous avez autre chose de prévu pour la nuit.

Les deux célibataires la dévoraient du regard, et elle savait qu'au moins eux resteraient un peu. Elle remarqua la blonde se serrer plus fort contre son copain qui souriait à Adeline. La brune ronde ne l'était finalement pas autant que de loin. Adeline lui offrit un sourire avant qu'elle ne se tourne vers ses amis pour prendre une décision collective. Au grand dam de la blonde, la réponse fut rapidement positive.

-- On va aller faire quelques courses, commença un des gars, visiblement le plus enthousiaste de la bande.

-- Ne vous en faites pas, le coupa Adeline. On a largement de quoi faire! Rejoignez-nous! Prenez vos serviettes!

-- Ok, on arrive, alors!

Adeline ricana de plaisir et s'en retourna vers ses amies le temps qu'ils rassemblent leurs affaires. Plus loin, elle vit Sybille déjà chauffer les trois garçons à blanc. Elle se tenait debout devant eux, jambes écartées, pour qu'ils puissent bien voir ses lèvres salées. Celui du milieu avait le visage presque entre ses cuisses et ne pouvait plus cacher quoi que ce soit. Il bandait comme un âne. Pourtant, la négociation paraissait plus difficile. Peut-être étaient-ils mariés et hésitaient à tromper leurs femmes? L'idée excita Adeline malgré elle.

Elle dit à ses amies d'agrandir le cercle juste au moment où Sybille revenait vers elles avec un sourire de victoire. Avant que les trois hommes et le groupe de cinq soir arrivé, elle leur parla sur le ton de la confidence:

-- Ils partiront à un moment. Qui voudra les suivre avec moi?

-- Je viendrai, répondit Louise déjà toute excitée.

-- Moi aussi! s'exclama Moira. Je pourrai avoir celui de droite?

-- Ok. Moi, celui du centre, répondit Sybille. Ça te va, Louise?

Elle hocha la tête et rapidement, ils furent quinze, assis en cercle, à trinquer au début de l'été. Les sept Sardanapales avaient fait exprès de laisser des places libres entre elles, pour que les nouveaux venus se mêlent à elles. Adeline était assise entre la ronde et le gars choisi par Sybille. Celui-ci n'avait d'yeux que pour la belle chieftaine du groupe, alors Adeline se concentra sur son autre voisine, Sarah. Elle répondait avec une certaine timidité aux questions d'Adeline. Les discussions allaient bon train, l'ambiance était douce et légère.

Après avoir bu un verre, les trois hommes se levèrent en leur souhaitant une bonne soirée. Dès qu'ils disparurent dans le chemin qui les mènerait jusqu'au parking, les trois amies d'Adeline les suivirent. D'un coup, l'ambiance se fit plus lascive dans le cercle. Face à Adeline, les deux célibataires étaient entourés de trois demoiselles aux tétons dardés à l'idée que leurs trois copines allaient faire gicler ces hommes. Il ne suffit que de quelques regards un peu insistants pour que le premier ait une légère érection qui le mit d'abord mal à l'aise. La blonde collée à son copain parut un tantinet outrée mais d'où elle était, Adeline remarquait facilement que son regard se posait régulièrement sur l'entre-jambede son ami.

-- Elles ne vont en faire qu'une bouchée, souffla Adeline à l'oreille de Sarah sans être entendue des autres.

La brune ricana nerveusement, alors que déjà, Shana s'intéressait de plus en plus près à l'érection du jeune homme. Une main posée sur sa cuisse, elle la remonta doucement, sans un mot, un sourire aux lèvres, captant le regard du garçon qui bandait plus dur à vue d'oeil.

-- Je rêve! s'exclama la blonde. Viens, Alex, je veux pas voir ça.

Dépité, son copain la suivit. Sarah eut un moment d'hésitation qu'Adeline stoppa net en posant sa main sur son épaule.

-- J'aimerais que tu restes.

