Lettre à mon mari.

14 minutes de lecture

Je ne sais pas si j'aurai le courage de te la montrer un jour, mais parfois je ressens le besoin de te dire des choses, pour que tu puisses comprendre ce qu'il se passe à l'intérieur de moi et à la fois, je n'ai tellement pas envie de te blesser ou de te rendre triste.. Tu es mon ami en priorité et, tu es surtout la personne qui me connaisse le mieux.. tu connais mes peurs, mes envies, mes démons, ce dont j'ai besoin, tu connais mon tout..
Quand je te disais, à l'intérieur de moi, je ne parlais pas de sentiments surfait, tu sais les sentiments que nous ressentons tous, tout les jours, de l'amour de la joie, de la tristesses, etc. Les sentiments primaires, basics.
Non non, je te parle de sentiments qui sont encrés, qui ne change pas, qui sont permanent comme si on t'arracher le coeur pour y graver des choses et qu'on te le remette, histoire que tu te rappelles à chaque fois que tu vas travailler, quand tu te brosses les dents, quand tu te couches, à n'importe quel moment, ce genre de sentiment, de souvenir, sont là.
Omniprésent. Oppressant. Permanent.
C'était ça, dont je voulais te parler.
Il y a des jours, des instants, des moments, qui sont tellement bons. Un nuage. Un régal de bonheur qui te prends en fouet tellement c'est juste bon.
Des moments doux, tendres, affectueux, rempli de joie et de pureté.
J'adore ces moments là.
Je me sens sur un nuage, en parfait alignement de mes besoins. Tu me combles d'amour. Tu me combles de bonheur, tu es mien.
Des instants parfait.
Et puis.. il y a des jours, où un fragment de souvenir réapparaît. Un petit morceau qui se balade dans mon esprit, dans mes yeux, dans mon sourire.. tu vois, c'est littéralement comme un bout de papier qui survole comme ça, après un incendie.
Il y a toujours des morceaux qui flottent dans l'air lors d'un incendie ou alors tu peux voir ça, comme une pétale de fleur qui survole devant toi quand tu marches tranquillement.
Tu as l'image en tête ? Bah tu vois, moi ça se passe comme ça
Il suffit d'une parole, d'un mot, d'une scène d'un film ou juste de me retrouver avec moi même et ça revient...
Au début, c'est une petite et légère feuille qui vient déposer un souvenir, directement dans le coeur et la tête.. et puis petit à petit je me souviens la façon dont tu me l'a annoncé, jusqu'ici tout vas bien, je gère enfin ce jour si terrible.. et puis, une deuxième feuille vient déposer un autre souvenir, tes mots... Tes jolies paroles qui m'appartenait.. et encore des fragments, qui arrive par vague.. et par torrent et la.
A ce moment précis, je sais ce qui m'attend.
Avant, je n'arrivais pas à contrôler, donc je te criais littéralement ma colère, ma déception, ma haine au visage, c'était mon seul moyen de communiquer.
J'ai dis et fait des chose qui étaient à la hauteur de mon ressentiment.. et puis, un jour tu m'a repoussé.
Et la, j'ai compris que pour une fois, pour une fois dans ma vie, je n'étais pas là coupable.
Inconsciemment, je me suis prise pour coupable de votre histoire, de ton histoire, parce que je me sentais coupable de t'avoir pousser à faire ça.
Et finalement, non.
Je n'y suis pour rien.
Je ne t'ai pas poussé.
Je te faisais confiance.
C'était un choix et non une obligation de ta part.
Tu as choisi.

