La suite

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Je m'appelle Engie et j'ai 35 ans, pas d'enfant, je suis revenue chez moi le visage remplie de bleus. Ma famille a essayé de me joindre pendant des jours entiers. Ils n'avaient aucune nouvelle, ils ont même cru que j'étais plus de ce monde. En rentrant chez moi, j'entends le téléphone fixe sonne. Je décroche ce n'est pas ma famille mais une voix étrange, elle dit "mon complice s'est fait arrêté, mais moi je suis en liberté et je connais ton adresse, je te retrouverais..."
Je n'y crois pas l'un de mes ravisseurs et toujours en liberté, comment vais-je faire pour m'en sortir ? J'ai déposée plainte, mais ils veulent rien savoir, compte à l'autre agresseur qui peux venir. Je n'ai qu'une seule crainte qu'il me tue. J'appelle ma famille, elle croît que c'est une plaisanterie. Que je suis morte, bref ils m'ont effacée. J'appelle des amis pour être soutenue. Ils pensent eux aussi que c'est un canular, ils m'ont tous effacée de leur vie. Je ne veux pas restée dans cette maison. Je m'éloigne de cette ville qui me rappelle de trop mauvais souvenirs. Quelque temps plus tard, je me sens mieux et revivre. Je me suis dit "enfin ce cauchemar est terminé." Du moins ce que j'ai cru. Lorsque je rentre chez moi, je me sens observée. Je ferme chaque soir, la porte de ma maison à double tour. Jusqu'au jour où je vois écrit un mot dans la salle de bain" vivre ou mourrir" écrit en rouge, couleur sang. J'ai très peur. Il est minuit, je n'arrive pas à trouver le sommeil, je me lève et je vais fumé une cigarette sur mon balcon. Après avoir décompressée, je décide de m'assoire sur le canapé et j'allume la télévision, laissant la porte vitrée ouverte pour avoir de l'air. Je m'endors sur le canapé, lorsque je me réveille. Il est là devant moi, je suis tellement surprise et la peur m'envahie, aucun mot ne sort de ma bouche. Je n'arrive pas à crier. Mon ravisseur me dit ses derniers mots " On ne peut échapper à son destin". Il me tire une balle en pleine tête et il disparaît à jamais. Personne n'a su qui m'a tuée. Aucune empreinte, aucune effraction.

FIN

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