CHAPITRE 3

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 Au diable ce que cris mon cœur, il était impossible que les propos d’Abrahel soit véridiques. Je veux tourner le dos à la scène qui se déroule sous mes yeux, mais j’en suis incapable. Mes yeux restés figés sur cette carrure, qui fait resurgir en moi des sensations oubliées. Retourne-toi, retourne-toi… trépignais-je d’impatience les poings fermés. Je voulais en avoir le cœur net.

 Celui que je pensais connaître s’énervait de plus en plus, je le voyer agiter les bras. Toujours dos à la fenêtre, il semblait tenter d’intimider son interlocuteur. Lorsque soudainement il se tourna. Comme une enfant de deux ans, je me laissai tomber au sol dans un cri de surprise espérant qu’il ne m’est pas vu. Je posais une main sur ma bouche les yeux dans le vide. C’était bien lui. Un mélange de colère et de tristesse se forme dans le creux de mon ventre. Si j’avais pendant plusieurs années espéré ce moment, j’avais depuis longtemps effacé de ma mémoire l’envie de le revoir, de lui faire face. Je frappe le sol de mon poing dans un cri de rage étouffé.

 J’étais au sol écrasé par le poids de mes ressentiments. Non, mais sérieusement qu’est-ce que je faisais là au sol ? n’étais-je pas une déesse et une reine redouter ? Ce n’était pas un Dieu, qui plus est secondaire, qui aller me faire ravaler ma fierté. Je serre les mâchoires et fronce les sourcils et décide de me relever. Mon inconscient était satisfait qu’il ne soit plus devant cette fenêtre, mais ma soif de revanche elle me poussa à redoubler d’efforts.

 Je sais que j’aurais certainement dû laisser tomber et laisser la haine me consumer, qui sais après encore un millénaire ou deux elle aurait sans doute pris la poudre d’escampette. Mais non entêté comme je le suis, je me suis téléreporter dans l’appartement d’en face. C’était plus fort que moi. Je ne supportais pas ce qu’il éveillait en moi, je ne voulais pas de nouveau connaître la sensibilité et la déception, qui m’avait autrefois habité. J’étais une femme forte, une femme nouvelle et je ne comptais pas me laisser terrasser par les fantômes de mon passer. Zeus si tel est ton défit, je vais te réexpédier ton petit protéger !

 J’étais apparu dans cette même chambre ou je l’avais aperçu. Silencieuse, je tendais l’oreille à l’affût du moindre bruit. Une odeur d’eau de Cologne me monte aux narines, je grimace, celui qui habite ici à peut-être du goût en ce qui concerne la décoration intérieure, mais en ce qui concerne les odeurs d’ambiance, ses compétences laissent à désirer.

 Je m’avance et commence à distinguer les exaspérations de celui qui vit ici.

 — Vous pourrez m’offrir tout l’or du monde, je ne vous ferai pas rentrer ! C’est un cercle privé. Nous ne laissons pas entrer le premier venu !

 — Je crois que vous n’avait pas compris à qui vous avez affaire ? Raisonna sa voix rauque.

 Je me sens frémir intérieurement, fondre alors que les souvenirs m’assaillent. Je reconnaîtrais cette voix entre mille.

 — Je me fiche de qui tu es et si je ne te connais pas, c’est que tu n’es pas très important ! s’emporta l’homme, qui semblait de plus en plus désintéresser par ce dialogue de sourds.

 — Si tu ne peux pas m’aider, tu ne m’es d’aucune utilité ! siffla-t-il entre ses dents en levant le bras prêt à réduire à néant l’homme qui lui tenait tête.

 Si la vanité était un des défauts des Dieux, l’autre était qu’ils détestaient qu’on lui dise non. Et je jubilais intérieurement, je pouvais sentir sa frustration cachée derrière la porte à l’observer. Il n’avait pas pris une ride et son corps athlétique me rappelait un peu trop les longues heures que j’avais pus passer à les admirer. Je serre les mâchoires et secoue la tête pour chasser toute pensée trop positive de mon esprit. Il fallait que je trouve un moyen de reprendre le contrôle de ma vie. De le réduire en cendre tout comme l’Olympe l’avait fait pour moi.

