Un Aveux

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Alors j'ignore si ses pour pouvoir de nouveau coucher avec moi ou non mais quelque jours après ma nuit avec Théo j'ai reçu un appel de sont patron me disant qu'il chercher quel qu'un pour être barman et que Théo avait parlé de moi et donner mon numéro, que je lui avais passé pour éventuellement remettre sa un jour, et qu'il était chaud pour me mettre a l'épreuve pour voir si il m'embauché après.

J'ai donc évidemment accepté et suis allé travailler la bas, fessant la rencontre de George, le patron, de Stéphane le plongeur et évidemment j'ai revue Théo, on ses fait la bise et on ses regarder avec le fameux regard, vous savais le regard qu'on a envers une personne avec qui on a couché mais que personne n'est au courant, bas on avait se regard la, un peut coquin et tout.

Enfin bref, j'ai passer un mois entier a travailler la bas, se ne fut pas facile au début, de devoir apprendre le nom de tout les cocktail puis ensuite apprendre a les faire, réussir a faire des pinte avec pas trot de mousse mais un peut pour que sa sois jolie, c'était pas simple mais je me suis surprise a aimé sa, c'était agréable et travailler dans une bonne ambiance, autant avec les collègues qu'avec les clients.

Les habitué me poser plein de question du style "T'es nouvelle ? Je t'avais jamais vue ici" ou "Tu as atterrie ici comment ?" entre autre.

A la question de comment je m’étais fait embauché je disais que j'avais rencontré Théo ici part hasard, il bossé et moi je venais de me faire viré, se qui était vrai, mais j'avoue avoir menti pour la suite, je n’allais pas dis qu'on avait couché sinon sa m'aurait mis l'étiquette de la salope qui couche pour avoir un boulot... Mais je leur et dis qu'on c'était bien entendu et que je lui avais dis que je chercher un boulot dans la restauration et qu'il m’avait répondu qu'il aller en touché mot a sont patron.

Evidemment ils sont tous demandé si il avait demandé une contrepartie, du genre un pourboire nature, mais je leur et dis que je lui avais fait un bisou sur la joue pour le remercier, même si en vrais c'était bien plus que sur la joue.

Car oui évidemment qu'on a de nouveau couché ensemble, j'avais passé une très belle soirée et il fallait que je le remercie d'avoir pris le risque de demandé a sont patron de m'embauché.

Quant a Annabelle elle aussi s'en sortait bien, mon père était content, même si il ignoré qu'elle c'était envoyé en l'air avec Romain plusieurs fois dans les vestiaires, et aussi avec d'autre adhérent du club.

Et ses comme sa que ma vie a continué, Annabelle bossant dans la salle de mon père et moi dans le bar.

Annabelle venait souvent me rejoindre dans le bar après sa fin de journée pour boire un cou, dragué des mecs et passer du bon temps.

Je lui et présenté Théo, il fut sous le charme d'Annabelle, même si je pense que ses surtout l'énorme décolleté qu'elle portait se jour la qu'il la fait rougir.

Et tellement qu'Annabelle et une dragueuse avec un charme fou elle a suivi Théo jusqu'à cher elle se soir la, bon même si ses facile de séduire Théo, draguant toute les filles passant dans le bar, mais même, a se qu'il parait Annabelle n'avais jamais passé une nuit aussi sensuel, elle avait adoré se "Moment intime" comme elle disait.

La vie continué, pour ma part je trouvé toujours des mecs avec qui passer des moments coquin mais aucun ne vos la peine que je m'étale sur sont sujet, tous les même, il te drague avec des phrase toute faite et débile qui sont pas rechercher, il te baise en pensant qu'à leur plaisir, puis il te snob et ne revienne que pour du sexe, d'ailleurs tout se qui on fait sa je les et envoyé se faire fouttre.

... Quoi ?... Bon d'accord certain on réussi a couché une seconde fois avec moi, mais eux avait eu au moins la politesse de rester poli, et aussi car ils étaient de la dynamite au pieux mais sa...

Enfin voila c'était ma vie et je l'aimé plutôt bien.

Mais même si j'avais un boulot stable qui me plaisait plutôt bien, une sœur de cœur parfaite, un père attentionné et des relations coquine assez fréquent, quel que chose au fond de moi me disais qu'il me manqué quel que chose, pas l'amour sa j'en étais sur mais autre chose et je n'arrivé pas à mettre le doigt dessus.

Puis un jour, Annabelle était au bar et il n'y avait pas beaucoup de monde du cou je parler avec elle pour passer le temps.

- ... Et ses comme sa que je lui et dis "On a bien kiffé, tu ma bien baisé et je t'en remercie mais sa change rien, moi je suis libre et ne veux pas de relation stable" Dis Annabelle racontant une de ses aventure avec un mec de la salle.

- Et il la prit comment ? Lui ai-je demandé accoudé au bar l'écoutant attentivement.

- Mal forcément, il ma dis qu'il avait pensé que je m'offrez a lui et pas seulement mon cul ou un truc du genre, enfin bref ses pas important, il a râlé et ses barré.

- Il et revenu a la salle ou pas ?

