Chapitre 6

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« Nana si n’interviens pas sinon moi et Bella on te boude, fait nous confiance » assure-t-elle jouant sur son portable, connaissant un peu trop son frère

La regardant prêt à s'excuser tomber sous le charme, son cœur s'accélérant, l'ayant trouvé incroyablement belle, d'une envie un coup de coude en plein ventre le ramène à l'ordre, se retrouvant au sol, un pied sur son torse, alors qu'elle le regarde d'un regard méprisant, d'une raison inconnue ne peut s’empêcher d'aimer ça, l’empêchant de se relever.

« Votre problème à vous les hommes, ce que vous sous estimez trop la femme, mais surtout vous êtes trop assujetti à vos pulsions, c'est pour ça que vous piéger c'est aussi facile, t'as vraiment cru que j'allais abandonnés parce que suis en soutif ? Tellement débile, suis déçu du célèbre Nattens, que je sache, je ne suis pas née avec des vêtements, pourquoi j’aurais honte de ce que la vie m’a donné et puis, je suis putain de bien foutue, raison de plus »

Se dissipant en fumée laissant un rire derrière lui, l’enlaçant lui léchant le cou la tripote, se prenant plusieurs coup la projetant dans le décor, n'arrivant pas à esquiver, respirant profondément se focalise sur ses sens entendant de léger bruit quand il reprend une forme humaine, se relevant d'un coup attendant le bon moment, d'un coup de poing dans le menton, l'envoie voler dans le ciel, d'un fouet d'énergie se fait tirer par la nuque, arrêtant sa trajectoire s'appuyant sur une façade de boulangerie, d'un cri le tir vers lui, l'attrapant à la tête prêt à lui exploser au sol, au dernier moment se transforme en fumée noir, se décalant sur des mètres, son corps finissant de reprendre forme, la percute de deux énorme laser noir, regroupant ses mains, les deux laser se combines pour en former un plus gros.

Ecartant les bras, le laser se dissipe sur elle.

« Au cas où tu n’aurais pas compris, je suis invulnérable, donc tes attaques sont inutiles »

S’énervant frappant le sol du pied, une succession de laser venant la frapper dont le premier dans le dos, finit par l’écraser contre un toit, le toit de cette pauvre boulangerie qui n’as rien demander.

« Par contre, j’aimerais ne pas finir comme nudiste sur Internet, donc les gars si possibles censurés moi tout ça, toi Nat…Tu sais quoi, je vais t’appeler sangsue ! »

« J’ai un nom ! »

« Deux seconde ! Et on s’en fou que t’es un nom, cafard, truc moche, t’es un vampire, tu bois du sang, donc une sangsue ! » assure-t-elle bloquant son coup de poing recouvrant son corps d’une fourrure

« Ça n’as aucun rapport ! » crie-t-il lui lançant une succession de laser puis un autre gros

« Pourquoi tu t’excites ? Tu as été vexé dans ton ego ? »

Avançant vers lui se servant de son corps comme bouclier, qui reste indemne alors que ce qui leur sert de sol, est en train de fondre sous l'intensité du rayon, d'une profonde respiration reprenant son calme d'une gifle dissipe le laser, transformant en guépard humaine, un guépard bipède dans son apparence sauvage aux formes humaines, aux mains humaines son corps est recouvert d’une fourrure jaune à tache noir, d’une vitesse monstrueuse et quasi impossible à suivre, rigolant alors qu'ils se fait trancher se régénérant très rapidement, perdant ses membres ils reconstitue très rapidement.

« Belle, sauvage et folle, je te veux » annonce-t-il

« Pourquoi, je voudrais d’un gamin dont je ne connais pas le visage et qui m’énerve ? »

Volant lui aussi, d'un combat de vitesse cherchant du regard Logan, son cœur pleurant pour lui, mais lui faisant confiance, n'espère qu’une fine réussite pour lui.