Paniquée, Sarah regarda autour d'elle. La plage était maintenant déserte, à part eux cinq. Shana astiquait doucement le membre du gars et l'embrassait doucement, pendant que Leïla et Jade allongeaient son compagnon sur sa serviette. Jade l'embrassait et Leïla se rua sur son sexe devant les yeux effarés de Sarah. Pourtant, Adeline pouvait sentir la tension qui naissait en elle.

Au loin, les trois autres revinrent en riant. Elles vinrent s'asseoir autour d'Adeline et Sarah, regardant à leur tour les deux jeunes hommes se faire dévorer par les trois harpies. Doucement, Adeline avait glissé sa main entre les cuisses de Sarah. Elle avait un clitoris proéminent et Adeline le sentait rouler sous son index sans quitterdes yeux la belle Shana qui avalait entièrement la queue de l'étudiant aux anges. Jade s'était assise sur le visagede l'autre et ondulait sur lui pendant que Leïla le pompat avec férocité.

-- Quel beau spectacle, n'est-ce pas? fit Sybille à Sarah qui avait le souffle court.

-- J'y crois pas de regarder mes potes faire ça...

Sybille explosa de rire et s'adressa aux trois filles:

-- Dépêchez-vous, les filles... Il ne faudrait pas que vos copains vous trouvent comme ça!

Les sept Sardanapales rirent en choeur. Leïla mouilla son doigt et l'enfonça dans le fondement du garçon qui sembla vouloir l'en empêcher un instant. Mais Jade appuya de tout son poids sur son visage et finalement, il se laissa faire, râlant comme un fou sous le sexe dont il se repaissait. De son côté, Shana se mit à aspirer le gland turgescent de sa proie et le branla énergiquement. Adeline, surexcitée par la scène, glissa deux doigts dans la fente de Sarah qui avait ouvert ses cuisses. Elle se mit à la doigter et se pencha pour têter goulument ses seins. Ses gémissements ne tardèrent pas à rejoindre à ceux des garçons.

Adeline l'allongea et se plaça entre ses cuisses, sa croupe reluisante tournée vers les autres. Elle suça le clitoris gonflé de Sarah en la fouillant profondément jusqu'à la faire couiner de plaisir sous les ricanements satisfaits de ses amies. lorsqu'elle releva la tête, Sarah lui souriait, visiblement heureuse de la tournure des événements. Les deux garçons avaient giclé sur le sable chaud et des verres étaient de nouveau servis.

Tout ce petit monde eut le temps de repasser quelques vêtements avant que les autres invités n'arrivent. La musique se mit à rugir des enceintes portatives, les rires aussi nombreux que les bouteilles en tous genres et tous degrés. L'alcool libérait les corps et échauffait les esprits, les rythmes se firent plus endiablés. Le trio rencontré plus tôt était resté, Sarah semblait émerveillée par Adeline et ne la quittait pas d'une semelle. Si bien que l'imagination d'Adeline en fut totalement débridée. Alors qu'elle dansait avec Sarah au son de la guitare et du chant de Steven, le copain de Leïla, Adeline posa son menton sur son épaule. Ses cheveux sentaient le sel et elle aimait ça. Ses mains jusque-là sagement posées sur ses hanches glissèrent dans son dos et se faufilèrent sous son léger haut. Elle sentit avec délectation Sarah se crisper légèrement, sans pour autant l'empêcher de glisser ses doigts sous l'élastique de de son maillot de bain. Plus loin, Adeline vit les yeux plissés d'Anthony, avec qui elle avait tenu à garder une relation libre. Elle lui sourit en coin et vint murmurer à l'oreille de Sarah:

-- Je veux voir Anthony te baiser...

Cette fois, la timide Sarah en fut bouche bée et s'arrêta de danser pour planter son regard dans celui de sa partenaire de danse. Adeline ne s'arrêta pas, elle, et ricana en la faisant reprendre le mouvement.

-- Sérieusement?

-- Très sérieusement... Et pour tout t'avouer, j'aimerais que tout le monde voie ça.