- Oui bien sur, mais il ne prêté même plus attention a moi, pff de toute façon plus personne ne me regarde dans la salle ses dernier temps.

- Bas faut dire que tu t'es fait presque tout les adhérents et habitué donc il te vois tous comme une salope aimant le cul uniquement. Lui ai-je dis sincèrement, mais sans jugement bien sur.

- Ouais ta peut être raison, mais...

Je voyais bien qu'elle était tracasser, et se n'était pas la bière qu'elle avait bue qui l'avait mis dans cette état.

- Qu'es qui ne va pas Anna ?

- Je sais pas je... je crois que j'ai simplement envie de tout plaqué et de me barré, voyagé et profité de la vie.

- Ses beaux comme envie. Lui ai-je dis en souriant.

- Non Mel ses pas qu'une simple envie, ses se que je veux, je veux partir loin, changé de pays et peut être même faire le tour du monde, kiffé et Vivre, pas survivre en travaillant comme une chienne pour alimenté ces connard qui se dise nos présidents, ne pensant qu'à leur gueule ou a l'argent, se moquant éperdument du peuple. Vivre Ma vie, voyagé, baisé, m'amusé et juste... [Soupir] vivre putain...

Je sentais qu’elle n’était pas bien, c'était rare venant de sa part qu'elle se confie, elle le fessait qu'avec moi et elle ne l’avait que très rarement fait car elle et du genre a réglé ses problèmes elle même avant d'en parler, mais la je sentais qu'elle avait besoin d'aide.

- Et...tu pense partir quant ? Je savais qu'elle le ferrait, je la connaissez part cœur.

- Je sais pas... qu'elle que chose m'empêche de le faire.

- Et se quoi ?

- Toi.

Je les regardez surprise et ne comprenant pas de suite se qu'elle voulait dire.

- Co...Comment sa moi ?

- Je peux pas me résoudre à partir et te laisser ici, et me dire que je te reverrait peut être jamais.

Elle me prit la main et la serra dans ses mains.

- Tu et ma Sœur, et je ne peux pas me résoudre a ne plus te voir.

Je pensais comprendre ou elle voulait en venir et sa commencer a m'inquiété.

- Ou... ou veut tu en venir Annabelle ?

- Vient avec moi.

- Ho putain pourquoi je les vue venir...Autant heureuse qu’elle me dise sa que inquiète car sa impliqué beaucoup de chose.

- Melissa toi aussi tu rêve de sa, depuis que je te connais tu rêve que d'une chose ses de kiffé la vie, mais tu était enfermer part ton couple, et quant tu tes libéré de sa tu a montré ta vrais nature, tu n'est pas faite pour rester enfermer dans une vie aussi banal que celle de tout le monde, enfermer dans un boulot répétitif et rentré cher toi en sachant que tu reviendra le lendemain, tu et un oiseau Mélissa, toi se qui te faut ses de voler en liberté, faire se que tu veux et faire se qui te fait vibré et sourire comme le jour ou tu a eux tes ailes.

C'était tellement profond comme parole que sa ma directement touché en plein cœur, elle me connaissez mieux que personne et je dirais même mieux que moi même.

Je ne savais pas quoi répondre, alors j'ai simplement pris ses mains à mon tour et on se regarder droit dans les yeux.

- Je... sais pas quoi dire je... Je vais culpabiliser de me dire que je t'empêche de t'envolé a ton tour mais... Sa me perturber tout se qu'elle me disait.

- Mais non ma belle ne culpabilise pas, et tu sais très bien ou je veux en venir.

- Je... cette idée me plaie Annabelle mais... je sais pas sa me parait tellement idyllique que sa en et presque impossible.

- Presque. Me dis elle avec sont plus beau sourire.

- Quoi ?

- Ses presque impossible, si on n'y croit pas sa le serra, mais si on y croie toute les deux sa sera possible et on vivra comme des reines dans se monde qui nous appartiendra et ou on pourra faire se qu'on voudra. Elle avait les yeux qui pétiller et un sourire magnifique quant elle parler de cela.

- Mais comment on ferra pour l'argent ?

- On économise un maximum avant la fin de nos contrats puis on part.

- Et quant on sera à sec ?

- Et bien on se ferra embauché ailleurs, on économise et on recommence.

- Se n'est pas si simple tu sais.

- Mais bien sur que si Mélissa.

Des clients sont rentré a se moment la, m'obligeant à aller les voir

- Va si, tu et au boulot, je vais rentrer et me reposé, on reparlera de sa plus tard d'accord ? Dis Annabelle prenant ses affaires.

- Je... oui d'accord. Frustré et perturbé la regardant ne sachant pas quoi dire exactement.

Annabelle parti et je suis allé voir les clients.

Se que m'avait dis Annabelle me trotta dans la tête toute la soirée, me fessant voir qu'elle avait en parti raison.

Oui j'aimais bien se travail, mais je me sentais pas libre et entièrement heureuse.

Oui j'aimais mon père mais il a repris sa vie en main et il et capable de se débrouiller sans moi, se qu'il fessait déjà d'ailleurs.

Je n'arrivé pas à faire la part des choses, je ne savais pas vraiment quoi pensez.

