Samedi matin (bis)

Une minute de lecture

Voilà belle beauté,

Mais sincèr’ment désolé,

C’est tout c’que j’ai trouvé,

Dans ton frigo si… affligé !

Voilà belle assoiffée,

Just’ un verre orangé,

Attention, probablement infecté,

D’un fond encore… alcoolisé !

Oula belle crevée,

Penche plutôt vers l’café,

Certain’ment dix fois réchauffé,

Mais à t’voir, bien plus… approprié !

Oula belle… embarrassée ?

Non ? Sérieux ? Troublée ?

Aucun souvenir de notre soirée ?

Pourtant si… débridée !

Wahou belle dénudée,

Laisse-moi alors te rappeler,

Comme nous nous sommes entremêlés,

Ouh, j’en suis encore tout… excité !

Wahou belle timorée,

Tu m’la joues dessoûlée ?

Je n’te fais plus aucun effet ?

Là, c’est moi qui suis… déboussolé !

D’accord belle poupée,

Tu resteras ainsi surnommée,

Il est grand temps d’men aller,

J’te laisse seule te… remémorer !

Pas d’accord belle effrontée,

Moi j’étais déjà passionné,

Totalement amouraché,

Déjà prêt à… t’épouser !

Aussi, ton beau minois,

Devra affronter mon désarroi,

Et pour répondre à tes pourquoi,

Vois donc avec l’autre qu’est… encore chez toi !

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