-- Tu as trop bu, Adeline, répondit Sarah en riant. Et puis, il faudrait déjà qu'il veuille de moi... Pourquoi se taper la rondouillette quand il peut avoir un canon comme toi?

-- Crois-moi, il voudra... S'il veut encore poser les mains sur moi, il voudra... Mais quelque chose me dit que je n'aurai pas besoin de le menacer.

Adeline fit tourner leur couple, de façon à ce que Sarah se retrouve face à Anthony. Elle glissa ses mains plus profondément dans le maillot de Sarah et malaxa ses fesses pendant que Sarah soutenait le regard plein d'envies d'Anthony, qui s'imaginait sûrement déjà en train de participer à un plan à trois en fin de soirée.

-- Il est déjà tout excité à l'idée de se retrouver entre nous deux, souffla Adeline en voyant Sybille s'éloigner de la fête avec un garçon qui n'était pas son copain.

Mathieu était complètement saoul, déjà, et riait avec ses potes sans se soucier de sa nana qui s'apprêtait à le cocufier dans le sable, à seulement quelques mètres de lui. Adeline glissa une de ses mains entre les cuisses de Sarah et introduit la première phalange de son majeur dans la fente de sa nouvelle amie.

-- Et il n'est pas le seul à être excité...

Sarah n'osa répondre. Adeline s'écarta d'elle et lui sourit en goûtant la cyprine qui s'était étalée sur son doigt. La brune resta statque en la voyant se retourner pour se diriger vers Anthony. Elle s'approcha de lui, se hissa sur la pointe des pieds pour coler ses lèvres pulpeuses à son oreille, tout en posant sa main entre ses cuisses, sans aucune gêne devant les amis d'Anthony qui se mmirent à glousser.

Sarah vit la tête d'Anthony changer, ses yeux s'écarquiller et avoir sûrement exactement la même expression qu'elle quelques instants plus tôt. Mais lorsque le jeune homme posa les yeux sur elle, il changea du tout au au tout, sûrement grâce aux mots qu'Adeline continuait de lui soufler, ainsi qu'à cette main qui agrippait sa trique visible. En diablesse, la jeune bachelière prit la main de son copain et l'attira vers Sarah, au point de les pousser dans les bras l'un de l'autre. Steven continuait de chanter devant deux lycéennes qui buvaient chacune de ses paroles. Anthony posa les mains sur les hanches de Sarah et se colla à elle, si bien qu'elle sentit contre son bas-ventre cette érection qui la faisait maintenant mouiller.

Adeline vint se placer derrière elle, ondulant contre ses fesses et passant ses mains sur son ventre. Rapidement, elle les monta jusqu'à saisir ses seins. Déjà, les regards commençaient à se centrer sur le trio, alors Sarah ferma les yeux. Ses tétons pointaient comme rarement et Adeline les pinçait légèrement. Anthony frottait son membre contre elle et elle osa laisser une main se poser dessus.

Sur sa droite, un sifflet retentit, suivi d'exclamations de joie. Adeline sourit franchement. Elle vit Shana s'approcher et se mordit la lèvre inférieure en la reluquant. Si belle Shana. Doucement, elle s'écarta de Sarah et tendit une main vers son amie. Lovée dans ses bras, elle regarda Anthony commencer à déshabiller Sarah. Sa poitrine luisait sous la lueur des flammes. Elle se laissa faire lorsqu'il retira son haut, mais descendit elle-même le bas, se retrouvant nue devant l'assemblée.

Quel plaisir ce ne fut pas pour Adeline de la voir baisser le short d'Anthony pour révéler sa queue durcie. Un cercle se forma autour d'eux, Anthony lança un coup d'oeil à Adeline et celle-ci se mordit les lèvres. Shana avait plongé une main à l'arrière de sa culotte et lui caressait une vulve détrempée.

Tous les deux nus devant l'assemblée, le couple formé par Adeline perdit toute timidité. Sarah tomba à genoux et engouffra toute la longueur d'Anthony dans sa bouche, les mains plaquées sur ses fesses. Celui-ci râla sans retenue, s'accrochant à sa tignasse, et plusieurs voyeurs et voyeuses exprimèrent leur approbation en l'applaudissant pour l'encourager à continuer. La bave brillait dans la nuit en coulant de son menton alors que la brune ronde pompait sans vergogne cette queue offerte.