 S’il était du désir pour Zeus de le mettre sur mon chemin, n’était-il pas de mon devoir de faire en sorte que les choses ne se passent pas comme ils le souhaitaient ? Le Dieu supérieur n’était pas le genre d’homme à faire les choses sur un coup de tête. Chaque décision, chaque parole était mûrement réfléchie et son avertissement faisait encore échos dans mon esprit.

 Une idée s’immisça dans mon esprit, si une ampoule planée au-dessus de ma tête, elle s’était certainement illuminée. J’allais battre Zeus a son propre jeu, même si pour cela je devais faire face à celui à cause de qui j’avais était chasser de l’Olympe.

 — Si j’étais toi, je ne ferais pas ça, intervins-je en sortant de l’ombre.

 Il fait volte-face en ma direction, pris au dépourvu je peux lire l’espace de quelque seconde seulement la surprise sur son visage. Il me détaille de haut en bas, alors que je croise les bras sous ma poitrine avec un sourire narquois au coin des lèvres.

 — Lilith… dit-il dans un souffle étranglé, comme si mon nom était une relique.

 — Therreur.

 Notre échange de regard dura pendant plusieurs et délicieuse seconde. Ses prunelles brunes avaient toujours cette malice, qui le rendait impétueux. Je le dessine du regard alors qu’il serre la mâchoire, je le vois à ses fossettes qui se dessinent dans le creux de ses joues. Ses cheveux d’un noir corbeau sont soigneusement coiffés en arrière. Il porte des vêtements sombres et un peux trop grand pour lui, signe qu’il ne s’était pas attardé sur son image lorsqu’il avait troqué sa toge, afin de passer inaperçu. Il avait gardé néanmoins ses bracelets en or et sa chevalière qu’il aimait tant le seul présent que lui avaient laissé son père dans le berceau dans lequel il dormait avant de l’abandonner aux portes de l’Olympe.

 Pourquoi me souvenais-je de ses infimes petits détails ? Je regrettais déjà mon plan, mais il était trop tard pour faire demi-tour.

 — Tu es loin de ta juridiction ici, j’espère donc que tu n’allais pas élaborer une mise à mort ? fanfaronnais-je en avançant vers lui tel un prédateur.

 — Je me passerais de tes petits discours moralisateurs, je n’ai pas de temps à perdre avec ça ! gronda-t-il en levant les yeux aux ciels.

 — Ici, c’est moi qui ai le droit de dire, qui meurt ou qui vit, ajoutais-je en croisant les bras sous ma poitrine en prenant un air faussement dédaigneux.

 — Que veux-tu Lilith ? questionna-t-il agacer.

 — Moi rien, mais toi si tu es sur terre, mêler aux humains, habiller comme un humain. D’ailleurs tu devrais sérieusement revoir ton style vestimentaire… C’est que tu veux quelque chose. Ou plutôt que tu cherches quelque chose ! notifiais-je malicieusement, ce qui avait le don de l’excéder d’autant plus.

 Therreur était un très mauvais menteur et il avait pour habitude d’humidifier ses lèvres lorsqu’il était mis sur le fait accompli. Et il y avait beau avoir des millénaires qui avait coulé sous les ponts, il n’avait pas changé. Je souris satisfaite de sa non-réponse et décroise les bras pour prendre un air plus détendu. Je m’avance vers l’homme à qui il voulait soutirer des informations. Je passe mes mains sur les épaules de celui-ci et le jauge du regard. Cela le rend mal à l’aise je peux le sentir. Mes yeux scintillent de malice, prenant une teinte dorée.

 — Qu’est-ce que cache ce pauvre Ivor pour qu’il s’attire tes foudres ? demandais-je avant tout pour moi-même. Bien que j’espérais une réponse de sa part.