« Par ici beau-gosse, faut que t'arrête de déconcentrer » assure Dark Lilith, le plaquant au sol

A chevet sur lui, observant se grand blond aux long cheveux ondulés lui arrivant aux épaules avec une frange glissant sur ses yeux bleu foncé, avec une épaisse et visible cicatrice qui fend son œil gauche à la vertical au milieu, un visage plus neutre, ressemblant beaucoup à sa sœur, on pourrait dire qu’il s’agit d’une version alternatif masculine, de famille à un regard perçant, froid mais contredit par ce visage plus doux, serein créant un oxymore entre deux idées, lui donnant un charme s’opposant entre du dédain et philosophique, se retrouve coller au sol par des lianes d'énergie, n'arrivant pas à s'en défaire, l'embrassant langoureusement lui chuchote une phrase à l'oreille, l'ignorant en ce moment même ne pensant s’empêche de penser, rigolant dans cette position s’appuyant au sol d’une agilité faisant clignoter les yeux, passe sa jambe gauche et d’un coup de pied écrase la tête de Dark Lilith au sol, se relevant d’un coup esquivant de justesse une boule de plomb plus grande qu'eux.

« Dégagé ! Ce mec m’appartient ! » crie Annabella

« Je te jure, que je vais te violé » assure-t-elle se léchant les lèvres, bloquant d’une main la boule.

« Désolé mais t’as entendue la demoiselle, je lui appartiens »

Quelque seconde plus tard, glissant devant elle d'un coup de poing l'écrase au sol créant un cratère au sol, n'ayant pas le temps de la menacer elle s'évapore, d'une colère intense revoyant cette vision ou voir son meilleurs-amie et amis d'enfance, qu'elle connaît depuis le berceau, se faire embrasser, d'une raison inconnue se sent encore plus énervé, essuie ses lèvres puis l’embrasse.

« Que ce soit clair, uniquement moi est le droit d’embrasser ses lèvres, tu m’appartiens »

« Tu pouvais juste dire je t’aime et je t’aurais répondue moi aussi (ricanant, lui caressant le visage l’embrasse de nouveau, lui donnant sa veste en lambeau) On fait quoi pour Chakra ? »

« Cette fois-ci laisse-moi gérer, c'est aussi mon meilleur-ami et en tant qu'homme… »

« Tu te considères comme un homme maintenant ? Donc je suis en couple avec un homme ? »

« Pourquoi ça te gênes ? Et non idiot, t’as compris ce que je voulais dire, t’aime trop me taquiner toi »

« Ne vous fatiguez pas, j'ai tous vu sur les vidéos et puis en plus d'être plus intelligent que la norme, je vous rappelle que je suis un T3, je me suis très bien rendu compte de ce qui passait, c'est pas nouveau ce sentiment existait déjà, mais il n’était pas fleuri du coup j'espérais avoir une chance...je suis désolé, je n'aurais jamais dû être aussi cupide, donnez-moi du temps pour assimiler ses informations, pour moi vous n'êtes pas juste mes meilleures-amis ou juste une famille, en vous voyant ça m'as ouverts les yeux, à cause de ma cupidité, en voulant avoir ce que je n'aurais jamais pu avoir, j'étais prêt à briser la chose la plus belle que j'ai jamais eu, j'ai besoin de me repentir, mais vous inquiétez pas je serais de retour d'ici Septembre, et tout reviendras comme avant » leur explique-t-il par télépathie

« Chakra tu n'as pas intérêt à fuir, ou je te promets que tu vas nous entendre, on est une famille et en famille on va se soutenir, si tu nous aime réellement reste ici et affronte-nous, t'as promis de respecter le serment qu'on a fait » assure tous les deux.

Allant retrouver leur famille, se sentant coupable d'avoir blesser leur ami, n'ayant et n'arrivant toujours pas à lutter contre cette amitié, ce laissant aller ce petit groupe fond en larme, puis quelques heures plus tard le cœur tendu comme le fiancer partant avoir l'acceptation de la famille, mais au lieu d'aller voir le père part voire le frère, parcourant les longs couloirs de palais inutilement grand tendu récitant son discours dans la tête, le voyant s'agenouille devant lui.

« Tout d'abord je tiens à m'excuser, avant de faire quoi que ce soit, j'aurais dû demander ton accord, en tant qu'homme ne pas avoir l'appui des personnes, qui sont à l'honneur de son existence, est une insulte à la vie et je suis... »

Profondément et sincèrement touché par les paroles de son ami, lui tendant la main l'enlace.