Adeline remarqua que son voisin de droite bandait sévèrement et il suffit d'un coup d'oeil entre et Sasha pour que les choses prennent une autre ampleur. Il semblait que même Sybille avait écourté son infidélité en voyant l'attroupement autour du feu. Quoique... Vu le sourire du gars quand ils étaient revenus, c'est peut-être bien lui qui avait rendu si rapide ce moment. Adeline tendit la main jusqu'à tâter le membre tendu de son voisin et lui sourit en l'attirant vers elle. Le tirant par la queue, elle vint se mettre à genoux près de Sarah et Anthony tout en baissant son short et son caleçon. Sasha prit la même position non loin et bientôt, un garçon osa s'avancer vers elle.

Adeline léchait tendrement le gland de son partenaire en fixant la chef des Sardanapales. Celle-ci souriait à pleines dents et vint la rejoindre pour lui rouler une pelle de tous les diables. Lorsqu'elle se releva, elle se tourna vers l'assistance alors que Sarah se mit à quatre pattes pour qu'Anthony la fourre devant tout le monde.

-- Nous sommes les Sardanapales, et nous sommes là pour le plaisir! s'exclama Sybille d'une voix assurée.

Déjà, les quatre autres les rejoignaient. Anthony s'insérait doucement dans la fente dégoulinante de Sarah qui elle-même regardait Adeline sucer les boules de l'autre gars.

-- Cette soirée est la nôtre, et cette ville nous appartiendra un jour. Venez exprimer sur nous votre joie d'être présents... et présentes!

Les sept amies encerclaient le couple gémissant, et bientôt, chacune d'elles avait un membre tendu dans la bouche. Adeline s'installa de façon à voir Anthony pilonner Sarah. Elle crut lire un amour infini dans son regard alors qu'il tapait son gland au fond du puits de sa ronde amie. Celle-ci couinait furieusement et plus elle gémissait, plus Adeline s'appliquait à pomper le dard offert de ce garçon qui n'en revenait pas. Bientôt, il gicla sur son visage et ce n'est qu'à ce moment qu'elle s'aperçut qu'il y avait une file d'attente derrière lui, et pas uniquement des gars.

Les sept Sardanapales faisaient jouir l'assistance à tour de rôle. Anthony se retira de Sarah pour exploser sur ses seins en grognant d'un plaisir intense. À peine eut-il fini qu'un nouveau prétendant s'approcha, mais Sarah, apeurée, chercha Adeline du regard. Elle fit signe au garçon de la rejoindre et il ne se fit pas prier.

Surexcitée par la situation, Adeline suçait et branlait les queues par deux ou trois, s'attardant sur une vulve qui s'approchait de son visage. Elle devenait le réceptacle de leur jouissance et se surprit à aimer cela plus que de raison. Les autres avaient été rejointes par leur copain et se faisaient prendre en continuant leur besogne buccale.

Adeline fut la seule, ce soir-là, à ne recevoir aucune queue en elle. Pourtant, elle avait joui, à de nombreuses reprises, les doigts plantés dans son antre en recevant la jouissance d'un jeune homme ou d'une jeune femme. Combien, elle ne saurait le dire. Son visage, ses cheveux, son buste étaient remplis de sperme et même de cyprine. Il lui avait semblé que certains étaient passés par plusieurs d'entre elles.

Une fois que la tension fut retombée, la soirée se termina. La plage se vida petit à petit et il ne restait plus que deux ou trois petits groupes, somnolant par l'ivresse du plaisir et de l'alcool. Les Sardanapales, elles, s'étaient regroupées près du feu et s'étaient mutuellement nettoyées de leurs langues avides, se promettant que cette soirée n'était que le début d'une longue série et que tous et toutes, sans exception, leur mangeraient bientôt dans le creux de la main.

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