Alors maintenant, quand les vagues de souvenir reviennent je reste silencieuse, je sais que ça te perturbe, crois moi, c'est nouveau pour moi aussi, mais je reste silencieuse parce que, j'ai trouvé en ce moyen, de faire le tri et d'accepter la souffrance.
Souffrir, je vais souffrir, toute ma vie en te regardant, j'aurais toujours une petite part de souffrance qui se réveillera, mais je sais que je suis assez forte pour espacées ces vagues. La c'est trop tôt. Donc j'apprends à accepter.
Oui Amelina, ça s'est produit
Oui Amelina, il t'a trompé.
Oui Amelina, il t'a trahi. Menti. Humilié.
Il t'a fait la pire chose qui existe.
J'accepte ce que tu m'as fait
J'accepte le changement et l'impact que ça a eu sur ma personnalité, sur ma personne, sur mon coeur et mon âme.
Il y a quelque chose qui s'est noirci tu vois.
Maintenant, il y a des choses qui sont devenus tellement futiles et d'autres qui sont devenues tellement importante.
Aujourd'hui, je sais que je ferai tout pour que mon fils respecte sa femme et que ma fille se fasse respecter
Aujourd'hui, je n'aurais plus confiance aux gens, ni aux paroles, ni aux promesses
Et c'est ok, je l'accepte. Tu m'as toujours dis que j'étais naïve. Oh oui je l'ai été, t'imagines pas ..
Je ne te dis pas ça pour te blâmer, attention.. mais il faut aussi que tu m'acceptes à nouveau. Il faut que tu acceptes mon silence, ma souffrance, il faudra que tu acceptes de me regarder souffrir quand ces vagues viennent me rappeler ce qu'il s'est passé
Il faut que tu acceptes que désormais, certaines choses ne passeront plus, jamais.. Que parfois je doute, je pleure, je sois triste, ou je me rends malade a fouiller je ne sais quoi. Il faudra que tu acceptes ma jalousie, ma colère, ma frustration.
Je ne serais plus là mêmemêmemêmemême.

il Y a des choses qui se brisent et avec toute la volonté du monde, qui ne se répare pas.
Tu m'a brisé le coeur. Au sens propre, figuré, ce que tu veux.
C'est la pire chose, la plus néfaste, la plus moche, la plus douloureuse qui existe.
Quand ces vagues arrivent je t'imagine toi, elle, repensant à ce qu'elle me disait sur tes propos, repensant à mes journées horribles quand tu étais chez elle.
Repensant à tes mensonges dans les yeux, tes paroles, tes cachotteries.. à tout. Je me dis mais comment il a pu, comment a-t-il pu après tout ce que tu as traversé, fait, refait, resubit, accepter, pour lui. Pour qu'il te mente. Qu'il t'humilie.
Pendant un long moment, quand je voulais partir de la maison, j'ai longtemps cru que tu étais amoureux d'elle.
Tu es devenu tellement méchant avec moi, quand j'essayais de me sortir seule de cette tornade de colère que j'avais provoqué a cause de toi.
Tu es devenu distant, tu ne faisais que lui parler, quand j'étais à côté, quand les enfants étaient à tes côtés, en tirant la tronche parce que tu ne pouvais pas lui parler.. à côté de ça, tu t'en fichais que je faisais mes cartons, que je pleurais, que je criais, tu t'en fichais... C'était elle. Et j'ai toujours une certaine tendance à croire qu'elle était, est, mieux pour toi..
En te regardant, je me dis toujours qu'elle a eu une partie de toi, la meilleure partie de toi, le Dylan amoureux, pendant que moi, je n'avais rien..
Que tu voulais m'imposer son amitié, et même ça je ne le comprendrai jamais.. que tu puisses me faire subir ça, jamais je ne t'aurais imposé une telle chose.. peu importe ce que tu peux croire ou penser de moi.. jamais j'aurais tout simplement couper les ponts, démissionner et au revoir cette histoire.il Y a des choses qui se brisent et avec toute la volonté du monde, qui ne se répare pas.
Tu m'a brisé le coeur. Au sens propre, figuré, ce que tu veux.
C'est la pire chose, la plus néfaste, la plus moche, la plus douloureuse qui existe.
Quand ces vagues arrivent je t'imagine toi, elle, repensant à ce qu'elle me disait sur tes propos, repensant à mes journées horribles quand tu étais chez elle.
Repensant à tes mensonges dans les yeux, tes paroles, tes cachotteries.. à tout. Je me dis mais comment il a pu, comment a-t-il pu après tout ce que tu as traversé, fait, refait, resubit, accepter, pour lui. Pour qu'il te mente. Qu'il t'humilie.
Pendant un long moment, quand je voulais partir de la maison, j'ai longtemps cru que tu étais amoureux d'elle.
Tu es devenu tellement méchant avec moi, quand j'essayais de me sortir seule de cette tornade de colère que j'avais provoqué a cause de toi.
Tu es devenu distant, tu ne faisais que lui parler, quand j'étais à côté, quand les enfants étaient à tes côtés, en tirant la tronche parce que tu ne pouvais pas lui parler.. à côté de ça, tu t'en fichais que je faisais mes cartons, que je pleurais, que je criais, tu t'en fichais... C'était elle. Et j'ai toujours une certaine tendance à croire qu'elle était, est, mieux pour toi..
En te regardant, je me dis toujours qu'elle a eu une partie de toi, la meilleure partie de toi, le Dylan amoureux, pendant que moi, je n'avais rien..
Que tu voulais m'imposer son amitié, et même ça je ne le comprendrai jamais.. que tu puisses me faire subir ça, jamais je ne t'aurais imposé une telle chose.. peu importe ce que tu peux croire ou penser de moi.. jamais j'aurais tout simplement couper les ponts, démissionner et au revoir cette histoire.