« Je m'attendais pas à que ça arrive d'aussitôt, mais je suis plus que heureux de savoir ma sœur en couple avec une des personnes que j'aime le plus au monde, je te l'ai toujours dit, je te considère comme un de mes meilleurs-ami, un frère et tu sais que de parole j'en ai qu'une, si c'est toi la personne en question, je ne peux être que d'accord, désolé mais quelqu'un qui sacrifie un œil pour une personne invulnérable par amour, c'est stupide mais y a pas plus beau geste, sinon par curiosité pourquoi t'es venue me voir moi précisément ? Même si j'apprécie énormément le geste »

« Simple tu connais nos parents et leur amitié chelou, tout le monde sait qu'ils attendaient que ça, en ce moment même ça parle déjà de mariage, s’ils nous ont autant collé depuis qu'on est bébé c'est qu'ils espéraient crée des étincelles, d'un côté je peux les remerciées, grâce à leurs idées stupides, j'ai eu la chance de rencontrer, une femme merveilleuse ne lui dit pas ou elle va m'emmerder pendant des jours avec, sinon nana sérieusement ? Tout le monde dans notre fichu village connaît ta relation chelou avec t'es sœurs, désolé j'aime mes sœurs, y a sept ans j'ai littéralement perdu un bras pour elles qui a repoussé et je le referais sans hésiter, mais vous êtes beaucoup trop proche, on sait que c'est juste un amour familial, mais faut avouer que faire des bains avec ses sœurs, a notre âge c'est bizarre, embrasser sa sœur pour dire bonne nuit, c'est chelou ! »

« C'est vous qui êtes bizarre ! Vous êtes dégueu à imaginer à chaque fois des choses qui auront jamais lieu ! C’est mon frère, je l’aime certes mais pas comme ça, jamais ! Dégoutant ! Dans les bains publics mixtes, tous les mondes est nue et y a rien de louche, c’est pareil, si j’ai besoin que quelqu’un me lave le dos, tu dis ça comme si on faisait tous les jours, on fait ça une fois par mois ?! Pour les bisous désolés mais c'est con, un baiser à un sens si tu lui donne un, il existe dans plus d'une vingtaine de culture, le baiser comme simple geste d'affection, pour dire bonjour ou bonne nuit, c'est juste toi qui en fait un truc vicieux, y a rien de sexuel, surtout faut arrêter avec ce cliché, des exodeus qui couchent au sein d’une même famille, non ! A part quelque malade mentaux, ça n’existe pas ! Encore moins chez les Giorno et Amaro, y a pas de ca, la prochaine fois que tu oses détourné une relation saine en un truc malsain, je te démonte ta race ! Que je t’aime ou pas, je t’interdis même de penser, de m’insulter d’inceste, c’est horrible ce que tu sous-entends »

Pendant qu'eux profite de ses moments, Lars avant de rentre chez eux sont partie faire un détour voir des compatriotes criminels, dans un jet privé accompagné de Lord et Duke, Lyn, discutant sont tous envoyer par leur parent pour passer des tests, tous en tenue de super-vilain, une femme masque venant les rejoindre

« Tous le monde connaît Anarkhia mais précisons, nous sommes pour dire l'antagoniste combiné de Providence et Arcadia, dans nos lycées ont forme les futur grand esprit de demain, certain nous voie comme le mal, mais nous somme la vraie justice, faut savoir qu'il y a des règles à suivre, vous avez eu le règlement et vous le connaissez, à la moindre erreur vous serez sanctionné, pouvant aller jusqu'à la mort, vous avez juste un test à passer, mais d'abord êtes-vous sur de vouloir, vous engager dans cette voie ? Car une fois accomplie il n'y a pas de retour en arrière, si vous voulez refuser on vous effacera la mémoire et vous reprendrez votre vie d'avant...(ricane) excellent, la mission est simple, je vous ai envoyez un mail crypté et le but est de détruire la cible psychologiquement, socialement ou ce que vous voulez mais elle doit rester en vie, si vous réussissez vous commencerez les cours en Septembre, dites mois quand vous êtes prêt »

« C'est parfait pour voir si mon poison fonctionne »

Sortant leur portable, d'une notification d'une suite de symbole n'ayant aucune suite logique, devant le décrypter pour l'ouvrir déverrouillant leur portable cliquant sur une application, analysant le programme, modifiant la structure quelque minute plus tard finissent par réussir à ouvrir le message, recevant des pages sur trois individu, un professeur de lycée d'une quarantaine d'année, une étudiante à l'université et un enfant en primaire, tous trois n'ayant aucun lien entre eux, ne vivant pas sur le même continent, aucune information ne l'aient décrit comme personne ayant un passé obscur, trois individu ordinaire d’âge différent, malgré le nombre d'information précise n'ont pas l'air de sortir du commun, ne se posant pas plus de question.