 — Comment connaît-elle mon nom ? s’étonna Ivor avant d’être coupé par l’intervention du Dieu.

 — Cela ne te regarde pas Lilith, j’ai dû travail ! gronda-t-il sur un ton condescendant.

 — Donc, savoir comment intégrer le marcher noir ne t’intéresse plus ? dis-je en faisant mine de feindre la surprise.

 Il me toise, il réprime certainement l’envie de me tuer à cet instant même. Je dois avouer que je suis plutôt fière de ma petite entrée en matière.

 — Sur toutes les impasses sur lequel j’aurais pus tomber, il fallait vraiment que ce soit toi ? grogna-t-il.

 — Je ne suis pas là pour t’empêcher d’effectuer ta quête divine Therreur. Je t’ai observé et tu manques clairement de pratique dans le monde des humains. Qui pourrait t’en blâmer d’ailleurs ? Je me suis donc dit que je pourrais te proposer mon aide en souvenir du bon vieux temps ?

 — Je suis touché par cette attention Lilith, mais je préfère travailler en solo. Laissons les souvenirs là où ils sont cela vaux mieux pour tout le monde ! dit-il en me regardant avec attention.

 Je me sens comme électrifier par son regard de braise, comment avais-je pus oublier l’intensité de ses prunelles ? Je comprenais à présent pourquoi Zeus l’avait envoyé sur terre. Car il savait que je ne pourrais rester insensible au charme de Therreur. Et ce fut un échec et mat sur ce point-là, mais la guerre n’est pas encore terminée et je comptais bien en sortir victorieuse.

 — Très bien, soufflais-je déçus avant de venir subitement arracher le cœur de Ivor, qui n’eut même pas le temps de marmonner dans sa langue natale.

 Il tomba raide mort au sol, les yeux ouvert, rond comme des billes avec en mémoire mon visage qui l’accompagnera dans l’au-delà. Je laisse un sourire espiègle traverser mon visage tandis que celui de Therreur s’était affaissé ses mains trembler et la colère faisait très certainement tambouriner son cœur comme une turbine.

 — Tu as tuer la seule personne qui pouvait m’aider Lilith, gronda-t-il avec une pointe désespoir.

 Therreur était bien l’un des seuls Dieu de l’Olympe à ne pas apprécier la race humaine. Il les trouvait insignifiants et aussi bêtes que des animaux de compagnie. Personnellement j’ai toujours trouvé mes chiens des enfers plus intéressant et affectueux que les hommes. Mais quant bien même je savais que je venir de lui couper l’herbe sous les pieds et que devoir chercher une autre piste l’horripiler au plus haut point. Lilith 1 Therreur 0.

 — Non il n’est pas le seul. J’ai pus récupérer toute les informations que tu voulais, mais en contrepartie…. soufflais-en en m’avançant vers lui glissant mon index de manière sensuel sur biceps. Tu dois me laisser t’accompagner…

 J’avais soif de vengeance et le voir dans cet état me plaisait presque encore plus qu’atteindre le septième ciel. Dieu que cette mission allait être intéressante. Ses poils s’irisent à mon toucher, la réaction est immédiate et ses yeux croisent les miens pour la deuxième fois.

 — Il en est hors de question, tu es pire qu’un ouragan ! s’emporta-t-il.

 — Je prends ça pour un compliment, gloussais-je en penchant ma tête sur le côté, histoire de me donner un petit air angélique, dont j’étais réellement dépourvu à l’intérieur.

 Il me regarde avec ce petit air résigné, qui me fit paradoxalement fondre de l’intérieur. Il n’y avait pas à dire, Therreur avait tout ce qu’il fallait, là où il fallait. Précisément là ou j’imaginais à cet instant même. Je continue de lui offrir mon plus beau sourire. Bien qu’il ne soit pas décidé à me rendre cette délicate attention que je lui faisais. Après tout j’aurais pus simplement me contenter de l’éventrer et le vider tel un gibier que l’ont s’apprête à faire rôtir ! Mais non, je n’avais encore une fois pas choisi la facilité. Que voulez-vous j’avais besoin d’action, cela ne pouvait être que ça…

 — Je n’est visiblement pas le choix, finit-il par admettre en me détaillant, je pus percevoir une petite flamme dans son regard.

