Les Flaires

Une minute de lecture

Ces créatures sont proches de certains herbivores que nous connaissions, mais ils s'en différencient par trois aspects au moins.

Le premier est qu'ils se déplacent à quatre pattes mais en bondissant de façon curieuse. Ce mode de déplacement, bien qu'il puisse paraître étrange, est sans doute le plus adapté à la survie des individus. En effet, ces bêtes sont de taille relativement modeste et lorsque la végétation est haute, il ne dépasse guère des fourrés que leurs oreilles. Ce mouvoir ainsi leur permet donc de contrôler leur environnement.

Le second aspect est leur cri : ils sifflent plus qu'autre chose et ce cri est audible à grande distance.

Le troisième est leur manque cruel de différenciation entre âge et genre. Il est très difficile de reconnaître un mâle d'une femelle, un jeune d'un vieux spécimen. Ils arborent tous, à l'exception des flairons (leurs petits) deux petites excroissances osseuses sur le sommet du crâne et ont tous des canines extrêmement développées. Chose que j'ai par ailleurs trouvé curieuse pour des herbivore exclusifs.

Ils se déplacent en hardes, composées à parts à peu près égales de mâles et de femelles. Ce sont des proies que les tigres délaissent souvent : trop agiles et rapides pour le peu de viande qu'ils représentent. C'est sans doute pour cela que ces animaux prolifèrent en si grand nombre.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Djurian R ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0