« Juste une question, ça ne nous gêne pas de tuer sans raison, mais pourquoi eux précisément ? C'est quoi nos conditions ? » demande Lyn/Akuma jouant sur son portable.

« Vous avez carte blanche, le but est de détruire la personne et non l'as tué, pour ton autre question à vous de deviner le pourquoi, suite à ça on vous raccompagnera chez vous et vous aurez les résultats demain à 10h00 »

« Si c'est pour nous montrer que dans notre future vie, les dommages collatéraux sont inévitables, ont le savaient déjà, si c'est ça votre mystère il suffisait de le dire...On est prêt, le problème c'est qu'on se dirige vers le lycée et nos cibles sont à l'opposé »

« Justement prouvez nous vos compétences, vous avez jusqu'à demain six heure et il est actuellement vingt heure »

Se prenant par la main, la saluant d'un doigt se téléporte, en tenue de tous les jours arrive dans une ruelle donnant sur un campus d'une université, se promenant dans cette soirée souriante, éclairé par des lampadaires, des élèves se baladant parlant espagnol.

« Je m'en charge, suis curieux de voir si les cours d'Adam mon servie à un truc, Lyn je t'envoie le signe habituel quand j'ai fini, Lyn téléporte moi mon ordi portable »

Saluant son frère et sa sœur, rattrapant un sac à dos en vol, suivant une carte se dirige d'abord vers une bibliothèque, comme celle qu'on peut voir dans les séries américaine qui sont présente sur les campus d'université, s'asseyant au hasard sortant de son sac un ordinateur portable personnalise en motif de dragon et crée par Adam, respirant profondément se rappelant des heures passé à écouter et se prendre des coups par Adam, sortant un casque sans fil pour écouter de la musique violente, envoie des ondes aux alentours pour confondre l'esprit des passant, d'une vitesse accrues commence en activant un programme créer par Adam, faisant croire qu'il regarde des vidéos sur internet, alors qu'il est en train de piratés et prendre le contrôle des serveurs informatiques de cette université, reliant son portable à son ordinateur relisant le dossier lisant le profil psychologique de ca cible, voyant qu'il est décrit comme une personne discrète, aimante, refusant toujours de participé à toutes sortes de fêtes, depuis sa jeunesse, un éternel célibataire tenant à quotidien, lui donne une meilleur idée, falsifiant des donnés crée mensonge, sur mensonge.

« Duke, Lyn, je vous fais confiance ça intérêt à fonctionné cette fois-ci »

Passant à la prochaine étape ayant des dortoirs dans ce campus, d'un sourire machiavélique presque sombre, sifflotant sortant de son sac une poche avec une seringue s'injectant un produit dans le bras, se retenant de crie, son corps tremblant toujours plus vite, prend l'apparence de cette homme qu'il n'avait jamais croisé auparavant, rangeant ses affaires regardants l'heure sur son portable, envoie un message à sa coéquipière et partenaire de crime, qui elle s'étant déjà infiltré dans la chambre de l'enfant quelque part en Europe, l'enfant qui dormais paisiblement dans une chambre pour enfant passionné par les voitures, d'une famille modeste dormant dans un lit en forme de voiture, téléportant dans sa main une petite fiole remplie d'un sable.

« Maman je retire ce que j'ai dit, t'es cours de chimie son plus qu’utile, recrée et améliorer la drogue du mort-vivant lunaire, c'est du génie ! Mais on va voir si elle aussi bien » pense-t-elle

Heureusement pour elle, seule dans une pièce dans la nuit sombre, assis sur lit d'un enfant, qu'elle ne connaît pas, comme un mauvais scénario de film d'horreur, ou un fait divers à la fin macabre dévoilant les côtés les plus sombres de l'humain, d'un sourire nostalgique caresse le visage de cet enfant avant de lui verser sur le visage le contenue de la fiole, recevant à nouveau un message de son acolyte et frère adoptif qui attend en urgence son arrivé, soupirant agacé voulant observé sa proie se téléportant retourne à l'université au Mexique ou elle à laisser le retrouver à courir dans tous les sens, déguisé selon l'apparence de ca victime, courant nue dans le campus de l'université, agissant comme un fou démunie de sens tenant une tête dans sa main en rigolant, poursuivie par une dizaine de vigile le menaçant, se rappelant une mauvaise blague qu'il lui a fait quelque jours auparavant, préfère le laisser mijoter, s'installant sur le toit d'un bâtiment ayant une vue aérienne sur cette scène.