Et c'est pénible pour moi tu sais.. enfin c'était.
Aujourd'hui, je l'accepte simplement en me disant que s'il se repasse qqch, je le saurai et ça sera la fin. C'est tout.
J'accepte les choses qui me sont offertes
J'accepte les bons moments
Les mauvais.
Les moments tristes et les moments de joies.
J'accepte les évènements qui se sont produits, mais ça ne veut pas dire que je les comprends.
Ça ne veut pas dire que demain je ne vais pas pleurer
Ça ne veut pas dire que désormais, tout est ok.
On commence oui et parfois je vous remercie de m'avoir fait changer.
Vous m'avez rendu tellement plus forte
Mais tellement.
Tu n'imagines pas là force intérieure que je peux avoir pour rester ici
T'aimer.
Me battre continuellement contre les vagues.
Apprendre à te pardonner, apprendre à te refaire confiance. Car non. La confiance n'est pas présente, mais j'y travaille, disons que 70% du travail est fait.
Mais je suis la. J'essaie de changer notre relation, que ça se passe mieux qu'avant. Que tout les deux nous puissions avoir un avenir.
Qu'on puisse se sauver. Te rendre meilleur chaque jour en espérant que ça suffise.
En espérant que ces vagues commencent à d'espacer.
Je sais bien qu'elles seront toujours présente, en cas de nouveau mensonge, nouveau doute.. comme un rappel.
Il faut que j'apprenne à vivre avec et toi aussi.
Ne te méprends pas, tu es parfait. Tu es meilleur. On est meilleurs.
Ça a pu te démontrer que je pouvais partir, te quitter, et moi, finalement, m'a fait rappelé à quel point je t'aimais. Et m'a fait revenir le Dylan amoureux.
Je t'en veux encore, pas à la même hauteur, mais je t'en veux encore.. c'est vraiment moche de faire ça..
Mais je suppose que tu sais, malgré mes inombrables défauts, ma folie ou les crises, que tu sais que je t'aime assez pour être ici. Pour ne pas dire que les hommes sont des bâtards à chaque fois que je vois qqch qui me plaît pas. A t'insulter ou à te recracher perpétuellement cette histoire.
Je te l'ai dis, j'en ai eu assez cette année. Je veux juste essayer d'être en paix.
Maintenant que j'ai vu quel genre de personne je voulais être, maintenant que mon changement personnel est en cheminement, à son rythme, je suis pour la première fois, fière de moi même.
Je m'aime moi. Comme je suis. Je suis fière du chemin que j'ai pu parcourir cette année. Fière d'avoir entreprit un changement en prenant une psychologue en janvier.
Fière de moi, d'avoir pu te confronter et m'avouer ton infidélité.
Fière de moi en te montrant que je pouvais partir, que j'allais partir seule. Et je m'en serai sortir haut la main.
Fière de moi d'avoir pu encaisser encaisser encaisser chaque mot, chaque message, chaque souvenir de toi et elle.
Fière de moi de ne pas m'être venger.
Et surtout d'avoir fait ça seule.
Tu ne m'as pas aidé.
Personne ne m'a aidé, sauf moi même. De pouvoir te regarder aujourd'hui, imaginer de nouveau un avenir.
Et fière de moi, d'avoir une telle force en moi, que d'accepter que mon mari, père de mes enfants, homme pour qui j'ai supporté énormément de choses et qui en a supporte aussi je l'admet.Et c'est pénible pour moi tu sais.. enfin c'était.
Aujourd'hui, je l'accepte simplement en me disant que s'il se repasse qqch, je le saurai et ça sera la fin. C'est tout.
J'accepte les choses qui me sont offertes
J'accepte les bons moments
Les mauvais.
Les moments tristes et les moments de joies.
J'accepte les évènements qui se sont produits, mais ça ne veut pas dire que je les comprends.
Ça ne veut pas dire que demain je ne vais pas pleurer
Ça ne veut pas dire que désormais, tout est ok.
On commence oui et parfois je vous remercie de m'avoir fait changer.
Vous m'avez rendu tellement plus forte
Mais tellement.
Tu n'imagines pas là force intérieure que je peux avoir pour rester ici
T'aimer.
Me battre continuellement contre les vagues.
Apprendre à te pardonner, apprendre à te refaire confiance. Car non. La confiance n'est pas présente, mais j'y travaille, disons que 70% du travail est fait.
Mais je suis la. J'essaie de changer notre relation, que ça se passe mieux qu'avant. Que tout les deux nous puissions avoir un avenir.
Qu'on puisse se sauver. Te rendre meilleur chaque jour en espérant que ça suffise.
En espérant que ces vagues commencent à d'espacer.
Je sais bien qu'elles seront toujours présente, en cas de nouveau mensonge, nouveau doute.. comme un rappel.
Il faut que j'apprenne à vivre avec et toi aussi.
Ne te méprends pas, tu es parfait. Tu es meilleur. On est meilleurs.
Ça a pu te démontrer que je pouvais partir, te quitter, et moi, finalement, m'a fait rappelé à quel point je t'aimais. Et m'a fait revenir le Dylan amoureux.
Je t'en veux encore, pas à la même hauteur, mais je t'en veux encore.. c'est vraiment moche de faire ça..
Mais je suppose que tu sais, malgré mes inombrables défauts, ma folie ou les crises, que tu sais que je t'aime assez pour être ici. Pour ne pas dire que les hommes sont des bâtards à chaque fois que je vois qqch qui me plaît pas. A t'insulter ou à te recracher perpétuellement cette histoire.
Je te l'ai dis, j'en ai eu assez cette année. Je veux juste essayer d'être en paix.
Maintenant que j'ai vu quel genre de personne je voulais être, maintenant que mon changement personnel est en cheminement, à son rythme, je suis pour la première fois, fière de moi même.
Je m'aime moi. Comme je suis. Je suis fière du chemin que j'ai pu parcourir cette année. Fière d'avoir entreprit un changement en prenant une psychologue en janvier.
Fière de moi, d'avoir pu te confronter et m'avouer ton infidélité.
Fière de moi en te montrant que je pouvais partir, que j'allais partir seule. Et je m'en serai sortir haut la main.
Fière de moi d'avoir pu encaisser encaisser encaisser chaque mot, chaque message, chaque souvenir de toi et elle.
Fière de moi de ne pas m'être venger.
Et surtout d'avoir fait ça seule.
Tu ne m'as pas aidé.
Personne ne m'a aidé, sauf moi même. De pouvoir te regarder aujourd'hui, imaginer de nouveau un avenir.
Et fière de moi, d'avoir une telle force en moi, que d'accepter que mon mari, père de mes enfants, homme pour qui j'ai supporté énormément de choses et qui en a supporte aussi je l'admet.

