Le soleil se couche à l’horizon ; faisant rougir un ciel diurne devenu timide. Ce petit monde respire sans un vent, laissant un air délicat deci delà. L’Hiver poignant ses premiers murmures, de douces embrassades mordantes guère déplaisantes. Brin porteur de lumière ; il s’illumine et partage sa candeur, embrasant le fourneau de la branche. Crépitement et fumée, avec sourire et soubresauts de barbe, il rajuste son chapeau grisaillé. De longues volutes s’échappent de la pipe, troublant et réchauffant l’éther dormant, constante dichotomie.

Qui au monde ne chérit un tel moment de paix ?

Ce ne sera certain’ment pas l’homme au chapeau ! Mais il se dit qu’il manquerait bien quelque chose !

Ses très chers amis et quelques gouttes de breuvages.