Chapitre 5

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Elle m'a jetée sur son lit et s'est mise entièrement nue devant moi tellement vite. C'est une déesse : elle a un corps de rêve, sportive, tout ce qu'il faut là où il faut, des courbes harmonieuse, des seins juste de la taille de mes mains, des jambes musclées, un ventre plat, un nombril absolument craquant, des petits pieds charmants et ce triangle de poils bruns, qui fait comme une flèche pour montrer le centre de son plaisir. À la regarder, je sens cette humidité chaude renaitre entre mes jambes. Ce coup-ci, c'est sûr que mon jean va être trempé. Elle se retourne quelques instants et c'est là que je découvre ses fesses. Elle a vraiment un cul à damner tous les saints et toutes les saintes... On dirait 2 gouttes de sensualité pure, ces courbes parfaites, ces fesses qu'on imagine fermes et souples et cette raie sombre qui partage ce délicieux fessier en deux moitiés si appétissantes. Je ne peux pas résister... Moi qui n'ai jamais été attirée par les femmes, avant elle, j'ai toujours craqué sur le cul des hommes. Rien ne m'excite autant qu'un joli p'tit cul de mec... Et maintenant de femme, on dirait.

  • Oh Marie , lui dis-je quasiment en pâmoison devant son cul, surtout qu'elle se penche un instant.
  • Oui, Lucille ? me dit-elle en se relevant. Elle ne peut pas ne pas voir mon trouble. J'ai l'impression d'être écarlate et de bafouiller, que mes yeux vont sortir de leurs orbites.
  • Marie... Marie.... Je ne sais plus quoi dire, juste lui tendre mes bras et lui sourire
  • J'arrive Lucille, me dit-elle en venant se blottir dans mes bras. Tu as l'air toute chose, ma belle ?
  • Marie, je crois que je suis amoureuse de ton cul. Mais qu'est-ce qui me prend ? Jamais je n'ai parlé comme ça à qui que ce soit... Et à une femme en plus, une femme que je n'avais que croisée jusqu'à ce matin...

Elle éclate de rire et quitte mes bras, se met à genoux sur le lit et me tend son cul sublime.

  • Tu aimes mon cul, ma belle ? Il est à toi, fais-en ce que tu veux ! Mais avant, je veux te voir aussi à poil que moi, me dit-elle en se jetant sur moi pour me déshabiller.

Je ne tarde pas à être aussi nue qu'elle et on se retrouve rapidement allongées sur le matelas, elle dessous et moi dessus, nos seins qui se frottent, nos tétons qui s'agacent, nos pubis qui s'entrechoquent, nos jambes qui se croisent, nos doigts qui se nouent et nos lèvres qui se joignent pour un des baisers les plus tendres et les plus passionnés que j'aie jamais connus. Quand on retrouve un peu de souffles, elle me regarde dans les yeux et me dit :

  • Ma belle, tu ne m'as pas dit que tu voulais t'occuper de mon cul ? En se retournant sur le ventre et en me présentant son dos, sa chute de reins diabolique et son cul sublime

Je mets mes mains sur ses épaules pour qu'elle se baisse sur le lit et puis je relève ses fesses délicieuses. Dans ce mouvement, ses fesses s'entrouvrent, découvrant les lèvres roses de son sexe, déjà humides de désir et un peu au-dessus, une petite rosace, plus foncée avec de si charmants plis. Je m'approche et aspire profondément. Mon Dieu, qu'elle sent bon.... Elle n'est pas que belle, elle sent le désir et je crois comprendre que ce désir est pour moi.... Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Je fais mouiller cette déesse... Et elle me fait mouiller aussi (je sens que je ne suis pas juste humide, voire mouillée moi aussi mais que je coule carrément).

Je couvre ses fesses de baisers, du creux de ses reins jusqu'à ses cuisses. Pas le moindre centimètre carré de sa peau si douce qui n'ait reçu la douce caresse de mes lèvres. Elle respire de plus en plus fort et gémit doucement, ma jolie Marie. Je pose mes mains sur les côtés de ses fesses et... pose ma bouche en haut de sa raie sombre. Ma bouche descend tout doucement, dans cette vallée profonde et odorante. Je m'approche petit à petit de son anus avec ma langue. Une fois dessus, je l'embrasse tendrement, en entrouvrant mes lèvres et en posant ma langue sur ces plis délicats. Elle se cambre un peu plus et gémit sourdement.

Puis ma bouche descend le long de son périnée et le couvre de baisers et m'approche des lèvres humides et luisantes de son sexe. Je ne peux pas résister à la tentation de gouter à cette humidité du bout de la langue. Hum quel délice ! Et puis, je pose mes lèvres sur les siennes pour un baiser tendre et passionné. Je veux la bouffer. Ma langue se glisse entre ses lèvres, qu'elle est mouillée. Elle coule de plus en plus et cette fois-ci, directement sur ma langue, dans ma gorge. J'explore ses lèvres avec ma langue et vais dénicher son clitoris qui était encore à moitié caché mais qui ne demandais qu'à se montrer. Ma langue joue avec et mes lèvres le sucent. Marie gémit et se cambre. Tout son corps se tend. Elle gémit de plus en plus fort. Je glisse deux doigts dans son sexe trempé et commence à les faire aller et venir en elle. Je suce de plus en plus vigoureusement son bouton de plaisir et accélère le mouvement de mes doigts en elle. Elle devient à la fois liquide et tellement tendue, cambrée. Elle gémit de plus en plus fort avant de s'effondrer dans un grand cri. Après quelques minutes pour reprendre son souffle, elle se tourne vers moi et me dit :

  • Oh ma belle, toi, tu ne perds rien pour attendre, en se jetant sur moi pour un câlin qui augure d'une journée suivie d'une nuit durant laquelle on ne va pas beaucoup dormir...

Effectivement la nuit a été courte...Très courte...

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