La prochaine fois abrutie tu ne mettras pas de piment dans mon assiette, pour la peine souffre un peu, ça te servira de punition » lui assure-t-elle par télépathie

« T'exagère, j'ai juste vidé le pot »

« Du piment de niveau 6 ! J'ai encore la langue qui me brûle ! Pour la peine va te faire ! Ça vous apprendra à toi et ton crétin de frère de me faire des blagues, croire que suis à votre service ! »

D'un doigt d'honneur agacé rentre chez elle, pendant que Lord esquivant aisément les vigiles cherche une solution, Duke confortablement installé dans un fauteuil dans une chambre digne d'une célébrité des réseaux sociaux aimé et aimante, respecté et respectable, aux multiples talents, passionné dans une université spécialiser dans la musique, en plein débat dansant avec cette jeune femme nue sur lui, regardant ses pupilles dilates, tel un scientifique sur son portable prend des notes appréciant l'ensemble.

« Je me suis assez amusé, ça va faire deux heures, s'est fascinant comme on peut manipuler l'esprit et le corps, avec un simple élément et depuis que j'ai bu le sérum, tous est tellement plus facile, ma vie est plus belle, je vais te laisser ma carte et quand t'en voudras plus fait moi signe...Tu viens de me donner une idée, à plus »

Comme dans un jeu-vidéo quittant la pièce en s'évaporant de nulle part pour aller nulle part, rentre chez lui où il retrouve son frère, affalé dans son lit épuisé par des courses poursuites, Lyn devant une série téléviser, s’endort.

D’autre se réveillant le lendemain matin, d’une pièce bien trop grande et luxueuse pour eux, finissant une soirée pyjama, les filles et les garçons se sont endormis dans le même lit, servis par les employés du château royal, accueillit mais surtout servit comme une royauté, en oublie leur venue, passant la matinée à visiter entre eux le château, finissant par se perdre et se séparer, essayant de retrouver son chemin, tombe tête à tête avec une lionne portant une couronne, la trouvant magnifique, voulant la caresser s’approchant la faisant sursauter, elle prend une apparence humaine, en humain ressemble à une belle femme caucasienne d’une quarantaine d’année ayant des traits doux, de longs cheveux blonds qui couvrent une grande partie de son visage, tandis qu'à l'arrière de sa tête ses cheveux sont tirés en arrière en une courte tresse qui traînait à mi-chemin dans son dos, toujours vêtu légèrement, avec souvent une expression entre de l’ennuie et de la joie, ou une ennuie euphorique.

« Ares, la célèbre Ares ! Celle qui a révolutionné le monde des Arcania et des humains, en tant que métamorphe et aimante de la nature, j’ai lu tes biographies et autobiographies, films des centaines de fan, je rêve d’être aussi cool que la reine des animaux, créatures cosmiques… »

« Suis vexé, moi quand tu m’as vu limite t’en avais rien faire, pourquoi t’as pas eu une réaction comme t’as sœur ? Tu ne m’aimes pas ? »

« Tata, tu es magnifique un peu trop même, je rêve d’être une femme comme toi, aussi cool et forte, mais tu es dans mon top dix de mes personnalités favorites »

Rigolant à cette honnête sans masques, n’ayant pas ressentie ses sentiments depuis longtemps, heureuse l’enlaçant, l’accompagnant dans la salle de réunion, du moins une des nombreuses salles de réunions ou sont le reste de la famille, profitant ensemble d’un repas royal, tous à table, discutant profitant un peu de cette journée avant de retourner à leur voyage scolaire, entre fouille archéologiques, étude de la nature et ainsi de suite se consacre à leur vie étudiante.

