Natia ad annau-sonius - Suadu Deuona, Sunnu-Uesa

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Le vent soufflait sur des champs et prés familiers,
D’or dansant sous un ciel vermeil.
Mes doigts caressaient sol fécond,
Je sentais chaque brin respirer sous ma paume pâle.

 Je me déracinai de l’étreinte de la terre,
  Et mes yeux purent boire toutes ces teintes :
L’émeraude de la Mer et des nemeta ;
  L’argent des rivières, des galets ;
 L’ambre de son sourire de rayons de soleils.

C’est une faunesse qui choie ésprits perdus, comme moi ;
Maîtresse de ces terres de jeunesse,
Elle tarit mes larmes, enflamme l’âme
Qu’elle tient au creux de ses mains ; cette dernière demeure.

Sur l'air de "Eleanor Plunkett" de Toirdhealbhach Ó Cearbhalláin

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