Lourd fardeau 2

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Après plus de cinq minutes à lui faire un câlin, le blondinet compris que c’était sincère et qu’elle n’allait en aucun cas lui faire du mal, il entoura les côtes de la jeune femme qui restait sur lui, et il ferma les yeux en sentant son odeur.

  • Aï… Aïda, je dois t’avouer un truc, commença Marlow toujours avec les yeux fermés et en serrant plus fort son amie.

  • Oui… qu’est-ce qu’il y a Marlow ? Yes ! il va enfin m’avouer qu’il m’aime ! demanda surprise la jeune noiraude qui se redressa.

  • D’ici deux jours… je me casse de Pandit-Wood, avoua timidement Marlow.

  • Tu quoi ? Mais… pourquoi ? rétorqua intriguée Aïda.

  • Pour être franc avec toi poupée, je dois savoir d’où je viens, qui suis-je et pourquoi j’ai un tel don et surtout … tu vas me prendre pour un fou mais… tu vois la statue d’Aléa au centre du village… bahh ça va te semblais dingue mais j’entends une voix qui provient de ses engrenages, sorti Marlow en riant d’angoisse.

  • Voila pourquoi il a pris ses livres, oh ! Quel homme intelligent et musclé… mais qu’est-ce que je dis il est pas beau, il est blond et c’est un assassin… mais il a un grand cœur. Mar… Marlow… excuse-moi de t’interrompre mais euhh… commença Aïda en ce dandinant.

  • C’est toujours non ma belle ! renvoya Marlow d’un ton dur.

  • C’est pas ça… continua tel toujours en se dandinant…

  • Imagine elle me sort… chuis en train de perdre les eaux hahhah, mais… si c’est le cas… je fais quoi ?

  • Je suis… sur le point de m’uriner dessus ! Tu peux m’indiquer où sont les toilettes ?

Surpris par la question, les yeux de Marlow s’écarquillèrent avant que celui-ci ne rigole. Aïda pour l’heure restait à côté de lui, elle se retenait de pas s’uriner dessus mais elle restait également gênée par les rires incessants du blondinet. Il se calma par la suite, voyant que son amie n’aimait en aucun cas sa réaction, puis, alors que Aïda c’était mise sur le côté et restait toute recoquillait sur elle-même, l’homme s’excusa et se leva pour lui indiquer le chemin.

  • Ex… excuse-moi, c’est juste que jamais j’aurais cru que tu aies honte de me demander ça, après tous ce n’est que moi, moi Marlow Mortimère le bon à rien du village de Pandit-Wood, s’expliqua Marlow en se grattant l’arrière du crâne tout en se levant et partant en direction de la porte.

  • Arrête Marlow ! Arrête de te dévaloriser ! Tu vaux largement mieux que ça ! Vraiment, si tu écoutes ses affames rumeurs tu vas en devenir malade ! Tu sais qui tu es ? Tu es celui qui à arrêter les guerres en 2045 ! T’es un héros ! gronda la jeune femme en lui lançant un regard noir tout en le suivant.

  • Ça va ? tu délire ou quoi ? J’avais à peine sept ans quand la guerre c’est terminé et j’étais à l’hosto ! renvoya Marlow énervé qui n’y croyait pas qui s’arrêta se tourna en direction de la jeune femme.

Ils sortirent par la suite de la chambre de Marlow puis, ils marchèrent tous droit et arrivèrent devant une porte blanche, celle-ci était fait en bois, étrangement Marlow l’a gardé sous clé, c’est pour cela qu’il prit l’initiative de passer devant pour ouvrir la serrure, puis il invita par la suite, la jeune damoiselle. Elle fut surprise lorsqu’elle rentra dans la pièce, d’y découvrir non une salle d’eau mais belle est bien un living-room ou figuré des jeux d’arcades. Elle ne prêta néanmoins pas attention aux nombres jeux électronique qui demeuraient à l’intérieur de cette pièce. Elle resta bloquée devant la porte, avant de tournée son regard perdu en direction du serrurier, qui se trouvait derrière elle de son côté gauche.

Elle comprit par la suite, que la porte au loin en face d’elle ramenait certainement à la chambre d’eau. Elle marcha avec douceur et légèreté vers cet accès, tout en scrutant les environs tel un lynx, puis arrivé en face de la porte, elle posa délicatement sa main sur la poignée de porte froide, puis dans une agressivité qui ne lui ressembler pas, elle arracha la poignée d’une telle force que l’objet d’ouverture fini dans sa main droite.Elle lâcha l’objet qui tomba à terre, il sauta deux, trois fois contre le tapis noir de la pièce où elle se trouvait. Elle rentra part la suite dans un état second dans la pièce laissant Marlow confus de sa réaction disproportionnée.


  • Wahouuuuuu ! Elle doit être pressée pour démolir la poignée ou elle doit être sacrément en manque ? ce questionna Marlow devant la porte fermée.

Il commença à marcher dans la pièce, en s’impatientant de revoir Aïda, puis il regarda du coin de loin le flipper qui se trouvé à droite de lui, il s’approcha de cette énorme boite en métal, et regarda comment elle était fabriquée. Puis lorsque cela fut fait, il se mit sous la machine et regarda son système de fonctionnement. Il mit part la suite ses lunettes sur ses yeux et commença à réparer le jeu.

  • C’est tellement vieux que les câbles sont devenus gras et ils sont remplis de poussières … bon ! J’ai mis ou mon…

  • Marlow, euhhh y a ou un linge pour m’essuyer les mains ? demanda Aïda en fouillant dans la salle d’eau.

  • Euhh… il y on a en dessous du lavabo, dans la petite armoire blanche ! informa Marlow toujours en dessous de la machine, tout en se redressant.

Alors qu’elle restait en face du miroir, elle se courba et regarda la baignoire à plus de cinq mètres d’elle, puis, elle se tourna et regarda la petite armoire, elle ouvrit l’armoire, mais celui-ci capricieux, ne s’ouvrit pas, donc, en pensant qu’il y avait un système électrique ou mécanique, elle chercha un bouton pour y accéder. Elle le trouva et appuya dessus.


  • Ah ! J’y pense… la commode est un peu dure à ouvrir mais… faut juste tirer fort n’appuie surtout pas sur le bouton …

  • ARGHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ! hurla la jeune femme en se plaquant contre l’un des quatre murs.

Surpris par le cri, Marlow se levant en sursaut, il se cogna la tête contre le rebord du flipper, mais pourtant il continua, à courir il glissa sur la vitre de la machine, couru et ouvrit la porte. Il retrouva Aïda derrière la porte, elle restait collée, d’effroi, contre le mur.

Le jeune blondinet peu sur de lui tourna la tête en direction de ce qui avait pu effrayer Aïda. À la place de la baignoire figurer un long et large couloir sombre de la vapeur en sortait. Marlow, commença à marcher d’un pas lent, puis alors que ses jambes étaient fléchies, il se mit sur ses gardes, avant d’entrer dans cette brume de fumer charbonneuse.

  • Non ! MARLOW ! Reviens ! Ne me laisse pas seule ! ordonna Aïda toujours plaquée contre le mur.

  • Marlow ! Ne va pas plus loin ! Reviens ! Tu m’écoutes ?? rétorqua à son tour la voix de la statue.

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