Quelque part en Angleterre dans un hôtel, ce genre d’hôtel fréquenté par des femmes de plaisir de tout âge à l’ambiance de la nuit ou des choses toutes sauf légales, passent remplies d’histoire qu’on croire voir qu’uniquement aux informations, se retrouve crucifié par des pieux en bois à un mur, malgré le fait qu’il se retrouve torturé, par une femme en nuisette aux visage masqué, l’insulte de remarque misogyne, partant dans un aparté dans lequel veut prouver que la femme est inférieur, existant pour servir ses penchants sexuel, rigolant s’abaisse aux niveaux de ses parties génitales mais d’abord lui injecte dans la nuque un produit qui lui procure de violente douleur, brûlante à ce qui fait de lui un homme, lui suppliant en l’insulter de le sauver. (Parle Anglais)

Agacé sortant de l’ombre un homme portant une tenue officielle du souffle sacré une combinaison moulante noir à motif de spiral du cou au pied couvant les mains, avec par-dessus des tenues de kung-fu rouge avec une ceinture noire, avec dans le dos en gros et sur le torse, Ashtamangala, tous dans le dos comme symbole d’appartenance, le masque, un masque de fer blanc accrocher à une cagoule, qu'il porte sert pour identifier leur temple, un masque de tigre rouge.

D’une simple pichenette lui cognant la tête contre le mur l’assomme, prenant une apparence d’homme porte une longe cape à capuche noir, avec une cagoule noire avec des ouvertures uniquement pour les yeux, comportant une forme de bec de pélican rouge pour la bouche, transformant son bras en épée, voulant le tué, de deux doigt bloque le coup, d’un geste l’écrase au sol, le maintenant dans cette position de faiblesse debout sur lui, n’arrivant pas à se relevé.

« Violeur, pédophile il a commis plus de crime que d’humain existant et c’est ça qui dirige une nation ! Il est tellement con qu’il est tombé dans un piège aussi évident ! Avec toutes les rumeurs, ils devraient se protéger, mais non cet abruti, tombe dans le premier piège…Je sais ! Mais tu ne peux pas me dire que tout le monde mérite une deuxième chance, il en a eu des centaines ! Des preuves de ses crimes y en a des milliards, il a admis ses crimes ! Il a ruiné des centaines de vies ! Voilà pourquoi je déteste la justice, parce qu’il a une immunité on peut rien lui faire, je peux comprendre tout à fait votre envie, j’ai la même, mais malheureusement on a besoin de lui vivant et peu importe à quel point une âme et corrompu, elle peut toujours être sauvé on a talent pour ça chez le Souffle Sacré » assure-t-il d’une baguette en bois parant les attaques d’un autre individu vêtu de la même manière, essayant lui aussi de le découpé d’un bras en épée.

« Je suis Jack l’éventreur… »

« Ta gueule ! Vous les criminels aimez trop parler inutilement, on en a rien à foutre, tout le monde vous connait, la prochaine fois vous éviterez de voler le souffle sacré » l’assommant d’un coup dans la nuque et d’un coup de pied cognant à nouveau la tête de l’autre Jack l’assomme.

Plus loin à New York au dernier étage d'un gratte-ciel, dans un bureau d'une riche milliardaire qui n'essaye pas de le cacher, une main ridée par la cupidité et la vieillesse fait signe à un mannequin métisse en slip léopard d'aller ouvrir la porte et ouvre la porte un jeune homme d'un trentaine d'années en costard, soigneusement taillé au moindre pli ordonnée et réordonné, accompagner par une enfant aux physique adorable rousse aux yeux bleu, souriante, habillé comme une princesse jouant timidement derrière lui avec une poupée à l'effigie de son papa, un roux irlandais aux yeux bleu.

« D si possible j'aimerais... que tu dégage de mon chemin » ordonne S un sombre individu vêtu d’une longue cape noir à motif de colombe blanche en fourrure, au long cheveux noir qui cache son visage.

« Lily ma puce va dans la chambre que je t'ai montré la dernière fois, plein de jouet t'attendent » Prononce D calmement, joyeusement à ça tendre puce qui ne se fait pas attendre.

Dès que ça fille d'amour partit s'amuser, il le plaque contre le mur, le soulève en l’étranglant.

« Attention le piaf si tu ne veux pas finir rôtis surveille ta langue, je... Te (sa pupille devient rouge) ... l'ai...déjà dit ! »

« Tous doux les choux, on est des gens civilisés... So get sit ! » les mains sur les hanches un travestie, habillé d'une robe de soirée, une écharpe en fourrure de renard cachant son visage derrière masque vénitien.

« M, mon beau comment ça va ? » demande T une sublime jeune femme, à peine plus jeune que Céleste.