 — Il semblerait que non, soufflais-je collé à lui. Laissant mes mains vagabonder sur son torse.

 — Très bien Lilith, dit-il mystérieusement en se penchant au-dessus de moi. Tu veux jouer et te rappeler du bon vieux temps et bien n’attendons plus…

 Il glissa ses doigts dans une mèche de mes cheveux qu’il vient ranger derrière mon oreille. Ils continuèrent leurs périples en effleurant ma mâchoire. Ses lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres des miennes. J’avais les yeux rivés sur celle-ci et le cœur qui aurait pus alerter un quartier entier si seulement on pouvait l’entendre.

 Il s’écarta brusquement en me contournant. Je restai figé de frustration. Il avait osé. — Si tu m’accompagnes ont fait ça à ma manière ! dit-il en tentant de garder le un tant soit peu de contrôle sur la situation.

 Si vous voulez mon avis, c’est typiquement masculin. Donner l’impression que tout cela était mûrement réfléchi. Pourquoi ne pas se rendre à l’évidence et avouer que je l’avais mis au pied du mur ?

 — Tu sais que tu n’es en aucun cas en position de négocier ? lui rappelais-je en désignant ma tête de mon index que je tapote contre ma tempe.

 — Eh moi je te connais assez bien pour savoir qu’il n’est pas simplement question de rattraper le temps perdu. Ne fais pas ta Aphrodite, nous savons tous les deux ce que tu cherches ! fredonna-t-il en affichant son premier sourire narquois.

 Je me sens offusqué et mis à nue. Terriblement révolter d’être comparé à la déesse la plus niaise de l’Olympie. Je dois le reconnaître il venir de marquer un point. C’est étrange, je préférais toujours Therreur quand il se taisait ou quand il avait sa tête entre les cuisses. Je ne peux donc m’empêcher de le sonder avec des révolvers à la place des yeux. Il croise les bras et s’adosse contre le mur derrière lui. J’avais envie de lui faire ravaler ce semblant de fierté. Il me donnait la nausée.

 — Des millénaires se sont écoulé Therreur, ne prétendent pas me connaître aussi bien.

 — La terre pourrait être créée une nouvelle fois, que cela ne te changerait pas. Si pour beaucoup le temps joue en leur faveur. À toi il te rend d’autant plus vulnérable et avide de vengeance.

 — Je ne t’ai jamais perlé de vengeance. crachais-je en perdant la patience que je lui avais accordée.

 — Toi non, mais tes yeux, eux, n’ont jamais sue me mentir… souffla-t-il en plongeant son regard dans le mien.

 Je ne réponds pas et hausse un sourcil. Je voulais me la jouer indifférente, mais je n’y arrivais pas et lui répondre lui donnerait la satisfaction de voir qu’il avait marqué dans le mile. Je sentais une nouvelle pulsion meurtrière grimper en moi.

***

 Il n’y avait pas à dire, si je n’avais pas eu de deuxième trou, il me l’aurait très certainement fait à l’instant ou je vous parle. Therreur avait l’art et la manière de vous ôter les mots de la bouche et cela m’apprendra à prendre mes grands airs de reine des enfers pour acquis. Donc après m’être gentiment fait remettre à ma place, j’avais réprimé une bonne dizaine de fois l’envie irrépressible de la prendre sur la place publique et lui faire payer son affront. Il ne me rappelait que trop le vieux contentieux que j’entretenais avec son Dieu supérieur, mais je devais prendre mon mal en patience. Je dois être patiente… Me dis-je en m’efforçant de ne pas lever au ciel.

 J’étais assise dans un fauteuil, ronchonnant tout ce que je pouvais, pendant qu’ils fouiller les pièces dans leur moindre recoin.

