La Zsoldavie a toujours survécu aux empires qui prétendaient la soumettre

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L’historiographique zsoldave fourmille d’écoles différentes, voire opposées. L’institut d’Histoire dirigée par le Pr Kanterbrauwicz représente la ligne officielle. Mais il est injuste d’ignorer l’histoire dissidente, dont l’Ecole National-Chauvine

La Principauté de Zsoldavie* s’est toujours montré rebelle à toute assimilation à l ’Empire carolorégien.

La seule tentative sérieuse de mise au pas par l’Empereur Chârel den Grûte fut un échec sanglant : le 15 août 778, Roelandt van Ronssevall fut écrasé par l’armée du Prince près du village de Ronssevall, d’où son nom.

Chârel den Grûte conclut alors un traité d’alliance avec le Duc Ganelon de Szoldavie et le reconnut comme pair. Déjà se manifestait l’esprit d’indépendance farouche de ce petit peuple épris de liberté.

Lors du Traité de Verdurhin qui mit fin à l’Empire, la Principauté sortit de la mouvance des Carolorégiens et garda son indépendance jusqu’aux premières tentatives de formation de l’Empire Rogermanique qui mit face à face Rudolf Ier avec le Prince Odon. Là aussi, la Zsoldavie réussit à conserver un statut d’autonomie au sein du Saint-Empire.

Il en fut de même lorsque les Augsbourgs conquirent la quasi-totalité de l’Eurobe zendrale (à l’exception des Prutes).

La seule fois où la Principauté de Zsoldavie sembla soumise au joug impérial, fut la période comprise entre 1809 et 1813. L’Empereur fronce Nabulion Buenapardi rattacha brutalement et sans ménagement la Zsoldavie aux Provinces Illyriennes de son vaste Empire nabuléonin.

Mal lui en prit ! La suite de l’Histoire le démontra.

Après la dégelée impériale lors de la retraite de Rustrie, Nabulion dut reconstituer en hâte la Grande Armée avec des contingents levés un peu partout dans l’Eurobe.

Lors de la confrontation décisive sur le champ de bataille de Lipstick (16-19 oct 1813), au moment où Nabulion crut pouvoir enfoncer les Prutes, bousculer les Rustres et encercler les Autruchons, le 13ème de Cavalerie zsoldave commandé par Groucho von Karlmarxstadt choisit de changer de camp et donna la victoire aux Coagulés.

Le 13ème de Cavalerie zsoldave s’illustra encore de façon décisive le 18 juin 1815.

Au terme de l’épopée des Sans-Jours, Nabulion joua une dernière fois le tout pour le tout face aux zanglo-prutes conduits par le Général Badminton.

A l’instant où Nabulion allait submerger Badminton, le 13ème de Cavalerie zsoldave fit irruption sur le champ de bataille avec à sa tête le Général Groucho et disloqua l ’Armée fronce sur le champ de bataille de Waterzooï.

Nabulion prit le voile et se retira dans le Couvent Sainte-Hélène.

Franjef-Jossois d’Augsbourg, Empereur d’Autruchongrie, né de la réunion des couronnes d’Autruche et de Chongrie, connut la même mésaventure. L’Empereur Bucéphale tenta, au cours de la Grande Guerre, d’enrôler de force des troupes szoldaves pour les envoyer sur le front rustre.

Le Prince Léopold de Hohenstaufen répliqua en entrant en contact avec les Zalliés, et principalement avec le Président étazunien Bullett, partisan de la liquidation des empires d’Eurobe zendrale.

Le résultat fut la liquéfaction de l’Empire autruchongris et son dépècement en cinq états souverains: la Bohémie, la Chongrie, la Zsoldavie, la Balkanie. et l’Autruchie, réduite à un minuscule territoire.

La Zsoldavie a toujours survécu aux empires qui prétendaient la soumettre.

Konrad von Büchhow, Historien de l’Ecole National-Chauvine Zsoldave


* Orthographe chauvine

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