Tous assis autour d'une table basse D, S, M se relaxent en s'infusant du café dans le corps en pleine pénombre à regarder une vidéo de nos héros en train de perdre la danse, en dessous d'une porte gréco-romaine géante en or massif qui commence à s'ouvrir ainsi dégageant une incroyable lumière, pure et apaisante, souriant uniquement leur sourire est éclairé d’une lueur rouge, regardant des hologrammes du Docteur Genesis et Chronos.

« Délicieux (se léchant les doigts un par un et lentement) c'est jouissif » commente M promenant ces mains sur son corps.

« C'est trop sucré à mon goût... Je l'aurais préféré amer » justifie S, retenant sa main droite de partir à l'aventure

« Que nénies du résultat... Quand nos mœurs obtiennent ce qu’elles veulent » résonne D

« Qu'entend tu par nos mœurs ? Celle de province ou la haute ? »

« L’humain est tellement cupide et stupide, recrée la société que des désirs d’enfant, faut pas la détruire au contraire faut la formater comme on le faisait avant, faut qu’on recruter ses deux-là, ils peuvent s’avérer utiles un jour, ça fait des siècles qu’ont à ce discours on s’en fou, plus important on doit réussir notre plan, à chaque fois on échoue ! On »

« Pour le moment on est coincé ! Donc ça sert à rien de parler ! Cette pétasse de Céleste nous a enfermée dans cette putain de prison ! Tu comptes faire comment pour nous faire sortir ? Ça va faire des millénaires qu’on est dans cette putain de prison ! »

« Ta gueule Saraquiel ! Si je n’avais pas été là pour sauver ton cul, tu serais mort ! Si on veut restaurez la vraie histoire, vrai religion, la seule histoire possible faut qu’on sorte d’ici, faites-moi confiance, jusqu’à présent mes plans ont plus ou moins fonctionnés, mais j’ai déjà quelqu’un sur le coup, il sait ce qu’il à faire… »

« Je ne comprends pas pourquoi tu veux ses cinq invulnérables précisément ? Pourquoi pas tous les prendre ? Ils sont cinq à être née le même jour… »

« Ils sont six ! Alora une démone deus, Neven un orc, Nathanaël un ogre, Lara une humain améliorés, Klaus un démon et Karma un demi ange, vous ne voyez pas le schéma ! A votre avis pourquoi Zahira, pourquoi cette pétasse veut les réunir ! Déjà l’invulnérabilité … »

« Ça n’aurait pas été plus logique, qu’ils soient cinq, cinq à naitre le cinq mai à 5h05 ? »

« On s’en fou ! Qu’ils soient six, dix ou mille on s’en fou ! (Soupir) suis entouré de con, je vais faire simple, vous vous rappelez de cet artefact divin, ses fameuses clés qui permettait de tous ouvrir, absolument tous, sauf qu’à l’époque un archange… »

« T’es taré ! Tu veux ouvrir Thanatos, la fameuse prison qui enferme les pires criminels de tous les univers, c’est du suicide ! Personne n’a jamais réussi à capturé ou autre avec cette prison, c’est qu’il y a une raison ! »

S’énervant un homme d'une construction puissante, extrêment musclé il a la peau mate, toujours élégamment habillé, suite à de nombreux combat se retrouve à toujours avoir le haut du visage caché, avec des bras en bois marron, gravé de symbole rouge étrange, allumant la lumière, se levant le gifle, l’envoyant s’écraser contre les murs dans ce salon.

« Ecoute quand on te parle ! Putain ! C’est pour ça que Gabriel à faillit te tuer plusieurs fois ! Le plan c’est de faire en sorte qu’ils nous délivre, pour qu’on puisse se servir d’eux et obtenir l’artefact sacré qui régleras tous nos problèmes »

« C’est bien beau tout ça mais pour le moment on est coincé ici, toi et tes plans miraculeux, le dernier que j’ai écouté m’as rendu comme ceci, alors pourquoi je t’écouterais ? Me sort pas tes grands discours, tant que je verrais pas les résultats, tu peux m’oublier, au passage si tu activais ta mémoire, tu saurais que comme ses artefacts sont trop dangereux Céleste les a enfermée dans un coffre, caché dans un donjon, qu’elle à créer, même si quelqu’un trouve la boite … »

« Ils sont invulnérable donc ça ne les affectes pas… »

Certain homme, dans une salle de contrôle, une pièce recouverte d’écran d’ordinateur, veillant sur des centaines de pièces, d’un laboratoire et base militaire, dans une pièce retentissant d’une lumière rouge clignotante suivie de son cri de rage, raisonnant partout, deux homme d’une quarantaine d’année, de taille moyenne, d’apparence ordinaire, trop bruyant pour s’entendre, tapotant l’épaule de son collège, poussant avec ses pieds, sur son chemin des cadavres dans un état censuré se tapote la tempe.

