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Le temps de s'habiller convenablement, de manger un bout, et de rejoindre le parc, il était déjà 14h quand les deux familles se retrouvèrent sous le grand chêne. Charles et Phinile habitant à deux pas du parc, étaient déjà présents. Tous deux avaient des cernes bien visibles, résultat d'une nuit aussi courte que pour les Martin. Les deux couples se rejoingnir, leurs corps raides et le pas cadencé trahissant leur nervosité

-"Pensez-vous que nous pourrions réellement trouver quoi que se soit dans leur repère ? s'enquit M. Annelet.

-Je ne sais pas si nous trouverons quoi que se soit de concluant, souflat Anne, mais au point où nous en sommes, nous n'avons pas beaucoup d'autre choix."

A ces mots, Mme. Annelet parut encore plus abattue, ses yeux se voilant perdirent le peu d'éclat, né après l'appel d'Anne.

-"De toute façon, contrairement à leurs chambres,cette cabane n'est pas sécurisée, plusieurs gamins pourraient y rentrer, et sans le vouloir, enlever un élément essentiel, alors lançons nous vite dans les recherches !"

Charles et son éternel joie de vivre, tentèrent d'encourager sa femme, qui sembla apprécier le geste. Les parents se répartir alors autour de l'arbre, tentant de trouver une échelle, peut-être même une corde... Après deux minutes d'observation, Jean finit par appercevoir dans un creux juste au pied du chêne et caché pour les ronces, une vieille échelle de corde. Ils se rejoignirent ensuite sous la trappe et tentèrent, non sans difficulté, de placer l'épais morceaux de bois prévu pour se bloquer dans l'embrasure. Charles et Jean grimpèrent en premier, s'assourant de la solidité de la corde et de la cabane. Une fois fait, ils aidèrent leurs Anne et Phinile à monter. Après cela, ils commencèrent à chercher d'éventuels indices, ou cachettes, suseptibles de renfermer une information capitale. La cabane en elle-même était assez spatieuse, environ 12 mètres carrés, et un plafon de presque 2 mètres de haut. Elle était également très bien rangée, 4 petits poufs à l'entrée, au centre un vieux tapis rapiécé, un bureau en boit au fond à droite, et une armoire à sa gauche. Deux fenêtres permettait à la lumière de passée, éclairant ainsi la pièce. Se fut finalement Anne qui découvra quelque chose. Un tiroir caché du bureau renfermait un cahier à la couverture noire et au pages jaunies par le temps.

-"Pensez-vous que nous devrions le donner à la police ? Si nous le manipulons trop, nous y laisserons nos empreintes, et brouillerons ainsi des pistes, déclara Anne.

- Ma chérie, je crois qu'au contraire, il serait intéressant de lire son contenu avant la police. Si il n'y a rien d'intéressant la dedans, pas la peine d'embêterla police. Et si certaines choses à caractères privées ont pus être écrites, je préfèrerais le savoir, répondis son mari.

- Moi je suis d'accord avec Jean, et toi ma douce ?"

Phinile, après un temps de réflexion, exprima son accord, suivit par Anne, que la curiosité rongée.

Ils s'assirent alors sur les poufs, et Phinile ouvrit le carnet, ayant eu la tâche de le lire à haute voix.

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