Les sombres quartiers
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La nuit, dans l’ombre, chaque trace s’efface
Les gens passent vite, ne s’arrêtent pas
Quelques créatures se cachent dans les coins sombres des ruelles
La pluie tombe, s’écrase sur les pavés froids
Rajoutant plus de tristesse encore à ce paysage morbide
Quelques taxis osent s’arrêter mais repartent aussitôt
De peur de voir leurs voitures immobilisées par l’obscurité
C’est ainsi, les sombres quartiers
Où personne n’a envie de trainer
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