Dorénavant, John se charge de sélectionner les machines et je me charge de coder un logiciel pour générer des machines d'entraînement de manière procédurale. Heureusement pour moi, ils ont préinstallé une interface plus ou moins semblable à la mienne. J'en conclus donc que, lorsque le haut dignitaire disait que je ne mentais pas, ce n'était pas grâce à un pouvoir, mais à une observation. Également, certaines choses doivent empêcher le déplacement par tachyons, sinon il m'aurait demandé de faire une machine à voyager dans le temps, puisqu'il m'a vu. Aussi, soit l'empire à un système si bien conçu qu'il n'a pas pu m'observer, soit le fait que je voyage dans le temps l'a empêché de me suivre, soit il pense qu'on a vraiment quitter les gardiens, soit il sait tout, mais ce serait très stupide de nous donner la capacité de tuer plusieurs millions de membres d'un coup surtout quand on sait que les gardiens ont un permis de tuer absolu dans tous les univers. Mais bon, tout cela devient illogique si on se dit que mon univers possède un temps relatif similaire à celui du multivers. Dans ce cas, je dois avoir tout juste commencer mon business dans mon univers. Ils ne savent peut-être absolument rien. Même s'ils doivent se douter d'un truc s'ils sont allés vérifier dans mon univers. Ça m'étonnerait, car ça les rendrait trop visible. Le plus gros problème reste que même avec une interface semblable, le code n'est pas traduit. Je suis obligé d'utiliser une méthode de mon univers. Coder octet après octet.

Je commence mon code. Il y a tout de même un point sur lequel je peux les remercier, c'est qu'il y a toutes les machines enregistrées sur l'ordinateur et qu'elles ont le même nom que sur la tablette.

Au bout de quelques heures, John revient et dit:

-Mec, j'en ai trouvé 643. Sinon j'ai fait la maison. Tu en es où?

-J'ai déjà fait le système de notation, de modélisation de mouvement par photogramettrie et UV et de reconnaissance faciale qui permettront de donner une note. J'ai aussi fait un système de sécurité et d'alarmes. Tout ce qu'il faut c'est les objets qui vont avec. Pour la génération procédurale, il me faut les machines. Avec 643... Si je me débrouille bien, je dirais entre 3 et 4 jours. Après, s'ils ont fait une certaine chose, alors je dirais que dans 2 heures j'ai fini.

-C'est quoi cette chose?

-Indiquer où sont les entrées et sorties de chaques machines. Sinon, c'est à la main... pour chaque machine. Il me les faut pour pouvoir faire des systèmes qui sont continus.

-Ça te dirait de prendre une pause pour aller voir la maison et mangé un peu?

-Ça ne me ferait pas de mal, mais je vérifie juste s'ils l'ont fait... Tu sais ce qu'on peut faire durant 13 jours?

-Perfectionner.

-Bon écoute, à ce stade, il peut se passer deux trucs. Soit tout est tellement parfait que littéralement on peut juste laisser la machine tourner, soit tout est tellement bugé qu'on doit apprendre une langue de codage et faire le logiciel le temps restants.

-Dans les deux cas on y arrivera. Attends... Tu n'avais pas dit que tu savais coder?

-Je n'avais pas prévu qu'ils n'avaient pas traduit les langues de codes. Je me retrouve à tout coder comme quelques uns de mes ordinateur quantiques... à l'octet.

-Quoi?

-Bah quoi?
Nous nous dirigeons vers l'abri qu'il a construit. Contre absolument aucune attente, il a fait un manoir. Je lui demandes:

-Tu as pris des cours d'architecture?

-Non, pourquoi?

-Même ma propriété principale était pas aussi grande... Elle faisait plus de 6000 mètres carrés sans compter le sous-sol, les terraces et le jardin.

-Je me suis laissé emporter.

-Il y a combien de chambre?

-2

-... Elle fait combien de m-

-14'000.

-Et elle est remplie?

-Oui.

-Quand je te demandes un abri, évite de t'emporter la prochaine fois.

-Bah quoi, elle équipée de deux piscines, trois jacuzzi, 2 salles de bains, 2 chambres, une cuisine, un sona, un terrain de tennis en intérieur, une salle de sport, un salon, une salle d'informatique, salle des serveurs, salle de jeux vidéos, salles de contrôle et maintenance, un labo et deux toilettes.

Je le regardais. Il était tout fier. Je lui ai dit:

-C'était du préfait?

-Ne gâche pas tout... C'est quand même moi qui ai tout assemblé.

Nous sommes rentrés et sommes allés manger.