Au grand départ

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La jeune Aïda, eu l’impression que tout le monde autour d’elle se déplacer au ralenti, elle vu le corps de Marlow tombait avec lenteur à terre, avant d’entendre le fracas que créer sa chair tapant contre le sol. Elle se retourna avec douceur en direction de son ami, désormais à terre et inconscient.


Face à ça la jeune femme, elle se mit à hurler le nom de Marlow. Elle venait de prendre conscience que son ami, venait de perdre connaissance, elle demeurait tremblante face à la situation. Cette jeune femme de dix-neuf ans ne supportait pas les situations de stresses, elle faisait par de rare occasion de l’hypertension, c’était dans un état dans lequel elle se m’était, c’était un mécanisme de défense que son corps crée, si la pression était surélevée, elle tombait dans les vapes, ce qui l’évita les situations trop angoissante ou pesante.


Mais, malgré cette maladie, elle demeurait calme, elle devait sauver Marlow, coûte que coûte, elle le retourna sur le dos.

  • MARLOOOOW ! Ça… ça va aller, je … suis là, hurlait-elle en posant ses mains tremblantes sur le torse de Marlow.

Le corps de Marlow était devenu tous violet, un cocon en cristal entourer le jeune homme. Puis, les yeux de Aïda changèrent radicalement, au lieu d’être de couleurs noisette, ils étaient devenus vert printemps. Elle aspirait grâce à son don pour la médecin, les souvenirs douloureux de Marlow, sans pour autant les effacer de sa mémoire.


La procédure qu’elle allait entamer ne restait pas sans fail, dans cette façon de guérir elle devait partager les souvenirs douloureux du patient, cela comprenait ses sentiments ainsi que les mémoires les plus déplaisants que ressentait Marlow. Elle savait pertinemment que les ressentis qu’éprouvait Marlow, lui avait créé une saturation émotionnelle à force de les refouler. C’étaient justement ses sentiments, qui l’avait fait tomber dans le coma.


Elle devait puiser dans sa magie afin de ramener son ami, elle ressentait toute la douleur que Marlow gardé en lui.


Notamment, l’abondant de sa mère qui lui avait déchirer le cœur a à peine douze ans, elle parti de sa vie, elle l’avait laissé seul dans cet immense appartement, il l’a regardé traverser ce long couloir, il était intrigué de sa façon d’agir. Alors qu’elle referma la porte d’entrée derrière lui, il se retrouva dans l’obscurité.

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