Je cours dans la foret avec des membres de la resistance , nous essayons de fuir les SS qui nous ont surpris en train de liberer des juifs enfermé dans des wagons d'un train . A bout de souffle , je m'ecoule au sol dans un état d'inconscience .Allonger sur le dos je vois les etoiles qui illumine le ciel , sa sera sans doute la dernière fois que je les verai ;je risque de me faire excuté si il m'attrape . Si il m'attrape!je dois me relever et m'enfuir , je dois etre la le jour ou la france retrouvera son independance . Je me redresse difficilement et eblouie par les lumières de lampes torche des allemands qui s'approchent de moi .Je dois me depecher ! Je me lève rapidement et je me remet a courir le plus vite pour regagner ma planque qui a la sortie de la foret .Je commence a voir les lumières du village , ce qui me donne du courage pour redoublé d'effort pour arrivé dans la planque.Une fois sortie de la foret , je ne vois presque plus les lampes torche des SS , ils ont du surement changer de route . Dans un mur de brique a la sortie de la foret , je sors les vetements de rechange que je cache soigneusement pour pas eveillr les souspsons sur ma double identité .J'enfile la robe , les bottines et je m'attache soigneusement les cheveux brun en chignons. Je recupere mon sac d'école et les livres de cours et je range ma tenue de resistante dans le muret que je referme soignesement.Je marche tout doucement pour reprendre mon souffle et je deambule dans les rues du village pour rentrer chez moi .Alors que je parcours les rues du village , j'entends des hommes qui se dirige vers moi en courant . Ils sont là , les SS .Environs dix d'entre continue la chasse aux resistants et au juifs qui se sont echapés alors que trois d'entre s'arrete a ma hauteur dont un

qui est nouveau ,je l'avais jamais vue dans cette unité . Il s'approche de moi pendant que ses deux collegues font le guet , il me fit un grand sourire laissant apparetre une dentition parfaite . Son sourire me destabilisa , il a l'air si different des autres membres de son unité , il parait si ouvert au autre .Il arrive a ma hauteur ,j'arrive pas a croire , il est si beau dommage qu'il soit mon ennemi.

- Mademoiselle ! Que faite vous dehors a cette heure ?Dit-il d'un ton sec et intimidant .

- Je...je... (Reprend ton soufle Eliane ,Calme toi .)Je rentre chez moi , je viens de finir de corrigé les controles de mes élèves , je suis institutrice.Monsieur.Dis-je sans reprendre mon souffle

Un sourire en coin se dessine sur le bord de ses lèvres .

- Très bien , ne restez pas trop longtemps dehors avec ses resistants qui se promenent dans la rue .Il pourrait vous agressez.Dit-il froidement .

De la manière dont il parle me fait changer d'avis sur ma première impression sur lui .

- Bien ,monsieur .

-Au revoir , Mademoisselle .Dit-il en rejoingnant les deux autres SS.

Alors que je le vis s'éloigné , mon rythme cardiaque qui s'affolait en sa presence reprends un rythme normal.Après m'etre calmé , je decide de reprendre la route vers chez moi et de me coucher directement arrivé .Cette journée forte en rebondissement m'a epuissé .

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Il est 6h30 quand le coq se mit a chanté , ce qui me reveilla.Je me lève tout doucement et je commence a me preparé pour aller ramaser les oeufs de mes poules pour le petit dejeuné de mon père et moi .Mon père George est un père et attentionné pour ses deux jumeaux .Oui j'ai frère jumeau louis qui est dans l'armée de l'air .Malgrès la grande fierté qu'il eprouve envers mon frère , le savoir sur le front le rend malade .Chaque matin , il commence sa journée la boule au ventre d'apprendre la mort de son fils , c'est pour sa qu'il ne doit jamais savoir pour mon role dans la resistance .Mon père est gravement malade depuis qu'il a fait la guerre en 1918 , il venait de commencé son service militaire , a peine arrivé sur la base on la envoyer dans les tranchés mais lors d'un bombardement un eclat d'obus a froller son coeur , il a faillit mourir depuis il enchaine les crise cardiaque et les problemes respirtatoire .Il est entré sur le front deux mois avant l'armistice le 11 novembre 1918.Depuis que je suis toute petite je prends soin de lui car notre mère et la femme de sa vie est décédé en accouchent de mon frère et moi .Malgrès la peine immence qu'il ressentait sa ne la pas empeché de nous aimé encore plus fort malgrès ma ressemblance frappente avec ma mère .Son rêve le plus important a ses yeux de m'accompagné a l'autel le jour de mon mariage et c'est pourquoi qu'il s'obstine a me trouvé un mari respectable .

Une fois prete , je vais dans le poulaillé pour prendre quelques oeufs .Après avoir ramassée deux maheureux oeufs , je retourne chez moi ou mon père est assis dans la cuisine , il me regarde avec un merveilleux sourire qui orne son visage.

- Ma fille , tu es la .Dit-il soulagé

- Je suis la , papa .Je vais bien.

- Je me suis coucher hier sort en ne savant pas ou tu etais ,je m'inquietais surtout avec le remu-menage que les resistants on fait a la gare ,j'ai eu peur qu'il te soit arrivé quelque chose .

- J'etais a l'ecole , je travaillais , je ne risquais rien la bas .Dis-je agenouillé en face de lui pour le rassurer.

Je pose mon front contre le sien et je pose mon nez sur le sien tout en lui essuyant les larmes qui coulent le long de son visage.

- Il me reste que toi dans ma vie , j'ignore si ton frère rentrera un jour .Je ne veux pas de perdre .Dit-il très emues.

-Tu ne me perdra jamais papa ,et si Louis etais mort je le saurai ;tu sais le lien que j'ai avec lui .On est tout les trois vivants et on se retrouvera dès que la guerre sera terminé .On sera tous les trois reunis papa , je te le promet .

- Heureusement que je t'ai ma fille .Di-il soulagé.

Après cette conversation forte en emotion , je commence a preparé le petit dejeuné qu'on mange ensemble avant que je parte travailler dans l'école du village .Une fois avoir manger et ranger la cuisine , je prends mes affaires et je me rends a l'école .