 L’ennui le plus total, si cela n’avait était que de moi, la véracité de l’esprit de cet homme baignant dans son sang, m’aurait contenté. Je regarde ma manucure, tandis que j’entends des objets volés à travers la pièce. Silencieuse, j’avais décidé de le laisser mener sa petite enquête et croire qu’il pourrait trouver des informations, que j’avais décidé de ne pas révéler. Si monsieur pensait pouvoir me prendre de haut et ne pas en subir les conséquences… Je n’étais pas devenu reine des enfers en me laissant marcher sur les pieds.

 — Par le tonner de Zeus, gronda-t-il dans un excès de rage.

 J’entendis sa démarche lourde revenir dans la pièce principale.

 — Jurer au nom de celui qui t’a mis dans cette situation ne te saura d’aucune utilité, dis-je en ne lui témoignant aucune attention lorsqu’il arriva face à moi.

 — Quelles sont les informations que tu as réussi à prendre dans son esprit, pour l’amour de Dieu Lilith ! pestiféré-t-il en contenant l’envie de m’étrangler.

 Je relevai mon regard vers lui, ses poings étaient serrés et son visage déformé par se qui se rapprochait au plus de la haine. Je relève un sourcil étonné de constater qu’il était détendeur d’un sentiment presque plus sombre que le mien. Il remonta dans mon estime. Je me redresse et prends, comme à mon habitude, une posture quelque peu désinvolte et plante mon regard dans le sien.

 — Je ne suis pas une grande fervente de Dieu, mais lui est moi serons sans doute d’accord pour dire que s’il y a bien quelque chose que tu as perdu mon pauvre Therreur, c’est la patience… chantonnais-je en appuyant mon propos d’une petite gestuelle.

 — Ne me pousse pas à bout ! s’efforça-t-il d’articuler avec précaution, j’émets un petit rire moqueur avant de capituler.

 — Moi qui pensais que tu pouvais lire à travers mon regard, quelle déception ! m’exclamais-je en me levant.

 Je m’approche du cadavre, je m’accroupis près de lui et attrape le peux de cheveux qu’il possédait sur le haut de sa tête et la souleva avec un désintérêt presque troublant.

 — Ivor ici présent est mort à l’âge de cinquante-cinq ans, il avait un cancer, qui l’aurait très certainement emporté, avant que l’un de mes succubes ne puisse venir réclamer son âme.

 — Lilith…

 — La patience Therreur, la patience… Je disais donc, Ivor était la main droite d’un grand trafiquant d’art, spécialisé dans les reliques les plus rares au monde ! Et toi tu cherches comment infiltrer le trafic de marché noir pour trouver une de ses reliques. C’est bien ça ?

 — Dans les grosses lignes, oui.

 — Par chance, je connais son patron. Il organise d’ailleurs une soirée privée demain soir et je pense pouvoir nous y faire entrer. Ainsi tu pourras le rencontrer et négocier avec lui.

 — Parfait ! s’exclama-t-il en ne pouvant s’empêcher d’exprimer se regain d’espoir.

 — Par contre, si tu veux rentrer dans cette soirée… Il va falloir te trouver autre chose à mettre sur le dos. On ne va pas aller à une pyjama party.

 Il pose son regard sur ça tenu et me regarde après coup de manière interdite. Eh oui, mon petit Therreur, une session relooking te ferait le plus grand des biens.

— NOTE D'AUTEUR —

Hello tous le monde, je voulais déjà vous souhaiter de bonne fête et une bonne année avant de m'excuser d'avoir mis aussi longtemps à publier ce troisième chapitre. Le temps me manquais cruellement. J'espère donc que les aventures de Lilith vous plairons et que vous serez nombreux à m'aider à ameliorer ce chapitre au mieux !

J'avais penser à couper ce chapitre en deux, mais je ne trouvez pas le bon moment et surtout que le nombre de mot soit equilibré. N'hésitez pas à me donner votre avis. Je vous remercie par avance.

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