Un jeune garçon assez sale l’accueillit.

« Vous êtes ? »

« Une aristocrate. »

« Ah la haute société »

« Mickaël ! »

« J’arrive ! »

Puis Timi arriva.

Julia et lui se mirent dans un camping-car seuls.

« Tu es un gitan ! »

« Je voulais te le dire. »

« Ah oui alors ça, mais ... »

« Je t’en supplie, ne dis rien à personne, ici nous ... »

« Je suis prête à voler à mes parents et mon entourage. »

« C’est dangereux Julia »

La nuit tomba, Timi embrassa langoureusement Julia qui s’étouffa à plusieurs reprises.

« Excuse moi »

« Désolé pour l’odeur, ce sont les déchets… Ne me repousse pas ... »

La police internationale rechercha Julia.

Le commandant Bob rassura André.

« Nous allons la retrouver. »

André bu des verres de vins dans un bar et viola des femmes en secrets ! Honteux pour un bourgeois.

Timi montra à Julia tout l’horizon de ses lieux.

« Vivons heureux vivons cachés. »

« Il y a des gens qui recherchent cette fille. » Dit un Gitan

« Merde ! »

« Timi ! Pourquoi le gardes-tu c’est une sale aristocrate de … ? »

« Je suis amoureux et alors ? »

Le père de Timi le gifla devant tous les gitans.

« Va t-en avec cette fille et pars loin, ne reviens jamais ! »

« Mais papa ... »

Il le mit à terre.

« Tu vas m’écouter ? Pars ... »

Puis Julia tînt sa main à Timi, le releva et fuirent !

« On va ou ? »

« Il faut passer à ma maison. »

Ils arrivèrent devant la demeure, ils virent de nombreux soldats.

Julia passa par une fenêtre de l’autre côté et entendit des cris étranges.

Sa mère se fit violé par le compte André.

Julia courut et sauta sur lui, l’étrangla, l’égorgea …

André s’évanouit.

« Ou vas-tu ma chérie ? »

« Loin, je veux plus vivre sur ton autorité, je suis grande pour prendre des décisions justes ! »

« La police te recherche ... »

« Je m’en fous ! Ne dis rien à personne ! Je le fais pour toi, je suis ta fille. »

Puis Julia partit avec Timi, échappant des regards des policiers.

Sa mère ne disait rien et essaya de réveiller André.