Chapitre 25

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La matinée était passée vite et nous avions bien travaillé. Charlotte était venue avec Tommy et moi, pour finir le puits qui fonctionnait parfaitement, maintenant. Nous pourrions donc commencer un nouveau projet cet après-midi.

Avant d'entrer dans la cabane, Tommy préféra frapper pour s'assurer qu'Octavio et Edwina n'étaient pas en train de faire quelques coquineries. C'est le mot que nous avions décidé de donner à nos nouveaux jeux. Il ouvrit doucement la porte pour vérifier une dernière fois que tout était OK. Charlotte avait été choquée tout à l'heure et il n'était pas question de recommencer.

— À quoi tu joues Tommy ?

— Je vérifiais que je n'allais pas trouver Edwina en train de s'occuper de ta queue. Je pense que Charlotte a assez eu d'émotion pour aujourd'hui.

— Non, c'est bon ! On est en train de préparer le repas, vous pouvez entrer sans crainte.

— Vous en avez encore pour longtemps ? Je voulais me nettoyer un peu.

— Ça devrait être prêt dans vingt minutes, je pense.

Edwina confirma d'un hochement de tête. Tommy se tourna vers moi et me demanda si je voulais l'aider à se laver. Je ne pouvais pas louper une occasion aussi belle.

— Charlotte, que dirais-tu de venir avec nous ? lui proposai-je. Tommy va devoir se mettre nu, tu pourrais ainsi l'observer.

Charlotte se mit à rougir, et acquiesça timidement de la tête. Tommy récupéra une bonbonne d'eau et de mon côté, je pris un gant et du savon. Nous nous dirigeâmes donc tous dehors pour ne pas salir les pièces communes. J'avais l'impression qu'une éternité était passée depuis la dernière fois que j'avais profité du corps de Tommy. Son corps était couvert de boue et pourtant, il était magnifique. J'ôtai son tee-shirt, qu'il avait remis juste après être remonté du puits. Il avait couvert son corps par pudeur pour Charlotte qui ne cessait de l'observer de la tête aux pieds. Il m'en avait fait part d'un air amusé, alors que nous étions sur le chemin du retour, juste après avoir fini notre matinée de travail.

Avant de nettoyer son corps avec de l'eau et du savon, je frottais la boue séchée qui était collée à son corps musclé.

— C'est fou l'effet que me font tes mains, j'ai déjà une érection.

— Il faudrait que tu te contrôles pour Charlotte, j'aurais voulu d'abord lui montrer ton membre au repos, dis-je discrètement à son oreille.

Après en avoir fini avec le tee-shirt de Tommy, qui m'avait servi à retirer le plus gros, je cherchai un coin pour le poser, mais Charlotte me proposa de le récupérer. Elle ne loupait pas une miette de ce spectacle inédit. De toute évidence, elle ne ressentait plus la moindre appréhension... bien au contraire.

Il était temps de passer aux choses sérieuses, je fis pivoter Tommy pour qu'il soit face à Charlotte et me mis derrière lui.

— Allez... Concentre-toi un peu, Tommy, chuchotai-je.

— J'essaye ! Mais rien à faire.

Les bras autour de sa taille, j'ouvrais un à un les boutons de son short. Charlotte avait entrouvert la bouche et était subjuguée par l'entrejambe que j'étais en train de lui dévoiler.

— Tu apprécies qu'elle te regarde ?

— J'apprécie surtout tes mains sur moi, Naïa. Mais c'est vrai que c'est excitant ce petit jeu. Et je ne suis pas près de redescendre, si tu vois ce que je veux dire.

— Je vois, ou plutôt je le sens très bien, dis-je en serrant légèrement son membre à travers son bermuda.

Je glissais maintenant les mains dans son short, pour le faire descendre le long de ses jambes. Une énorme bosse soulevait son boxer ce qui avait l'air d'intriguer Charlotte.

— Tu es prête Charlotte, l'interpellai-je.

Elle secoua énergiquement la tête, en refermant la bouche, pour la rouvrir aussitôt après. Avais-je eu l'air aussi bête la première fois que j'avais vu le corps d'Octavio ?

Voilà. Le moment était venu de découvrir la bête. Je tirai sur le haut du boxer, pour le passer sous son manche qui sortit comme un clown à ressort, au plus grand étonnement de Charlotte, qui allait bientôt se décrocher la mâchoire. Le tee-shirt que je lui avais confié tomba par terre sans qu'elle ne s'en rende compte.

— Charlotte, tu veux m'aider à le savonner ?

— Heu... Oui, dit-elle d'une toute petite voix presque inaudible.

— Alors, approche et prends le gant.

Une fois équipée, je mis un peu d'eau sur la main gantée de Charlotte et lui tendit le savon. Pendant qu'elle frottait énergiquement le tissu, pour le faire mousser, je versais une partie du contenu de la bonbonne sur le corps de Tommy qui frissonna. Je récupérai le savon pour le faire mousser directement sur mes mains, pendant que Charlotte commençait à frotter son torse musclé. Une fois mes paumes prêtes, je les glissais sous les bourses de Tommy qui sursauta de plaisir. Je passais tantôt le long de sa verge, tantôt entre ses fesses, tantôt sur ses couilles serrées l'une contre l'autre.

Tommy était propre maintenant et nous ne faisions plus que profiter de cet instant de volupté.

— Alors Charlotte, tu me crois maintenant ?

— Oui.

— Et tu veux voir le clou du spectacle, enfin si tu veux bien Tommy.

— Je n'attends que ça, je me retiens depuis tout à l'heure, dit-il.

— Et bien... Pourquoi pas, accepta-t-elle.

Ma main autour de sa queue lubrifiée par le savon, j'allais et venais doucement au début puis de plus en plus énergiquement. Le visage de Tommy commençait à se déformer sous l'effet du plaisir et le visage de Charlotte par mimétisme se déformait à son tour.

— Tommy, je me suis caressée en pensant à toi et j'ai pris du plaisir comme tu me l'avais demandé, lui susurrai-je à l'oreille.

Cette idée sembla lui faire beaucoup d'effets, car aussitôt de longs jets de sperme sortirent de son gland et se répandirent sur le sol.

— Oh, dit Charlotte surprise. Mais qu'est-ce que c'est ?

— C'est ce que l'on appelle le sperme, c'est ce qui permet de féconder une femme.

— Mais tu en as plein les mains, c'est dangereux.

— Non Charlotte, dis-je en rigolant, rappelle-toi ce n'est pas là qu'on le met.

— Non, je ne sais pas, dit-elle agacée.

Puis elle tourna les talons et retourna à la cabane.

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