Maria James Lancaster

6 minutes de lecture

Hello mes petits lecteurs adorés~ aujourd'hui j'ai l'immense honneur de vous présentez mon premier chapitre hors série, où Maria est mise à l'honneur. J'espère pouvoir en faire d'autre sur Philippe et Armand et peut-être Anne qui sait XD~. J'espère sincèrement qu'il vous plaira !

Bon bah, comme vous le savez bonne lecture à vous et n'oubliez pas de mettre des commentaires c'est important pour moi. Bisous ~!

_ Maria ?

_ ...

_ Maria ! Où es-tu ?

_ Mince, faut vraiment que je trouve un autre endroit pour me cacher et vite !

_ Ah ! te voilà enfin !

_ Ah... ! Tu es là Allister. Que me vos l'honneur de ta visite chez nous ?

_ Ton père m'a demandé de venir le voir, pour affaire alors me voici.

_ Maria !

_ Père ? Que vous arrive-t-il ?

_ Vous deux dans mon bureau et en vitesse.

Mon père n'est pas du genre très social avec sa propre famille, en fait il la traite comme un régiment et encore certaines fois je me demande si ses propres troupes ne seraient pas mieux traitées que nous. Allister Georges Crown est l'un de nos voisins qui nous rend souvent visite. Nous avons presque grandi ensemble, mais je ne l'ai jamais aimé parce qu'il est arrogant et impolis, de plus son père et le mien s'entendent à merveille et ce dernier n'a eu que des fils qu'il cherche à marier avec des femmes qui vivent autour de son territoire un peu plus vaste que le nôtre. Son père est le Duc Georges Arthur Crown. Mon frère est promis à une Duchesse de York et ma sœur a eu le privilège d'avoir été repérée par l'un des princes de la famille Royale ; donc si l'on fait les compte, il ne reste que moi à marier... Et si...

_ Maria, il est temps pour toi de te fiancer et Allister était à l'origine le fiancé de Elisabeth ton ainée. Il est donc normal pour toi de te fiancer à lui.

_ Hein ?! Père vous ne pouvez pas...

_ Maria ! c'est non négociable !

_ Allister, nous avons déjà tout réglé avec ton père lors de sa dernière visite. Je te confie ma dernière fille.

_ Avec joie mon cher beau-père.

_ JAMAIS ! je partis précipitamment en claquant la porte derrière moi violement et me réfugie dans ma chambre en claquant la porte avant de la fermer à double tours. Comment osent-ils, jamais je n'accepterai de me marier à ce bon à rien d'Allister, il va m'assouvir et m'empêcher de m'instruire de rêver ! Je n'en aurai même pas le temps, il m'aura faite mère avant... JAMAIS DE LA VIE !!!

Quelqu'un toqua à ma porte, je reconnaissais cette façon de faire : ma mère. Cordelia Evelyn Hilton anciennement Vicomtesse d'Ecosse et actuelle Marquise de Lancaster. Mes grands-pères ont décidé de marier leurs cadets ensembles et de mes oncles et tantes se sont les seuls à avoir survécu à leur mariage si je puis dire : mes cousins et cousines sont presque tous morts de maladie dû à la consanguinité, car ils se sont mariés entre eux afin d'avoir un sang pur. Seul la sœur de mon père à réussie à quitter son mari mais pour se ranger dans les Ordres après la mort de son seul fils.

_ Maria, s'il te plait ouvre cette porte nous avons à parler.

_ Certainement pas mère, si c'est pour essayer de me faire changer d'avis, c'est peine perdue !

_ Maria, je t'en prie ! Ne va pas croire que cette décision m'enchante bien au contraire, je suis ici pour te proposer un marché.

_ ... Très bien j'ouvre... j'ouvris ma porte et laissai ma mère rentrer avant de la refermer à double tours derrière son passage.

_ Ma fille, ma dernière fille. Je sais à quel point cela peut-être difficile à avaler comme nouvelle. c'est pourquoi je voulais savoir si un voyage te tenterai afin de te remettre les idées en place et de faire un point avec toi-même.

