Au grand départ 3

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  • Comment il va ? questionna cette voix.

  • Je… je ne sais pas… je n’ai pas assez de force pour retirer toute sa souffrance, avoua Aïda qui restait depuis tout à l’heure à terre, elle était débitée.

  • Aïda… tu as fais de ton mieux… il a un parcours tellement lourd, que son esprit est tellement torturé qu’il est difficile pour lui de supporter … il sature… ça me dégoûte de ne rien pouvoir faire tu sais, rassura la jeune fillette.

Reprenant ses esprits, elle regarda qui se trouvait à ses côtés, c’était une jeune enfant, qui volait dans les airs, ses cheveux étaient courts et bouclés, ils étaient châtain clair. Elle restait les bras croisés dans sa longue robe blanche, sa peau semblait soyeuse et douce, comme la soi.

Aïda restait sous le choc, la bouche grande ouverte, elle se releva avec lenteur et difficulté.

  • Al… Aléa ! C’est toi ? interrogea la chimiste en voyant les yeux jaunes de la fillette.

L’enfant toujours dans les airs, tourna sa tête en direction de la chimiste.

  • C’est… bien moi effectivement… Tu… peux me voir et m’entendre ? questionna la gamine qui demeurait d’une grande sagesse.

  • Ou… oui ! Je n’en reviens pas ! Tu existes vraiment !

La jeune enfant la regarda de côté avant de disparaître, Marlow émergea doucement de son coma, il commença à cligner des yeux avant de se relever avec douceur et de se toucher l’arrière du crâne, puis, lorsqu’il était entièrement debout, il commença à marcher deux pas en titubant en direction de sa sauveuse.

  • Salut poupée, tu peux me dire ce qui sait encore passer ? demanda gêner le blondinet.

Lorsqu’elle le vu debout sur pieds, elle lui sauta au cou, elle non revenait pas que sa méthode loup-phoque ait marché.

  • Yah ! T’es sorti du coma chuis trop content ! s’en réjouit la jeune femme qui tourné sur son cou, comme dans un film de romance.

  • Du… du calme poupée t’es encore plus lourd que mon grand-père, sorti sans réfléchir Marlow.

Puis, Aïda se calma, elle ne preta pas attention au dire de son ami.

  • Eh ! Marlow ! T’es vraiment un crétin ma parole ! Pff, t’es vraiment qu’un faible ! Te faire sauver par une fille non mais la honte quoi ! nargua la jeune enfant qui était revenue dans la statue.

  • Tu peux parler toi ! Madame je crains trop de bouger mon cul pour affronter le monde réel ! Moi ou moins j’ai des couilles et je les porte à merveilles, renchéri Marlow en mentant de ses mains l’emplacement de ses bijoux.

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