17 AVRIL : Le jour ou la vérité surgie

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Ma douleur restais, ma vie s’enfuyais, je suis fatiguée, je me paire dans la peur ! Quand, je rouvre les yeux je vous vois, tous vos visages me fixe, mais la douleur de mes jambes me brulait tellement que je tremblais, des bruits m’infligeais un écho, je pleurais, je pensais a cette accident, je ne bougeais pas j’étais troubler par la mort, les larmes, la douleur, la peur... Je ne pouvais bouger ! J’avais, mal, mal, mal, tellement que je tombais dans une peur terrible ! Le temps passait si vite que je me sentais perdre mon équilibre dans le monde que j'avais connu prosspaire mais que maintenant était dans un état triste, je savais que je pouvais me relever mais mes jambes ne pouvaient bouger, alors avec inquiétude je voulu me lever, je pris un élan mais je retombe, me met à pleurer sans m’arrêter.

***

17 AVRIL :

J'était assise sur un ban près d'un magnifique rosier je regardais attentivement le temps passer, et lui le vent pendant ce temps fesais danser mes cheveux obscur. Je regardais autour de moi, quand je me rendu compte que le monde avait changer, les fleurs avaient faner, les hommes son partit, les enfants pleuraient, les animaux riaient mais tombaient dans le sommeil, l'air danse dans le vent, le feu souffle, les cries résonnent, et ma peur elle s'évanouille dans un sombre crie du passer, qui file comme une tréner de poudre qui fini par ce mélanger au sable et ne retrouve plus sa route alors moins las elle pourssuis son chemin déja tracer par un fil doré, mais cette tréner de poudre ne revera plus son monde natale maintenant qu'elle èrent dans un désert triste... Mais dans les ombres du ciel un grondement retentis, et tout d'un coup je me relevais avec un air fatiguée mais avant que mes jambes eurent le temps de faire un pas en avant, je m'écroulais sur le sol, exasperer je pris... Mais plus rien tout c'était arrêter sur une image flou, avec un air d'engoisse je me retournais pour entendre comme le cris d'un enfant, et en avançant je remarque qu'il y a une entrer toutefois pour aller ou, cependant comme si je ne dirigeais pas mon corps je courru vers cette porte de lumière rouge néanmoins j'avais toujours un pas lent mais je pouvais marcher ; quand je fus arriver devant cette entrer je laissais mes doigts glisser avec force comme pour ouvirir mais rien ne se produit alors comme si pour une autre tentative je saisie la pogné couleur or et je poussais avec une force que je n'avais pourtant pas...

J'était maintenant dans une pièce sombre, illuminé par des bougies, elle donnait une impression bref de lumière. Une grande table en bois de chêne se trouvais au centre, toutefois elle avait un air irrégulier cependant elle avait l'air lisse et agréable ; sur la table il y avait des couvers et des plats de toute sorte, mais il n'y a avait personne, alors avec un pas lourd je pris un élant et je mis a marcher en avançant je me rendis compte qu'aufont de ce grand salon ce trouvait une belle cheminée traditionelle mais la différence a une vrai cette cheminée avait un feu chrysocale *( couleur entre le maron et le jaune or )*, et tout d'un coup, sens vraiment comprendre j'avançais encore, cette fois si vers le feu. Mes yeux brillaient d'emerveillement, tandis que mon corps avançais dans la sombre lumière beige, néanmoins tout s'arrêta et j'eu l'impression de reprendre possetion de mon corps inhabiter, quand une voix inhumaine mais faible et tranquille, me demanda :

- Elentari, sais tu pourquoi ce feu est-t-il chrysocale ? Oh pardonnez moi Dùryn vous ne devez point le savoir toutefois vous le saviez... Je suis triste que vous ne vous souvenez pas de l'instant ou votre main a bruler dans ce feu ! Vous souvenez vous au moins de la raison de cette accident ? Mais non que suis-je sot, vous n'avait plus ce qui vous rendez comme moi...comme nous...surtout comme eux...Dùryn...ou plutot Elentari ?

J'étais figer comme si tous que cette être inhumain avait dis était vrai mais avec affiction je m'écroulais sur le sol froid. Ma carapasse qui me protégeais de mes différences avait été détruite par de simple mots, et la vérité avait resurgie cependant pour moi la vérité était dure et était comme une épine dans mon coeur, et cette écharde avait été enfoncer dans mes arthères saignente, d'un sang cireux... Maintenant j'avais un sentiment d'épouvente, et avec une voix trenblente qui essayais d'avoir un air serain je dis :

- Brivael...? Est ce que sais toi...? Je te croyait pourtant partit...! Comment...? Mais...mais...mais pourquoi est tu revenu, le monde a changer, est ce que tu le savais...? Brivael est ce pour moi...? Répond moi, je veut une réponse...pourquoi...pourquoi me...fait tu ça...? Je ne veut plus...je ne veut plus être Elentari Arwen...je suis Yuki maintenant...pourquoi...? Je ne veut plus être elle je veut être cette nouvelle personne dont j'ai créer le nom...dont j'ai fait croire les parents...j'ai tout fait pour être quelqu'un d'autre...Brivael...?

- Mais tu restera Elentari Dùryn, malgré tout ce que tu pourra faire tu sera ce bébé qui est née, qui a grandis, qui vas viellire, et mourir. Je sais le monde n'est pas comme quand nous étions deux enfants dans un monde heureux a courir dans les champs, les forêts, les montagnes...Et a ne rien comprendre de la vérité, mais maintenant regarde toi et regarde moi, nous somme grand et avent tout comme quand nous étions enfants : nous somme deux, et a deux comme elle disait : on peut tout faire car a deux la taille ne compte plus alors vient. Le monde est triste mais tout peut changer et pour ça il faut que tu vienne.

Je m'étais maintenant retourner, je le voyait lui avec ces grands yeux verons noir et émraude, et c'est cheveux roux, ces habille vert sombre, et avant tout son sourire de diable mais malgré le regard et le sourire cruelle il avait ce côté bon que j'aimais. Je pleurait quand il ce mit a ma hauteur pour me prendre dans ces bras, au moment ou il me pris dans ces bras je me sentit tout d'un coup comme chez moi comme si quand j'était près de lui j'était mieux et que j'était chez moi...et toujours avec une voix trenblente je dis :

- Briveal Dùryn...mon frère...

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