Fière d'avoir cette force que je dois à moi seule, pour accepter que mon mari poursuivre une relation avec son ancienne maîtresse. Celle qui a gâché ma vie, mon moi, mon ancien moi, la vie de les enfants plusieurs mois.
Et encore une fois je l'accepte.
Pas parce que je t'aime.
Parce que je ne veux plus être en colère.
Lui parler te fait du bien d'accord.
Te parler lui fait du bien ok.
Mais tu dois accepter aussi, que parfois, ça me ronge. C'est tout.
J'accepte ton toi d'aujourd'hui.
Accepte mon moi d'aujourd'hui.
Aujourd'hui, je t'aime. Je ressens moins de colère, mais beaucoup de phases silencieuses où je me bats contre les souvenirs et les larmes. Parce que je ne veux pas te peiner.
Je te l'ai dis et redis.
Tu es mon monde.
Mon tout.
Mon foyer.
Je t'aime pour ce que tu représentes. Je t'aime pour la force, inconsciemment, que tu m'as donné.
Pour ce que tu fais de moi chaque jour
Je t'aime parce que tu me laisses te voir tel que tu es. Dans ton ensemble, entier.
Pour tes faiblesses et tes forces
Je t'aime pour ce que tu as fais pour moi en soignant ton impulsivité.
Je t'aime pour ce que tu essaies de devenir pour moi.
Je t'aime pour tout ça. Et bien d'autres encore.
Je t'aime pour toi
Je sais que c'est difficile pour toi de l'entendre ou le lire, mais, je suis fière de toi.
Je suis fière de ton évolution, de ton toi.
Des choses que tu as pu accomplir pour toi, pour nous.
Je suis fière de qui tu es. Je n'ai pas honte. Je ne suis pas embarrassée.
Je suis fière de ton travail, de ce que tu fais chaque jour là bas, de montrer qui tu es, ta valeur.
Tu es une bonne personne. Tu as fais un mauvais choix. Un choix maladroit.
Tu as choisi le chemin de la facilité, parce que ça a toujours été moi qui nous sauver. Mais j'étais absente. Tu as fais un mauvais choix..
Mais tu es une bonne et belle personne.
Tu mérites le bonheur quand il vient.
Tu mérites des tas et des tas de choses magnifiques qui t'attendent. Qui nous attendent.
Je ne vais pas t'abandonner dans 1 ans.
Je ne vais pas partir
Mon coeur est à toi
Mon corps
Mon moi entier