« Fatalis et si ont ce la jouais Mask pour une fois ? Si on y va en frontal, on va rejoindre ses deux autres crétins, et j’ai encore trop de chose à vivre, avant de finir en prison »

« Pourquoi choisir ? Faisons les deux, on va voir si mon virus informatique, espérons sinon on est coincé dedans et à moins qu’on vienne encore nous sauver on est dans la merde, faut qu’ont résiste trente minute exactement et Akuma vient nous chercher, mais d’abord va faire s’enfuir avec les Ripper, t’es prêt à faire du grabuge ? »

« Comme toujours, toi et moi contre le monde » assure-t-il prenant deux couteaux militaire sur un des cadavres à la carotide tranchée.

Lui donnant l’honneur, focalisant ses sens d’un sourire narquois de geste circulaire avec ses bras, les enroules ses bras de fluide orange et marron, l’expulsant sur le porte blindé d’un cri et coup de poing, explosant la porte une armée d’une dizaine de soldat, les braquant et menaçant, poussant son frère les pointant d’un doigt d’honneur sort de son corps une dizaine de pique de bois, se projetant sur eux en transperçant uniquement un en pleine tête, déçu de lui-même voulant retenter sa chance, son frère d’un coup de pied lui fait faire un salto arrière, pour le protéger derrière lui, se faisant mitrailler de laser, tomber au sol voyant sa peau partir, soupirant arrachant son masque se relevant d’un doigt d’honneur portant sa tenue.

« Merci, j’avais besoin d’énergie, j’en ai un peu trop utilisé tout à l’heure, disons que le problème c’est que je peux absorber et manipuler l’énergie, mais je ne peux pas la créer »

« Fatalis tu parles trop, ils n’ont pas besoin de le savoir, Mask à raison commence pas à faire ton vilain typique, c’est trop cliché » répond son frère dissolvant son mur d’acier, reprenant sa forme originelle

« C’est Reverse Mask ! » crie-t-il

« On s’en fou ! » répondent-ils

D’un bruit d’explosion, se retournant lance en rafale des boules d’énergies sur la foule, d’un bruit suspect, à son tour Doom d’un coup de pied fait faire un salto arrière à son frère, le positionnant à côté de lui, en profitant pour lui voler un de ses pistolets et tirer trois fois dans le plafond, deux fois devant lui et une fois derrière lui, en tuant deux, d’un coup de pied au sol créer un bloc de métal bloquant un coup de sabre laser vers lui et son frère, retirant sa fausse peau, pour se dévoiler dans sa tenue.

« Comment tu savais ? Je croyais que t’aimais pas les armes à feu ? »

« Certes mais je n’ai jamais dit que je ne savais pas m’en servir, je te signale que depuis des mois, ont suit les mêmes entrainements, j’ai bu le même sérum, comme le dis tous le temps Mask, plus tu connais ton sujet, mieux tu peux la manipuler, à ton avis pourquoi j’ai modifier ma tenue ? »

Tous deux portent le même costume avec deux légères modifications l’un de l’autre, tous deux portent une combinaison noir moulante une pièce, du cou aux cheville, les mains compris, à ce costume ont rajouté des idées utilitaires, des gantelets en acier avec des trous aux paumes et une ouvertures aux poignets et aux coudes de même aux jambes, rouges pour Lord et violet pour Duke, et pour cacher leur identités, tous deux portes une cagoules noir avec pour seul ouverture les yeux aux vitres teintés blanches, avec sur le front une plaque en argent marque de leur code « Doom » pour Lord et « Fatalis » pour Duke, se retournant ils ont marqués aux dos, sur les omoplates leur nom de code, avec des plaque circulaire métallique, pour y accroché entre autre leur armement pour Doom deux Katana aux fourreaux et manche noir à motif de cerisier la lame rouge sang, pour Fatalis deux fusil sniper d’assaut, aux hanches deux pistolets.

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