_ Mère !

_ Vois-tu, j'en ai fait de même avant de ma marier avec ton père. J'ai traversé l'océan qui nous sépare des pays voisins, j'avais toujours rêvé de visiter l'Italie et j'y suis aller à ce moment-là. A mon retour en Angleterre ma décision était prise. Ton père est d'accord avec cet accord, c'est bien le seul d'ailleurs, je lui en ai déjà parlé et tu partiras dans deux jours pour la France. Enfin si tu es d'accord.

_ Oui mère ! J'ai toujours rêvé d'y aller !

Je n'avais jamais vraiment aimé mes parents et pour cause je ne les avais pas vues souvent étant enfants, ils n'avaient d'yeux que pour mes ainés. Mais je venais de me rendre compte à quel point ma mère avait elle aussi souffert de cette situation et qu'elle l'avait également connue. J'en pleurai mais en même temps j'étais heureuse qu'elle m'a parlée de son passé. Elle me prit dans ses bras pour la première fois de ma vie et me réconforta en me parlant calmement et me frottant le dos et les cheveux, cela eu l'effet de m'endormir à force de pleurer. Je me suis réveillée à l'heure pour le dîner en "l'honneur de mes fiançailles". Mais je n'avais pas encore décidé et pour l'instant la seule réponse qui me venait était un non catégorique ! Je ne l'aimai pas et lui non plus, il avait toujours eu le béguin pour ma sœur.

Je ne pris même pas la peine de me changer, je me dirigeai vers le bureau de mon père où j'y vis, en ouvrant la porte, ma mère, Allister et mon père en grand débat sur mon sujet.

_ Cordelia, tu n'as pas à te mêler de cette discussion !

_ Mon cher ami, elle est également ma fille et par conséquent j'ai un droit également sur son avenir !

_ Père !

_ Ah ! Maria, tu viens avec moi je te ramène avec moi à York dès ce soir !

_ Non mais et puis quoi encore ?! Je ne te suivrai pas pour ton grand plaisir, je suis encore chez moi ici ! Je reste ! Et puis, j'ai à parler avec mes parents, va-t'en !

_ Maria, je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi ! Maintenant tu vas m'obéir ! il m'agrippa le bras de force, j'eu juste le temps de lui mettre un gifle avant d'aller taper des poings sur le bureau de mon père qui était encore sous le choc de mon geste.

_ Je ne quitterai cette maison que lorsque que j'aurai été en France et que j'aurai accepté, pas avant ! C'est bien clair ? Désormais je ne quitterai plus ma chambre avant le jour de mon départ. Bonne soirée à vous !

_ Sale garce ! Allister venait de lever la main pour me mettre une gifle à mon tour mais mon père me faisait d'avantage peur que lui et il lui hurla dessus de quitter cette maison. Bien Lord Lancaster, Lady Lancaster, ... Maria, sache que tu regretteras ce geste !

_ Maria, pourquoi l'as-tu giflé ? Voyons... s'inquiéta ma mère.

_ A cause de ça. je levais la manche de ma robe et la seule chose qui apparaissait était la trace de ses doigts sur mon bras, ce n'était déjà plus rouge mais bleu.

_ Maria, ta mère m'a fait part de ton choix et je le respecte mais je veux qu'a ton retour tu t'excuse quand même auprès d'Allister pour la gifle. Pour les bleus je verrai ce que je peux faire. Ton bateau est dans deux jours mais, je n'ai pas pour autant oublié ceci. mes parents me tendirent un paquet bien emballé, et en l'ouvrant je fus surprise d'y trouver une magnifique robe en mousseline bleu ciel avec assez de dentelle pour la rendre élégante, le satin la sublimait et le corsage type marine la rendait unique et magnifique.

_ Père ! Mère merci vraiment pour ce présent.

_ Joyeux anniversaire à toi ma fille.

Et deux jours plus tard j'embarquais sur un navire pour la France durant une traversée d'une longue semaine à me vider comme un canard... Je hais la mer !

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