Je t'aime. Au delà de tout ce qui puisses exister je t'aime.. merci d'être présent, de faire en sorte que chaque jour, je suis ta femme. De changer les choses
Merci de me soigner, de mettre chaque jour des pansements sur ma blessure, de mettre des souvenirs joyeux et heureux à la place pour qu'un jour tout n'est que bonheur.
Merci de continuer de m'aimer, de me soutenir, de faire sentir tellement bien... Sur un véritable nuage.
Ça fait tellement de bien, de voir que tout est possible.
De voir qu'après tout ça, après toute cette déchirure, la colère, tout ce qui a suivi nous sommes encore là.
Main dans la main, sans avoir l'intention de se lâcher. De voir notre folie et notre amour toujours aussi fort... Finalement tu vois j'avais complétement tord.
L'amour suffit. La patience suffit. Et la volonté suffit.
On est y presque..on y est presque..
Je te regarde toujours avec tellement de passion. Tu me passions littéralement. Ce que tu fais, ce que tu dis, je pourrais me noyer dedans.
Tu es mon monde entier. Ma famille.
Mon ami, mon âme soeur, mon meilleur ami, mon amant et mon mari.

Je t'aime au delà de tout ce qui puisses exister et de nombreuses années nous attendent. Remplis de bonheur et de joies.
Enfin.
Je t'aime ❤️


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