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Une minute de lecture

Peu importe où le regard se pose

Tout est d'une teinte morose

Une pale pallette cendrée

colore cette triste cité

Au milieu de ses étroites rues grisés

Je vis cette robe d'un blanc pur

Qui brillait pour m'appeller

Mon être en était sûr

Notre rapprochement me le confirma

C'était bien le destin qui s'exprimait

L'immaculée mettra fin à cela

A ce monochrome larvée

Le cri ne pouvait que sublimer cette beautée

Celle de cette vive couleur qui éclatait

Recouvrant ce blanc mauvais

Une scène à admirer

Le gris apparraissait encore plus effacé

Face à ce merveilleux vermillon

Qui éclairait ma vision

La joie m'enivrait

Le pourpre qui coulait sur les pavés ternis

Etait d'une splendeur jamais égalée

Le destin ne m'avait pas trompé

C'était un spectacle exquis

Mais le lendemain, tout était redevenu gris

Comme si rien ne s'était passé

Alors je recommencerais

Car ce rouge est béni

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