Le secret de Pandit-Wood 4

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Alors qu’au final derrière ses rumeurs complétement faussée se cacher un être prêt à tous donner pour sauver quelqu’un, redonner le sourire à une personne, même si, pour son cas, il se sentait toujours aussi seul, abandonné, ne méritant pas cette vie, mais sa douleur aller bien au-delà que cela, il aurait pu se suicidait mais cela ne l’avait jamais traverser l’esprit, car il sentait qu’il on avait pas le droit, s’il mourait alors les personnes mortes par sa faute auraient péris pour rien, d’ailleurs pourquoi ne pas l’avoir tuer, pourquoi l’avoir laisser en vie alors qu’il ne représenter quasiment rien pour sa maman adoptive.

Il restait encore rongé par la culpabilité, cette culpabilité qui le traça depuis bientôt plus de 7 ans, 7 ans de vie de souffrances. Elle avait pensée toute sa vie que Marlow Mortimère était un lâche, alors que la raison était tous autre, il ne réagissait pas lorsqu’il se faisait frapper uniquement, parce qu’il sentait qu’il devait souffrir, pour toutes les âmes mortes par la faute de sa mère et qu’il n’a pas pu sauver.

  • Je… je veux juste récupérais le corps de ma sœur, Marlow, elle se doit d’avoir un enterrement honorable, expliqua posée Aïda. Tu sais, lorsqu’on a appris que son corps avait été volé à la morgue, cela nous a beaucoup affectés, d’ailleurs comme tous les corps qui en mystérieusement disparus.

  • Aïda… réfléchi… tu veux abandonner, tes études alors qu’il te reste plus qu’un an avant d’obtenir ton diplôme ? T’as toujours voulu travaillez pour sauver les personnes malades, qu’elles soient atteintes de maladie physique ou psychique, n’abandonne pas tes rêves ! Lïnda ne l’aurait jamais voulu, tu le sais aussi bien que moi, tenta de faire comprendre Marlow.

  • C’est une question de respect envers ma sœur, je sais pas si tu pourrais comprendre… on est née le même jour Marlow, elle a toujours été là pour moi et j’ai toujours était la pour elle… je conçois que cela ne va pas être facile mais… je suis prête à toute donner pour que le corps de ma sœur nous soi rendu, à ce moment-là mon parcours professionnel en s’en fiche pas mal, je serais égoïste de préférais ma vie, que laisser ma grande sœur morte nu remplis de bleu en faisant le grand écart ! Vraiment comment peux-tu osé me dire une telle chose, expliqua énervée Aïda.

Le jeune homme écouta avec la plus grandes des intentions ce que son amie voulait lui faire comprendre. Lorsqu’elle lui parlait, il sentait la tristesse, envahir Aïda, elle était si touchée et impliquer par ce qu’elle lui disait que ses mains tremblaient. Lorsqu’elle finit de parler, elle s’approcha de Marlow et lui fit un gros câlin avant de plaquer sa tête contre son torse et de commencer à pleurer.

  • Là, tout va bien… calme toi poupée je suis avec toi, je serais avec toi… t’es vachement sensible hein ! sorti Marlow.

Elle essaya de s’extirper de Marlow, mais il la tenait si fort qu’elle n’arrivait pas. Et au fond, ça lui plaisait, elle sentait la sincérité dans son câlin, puis, elle se contenta de lui répondre au creux de ses oreilles.

  • Tu peux parler ! Je me souviens bien quand tu t’es mis à larmoyer à la bibliothèque, renvoya Aïda telle une lame pour se défendre de son agresseur.

Face à la révélation, Marlow desserra délicatement la jeune fille d’un mètre soixante-cinq. Il l’a regarda de côté et fixa ses yeux avec intriguent. Pendant qu’elle restait en face à analyser les moindres gestes que faisait son ami.

  • Attend j’ai… j’ai fait quoi ? questionna en soufflant Marlow.

La jeune femme mit un temps avant de répondre était, elle ne comprenait pas pourquoi le blondinet poser cette question, il bel est bien présent sur les lieux, puis elle se rappela la façon dans il avait arrêté tous, on aurait dit qu’il était hypnotisé par quelque chose. D’ailleurs c’était cet acte-ci qui l’avait poussé à le suivre, elle était persuadée qu’il allait tomber dans les vapes.

Lorsqu’elle eut trouvé la réponse à sa question, elle commença à expliquer tous ce qui s’était passé à Marlow. Il l’écouta avec la plus grand des attentions, lorsqu’il prit conscience de ce que Yan avait fait, il en devenu rouge de colère, s’en prendre à Aïda, juste parce qu’elle avait osé le défendre c’était de la pure lâcheté même venant de sa part.

  • Je… Je ne peux pas te laisser toute seule avec ce monstre Aïda, je ne supporterai pas qu’il te fasse du mal ! expliqua Marlow.

  • Tu… tu m’aimes ? questionna la jeune femme d’un regard à léchant.

Lorsqu’il entendu la question, il avait envie de lui hurlait « OUI ! » Mais il ne le fit pas, sert il l’aimait énormément depuis des années même, depuis le jour ou ses yeux se sont posée sur son regard d’enfant, ce jour où elle est rentrée dans sa vie, elle était là, en face de lui dans une robe blanche, avec une peluche en lapin brun, sa mère lui tenait la main, toute timide elle regardait le sol. Après avoir repensait à ça, il revenu à lui avant de soufflait :

  • J’ai… j’ai empêché Yan de … de te tuer ? Il… voulait vraiment te tuer ?

Ne comprenant pourquoi il ne répondait pas à la question, elle fit de même. Alors qu’il se trouvé dans le couloir, il sorti de la pièce, laissant Aïda seule chez lui. Il descendit les escaliers avec rapidité, on n’a rien de temps il se retrouva dehors, puis d’un pas déterminé, il alla en direction de la statue d’Aléa. Il lui roda autour la regarda des bas en haut, analysa ses engrenages devenus rouillés aux fils de ses années.

Puis il sorti :

  • Ça te plaît espèce de connasse de merde ! ça te paît de me voir me morfonde parce que j’ai perdu la mémoire et encore part ta faute en plus ! T’as pas honte ? Tu ne te rends pas compte de la douleur que j’éprouve à chaque fois que tu le fais ! Même pourquoi tu le fais ? Pourquoi tu m’as choisi ? Aléa, je n’ai rien de plus que les autres je… je suis juste un homme condamné jusqu’à ce que ma mort arrive… expliqua Marlow tel un fou devant la statuette.

Comme à son habitude, la petite fille ne répondit pas, ce qui frustra Marlow, qui commença à crier dessus cet étrange objet semblant possédé une conscience. Lors de son énervement il ne prit pas cas que tous les passants du village le regarder du coin de l’œil et se moquaient de lui, combien même c’était le cas, il non pouvait plus, il avait tellement été dégoûté par tous ses personnes qui non pas pris la peine de l’aider qu’il voulait partir le plus vite possible en pleurant, mais il attendait que la statue réponde, elle lui devait bien ça se disait-il.

  • Bonjour à toi aussi Marlow, toujours pas parti ? répondit d’un ton posé la jeune fillette.

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