Perdu 3

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Quelques mètres plus loin en train de courir pour sa vie, Yan hurla à Marlow de le laisser tranquille, mais, ce dernier bien trop énervé par les propos sexiste de son cousin, ne l’entendait pas de cette oreille :

  • T’es vraiment un gros PORC ma parole ! hurla Marlow, j’espère pour toi que tu ne le lui a rien fait !

  • On inverse les rôles maintenant mon lapin ? C’est nouveau ça ! Crois-moi, quand elle est aux anges elle a une voix si aigüe et si excitante que t’as envie de pouvoir lui faire encore plus de bien du coup… j’y vais souvent à font si tu vois ce que je veux dire, renvoi Yan, toujours devant en train de se tenir le bras.

À bout de souffle il s’arrêta et regarda Marlow fou de colère, qui foncé bras ballant en sa direction, très vite arrivé à 2 mètres de lui, Yan vu une larme couler le long de la joue gauche de Marlow, cette larme colorisée le visage sombre du héros, puis pour le charrier :


  • Ooooooh ? Le p’tit Marlow est blessé ? Il ne pourra être près de sa Juliette adorée ? Quel dommage ! Tu ne pourras jamais lui procurer autant de plaisir que moi, ou tu aurais préféré être le premier à la dévierger peut-être ? nargua Yan en prolongeant le dernier mot.

Marlow sorti de ses gants, il s’avança de deux pas en direction de son cousin qui prêta attention à son regard glacé, très vite le jeune blondinet lui octroya un violent coup du droit dans le ventre, celui-ci se souleva dans les airs et parti en volant en direction du mur, il finit assommer et perdit connaissance à son tour, alors que des bouts de murs lui tomba sur le crâne.Par la suite, Marlow revenu à lui puis, il canalisa son pouvoir, cligna plusieurs fois des yeux, ses pupilles passés du jaune à sa couleur de base, puis, il regarda la pièce, où il se trouvait, ce souvenant de rien il se demanda :


  • Mais... mais qu’est-ce-que je fou là moi ? J’étais avec papy et Aïda et là... chuis où ? ce demanda Marlow.

Il se redressa et regarda, les alentours :

  • Pa... Papy !!! hurla le jeune blondinet, chuis perdu entre tous ce savoir ! Mon cerveau ne tiendra pas ! Pourriez-vous venir m’aider ? Y a Yan qui dort comme un gros bébé, je crois bien qu’il sait fait boxer part un mur, renvoi Marlow perdu, mais gardant une touche d’humour.

L’homme parti en sa direction en pouffant de rire, accompagné de la jeune Aïda qui restait néanmoins intriguée par les rire étouffant du vieil homme.


  • Vous trouvez ça drôle ? questionna-t-elle, mon petit sucre d’orge et sûrement mort et vous, vous vous pouffez de rire !

  • Ex... excuse-moi ! Mais j’imagine sa tranche en ce moment, expliqua l’homme en riant.

Elle imagina également le visage de Marlow entre tous ses livres, lui qu’il n’y a même pas une heure, ne connaissait pas le nom de ses fameux bouquins :

  • C’est vrai que ça doit être drôle, en rit à son tour Aïda dissimulant son sourire derrière sa main.

Arrivé vers les lieux du crime, il retrouva Yan hors de combat. Plaqué contre le mur à cinquante centimètres de là, ce trouvait Marlow assit sur le sol se tenant les jambes et tournant ses pouces, tout en restant dans un état profond de concentration.

  • Bah di-donc... tu as été plus loin que d’habitude, en rit Hennry. Alors ça fait quoi ?

  • Peur... et franchement ce n’est pas drôle non mes regarde-moi ça ! Il y a ses machins fait de

  • feuilles de partout ! Sans parler de tes drones, qui rodes tel des vautours ! s’inquiétait Marlow tout en gesticulant et montrant les appareils volants dans la vieille bibliothèque.

  • Par contre … quelqu’un peut me dire... pourquoi Yan se tape une sieste encastrée dans un mur ? questionna le jeune Marlow en montrant du pousse son cousin à sa droite.

L’homme mit un moment avant de répondre, pendant ce lapse de temps, Aïda la jeune étudiante de 19 ans partie voire son amour de toujours, elle essaya relever Yan, mais celui-ci l’agressait en lui faisant comprendre que c’était lui le bonhomme.

  • Pour faire simple... ça a recommencé ! renvoi Hennry, en se grattant l’arrière du crâne.

  • BORDEL DE MERDE ! hurlèrent Marlow et Yan en mêmes temps.

  • Mais comment c’est possible je pensais que son sort avait disparu... c’est autre chose je me trompe ? demanda Marlow.

Le bibliothécaire n’avait pas le temps de rétorquer, qu’il se fit interrompe pas les cris de rage de Yan qui sous un état de colère poussa la jeune femme, de bonne foi. Elle s’encoubla contre un bout de mur et tomba à terre, ce qui fit sortir de ses gants une nouvelle fois Marlow. Il se leva et avança en direction de Yan, son regard semblait vide, et il marchait tel un ivrogne :

  • T’as fait quoi là au juste Yan ? demande Marlow en rogne, le sourire qui lançait n’était en rient rassurant, son visage était noir, seul restait ses yeux dépourvus d’âme et ce sourire démoniaque qui montait jusqu’à ses oreilles. Je t’avais dit quoi ? Tu l’as touche ! Je te butte ! Mais apparemment la mort ne te fais pas peur ? je me trompe ? Alors… je vais m’amuser avec toi et … te coupé tes doigts en petits morceaux avant de te les faires bouffés… !

  • C’es... c’est... c’est pas du tout ce que...que.... tu... tu crois... Hahaha... Marlow en peux en... disc...discuter calmement ! Comme... comme des pers.… gens civilisés, sort Yan mort de peur.

Aïda, qui c’était tordu la cheville, se leva rapidement et s’interposa entre Yan et Marlow, en voyant les frêles mains de Aïda sur son torse toujours semi-dévêtu, le jeune blondinet reprit ses esprits, puis tout en faisant demi-tours, il marcha en direction de la sortie, remit sa chemise on ne la ferma pas.

  • Grand-père... j’vous prends ses livres... désolé pour le dérangement Grand’pa.

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