Puis en milieux de soirée je vis quel qu'un se poser au bar, un visage que j'avais déjà vue et qui m'était familier, mais je n'arrivé pas à remettre un nom sur se visage.

Mais je n'en et pas eu besoin car ses lui qui ma reconnue en premier.

- Mélissa ?

Ses a se moment que sa mes revenu, un jour banal, j’étais collé et suis allé au toilette et... la suite vous la connaissez.

- Monsieur Bernard ?! Ho la vache sa fait longtemps.

- Bas depuis que tu as quitté le collège oui, comment tu va ?

- Bien, ça va bien, et vous ?

- Ho tu peux me tutoyer maintenant, je ne suis plus ton prof tu sais.

- D'accord, alors comment tu va ?

- Plutôt bien, je suis toujours prof.

- Super.

On avais tout les deux la même chose en tête, parler de se moment, de cette fellation dans les toilettes que je lui avais faite, mais on osez pas, l'un comme l'autre on hésité a le faire.

- Si...sinon ton père il va bien ? Me demanda t'il essayant de trouvé un sujet de conversation.

- Il va bien, il et toujours le patron de sa salle de sport qui ne cesse d'évolué.

- Cool, c'est cool.

J'ai vue a se moment qu'il pensez a la même chose que moi, j'ai donc décidé de brisé la glace une bonne fois pour toute.

- Et sinon ? Toujours attiré part les jolies filles ?

Il avala une gorgé de travers.

- Mélissa [Tousse] On avait dis qu'on en parlerait plus jamais.

- Arrête, tu a autant envie d'en parler que moi sa se vois, alors ? Il y en a eu d'autre qui ton pompé après moi ? Lui ai-je dis sans aucune gêne et avec un petit sourire coquin.

- Stop, et non, il n'y en a eu aucune autre car...

Il regarder de partout autour de lui pour être sur que personne n'entende se qu'on disait.

- ... Car je m'en suis voulu pendant des années d'avoir cédé a tes avance pervers et violant mon serment de prof et mon intégrité me fessant devenir un Pédophile.

- Hmm, d'accord, je suis sur n'est en moins que tu as hésité à venir me redemandé de te sucé hein ?

- Arrête Mélissa, j'ai plus de 30 ans et toi tu en à a peine 20...

- 21.

- Oui bon... écoute, je ne suis pas venu ici me rappelé de se moment difficile de ma vie du a ma libido incontrôlable mais pour boire un cou tranquillement.

- Dis moi, tu bande toujours aussi dur ? Oui j'avais envie de le taquiné, et qui sais peut être finir comme quant j'avais 16 ans.

- Mélissa...

- Je me souviens bien de la sensation que sa m'avais fait de te sucé la bite, se mélange d'excitation et de peur de se faire surprendre, bravant les interdits de l'âge et du statue, fessant sa dans un lieu scolaire, je te les jamais dis mais je me suis masturbé un nombre de fois incalculable sur ta bite après cela.

Il me regarder avec un regard surpris mais aussi particulièrement enivrait part se que je disais.

Voyant se regard je ne pouvais plus résister et je le voulais, je voulais qu'il me baise.

- Tu sais, j'ai des trucs à faire dans la réserve derrière, Théo va prendre ma place au bar le temps que je finisse tout sa, et sa va prendre du temps... vraiment beaucoup de temps, sa te dirait de venir me donner un cou de main ? Je t'offrirai quel que chose en échange. Sous entendant a mort que j’écarterais mes jambes pour qu'il me baise.

Il ne répondit pas de suite.

Mais a peine deux minute après on était tout les deux dans la réserve fermer a clé de l'intérieur entrain de s'embrassé fougueusement.

Lui me plaquant dos contre un mur commençant à se déshabiller et m'enlevant rapidement mon haut pour revoir mes seins qui avaient bien poussé depuis.

Moi je lui sortais la bite du pantalon avant de vite enlever mon haut mettant mes seins à l'air et m'agenouiller pour le sucer.

Se n'était pas de l'envie de sexe qu'on ressentait a cette instant, c'était un besoin bestial de Baise immédiate, l'instinct primal qui s'exprimé.

Je lui et gobé la bite de moitié des ma première mise en bouche, étant déjà dur et chaud. Et alors que je m’apprêtais a le sucé, il mit ses mains de chaque coter de ma tête et commença a me baisé la bouche en profondeur.

J’étais agenouillé entre ses jambes, sont sexe en quasi-totalité dans ma bouche entrain de me la faire pénétré comme si c'était ma chatte.

Les bruits de chaque pénétration buccale étaient des plus rauques et pervers, mélangeant le bruit d'étouffement à celui de la pénétration et de la salive et de ma langue.

Et alors qu'il m'enfonça entièrement sa bite dans la bouche, touchant le font de ma gorge, Il me pencha la tête en arrière et se mit aux dessus de moi et l'enfonça plus profond encore m'étouffant entièrement, Puis il se mit a me baisé frénétiquement la bouche sans retenu dans des gémissements de plaisir bestial.

- Tu veux que je te dise la vérité Mélissa ? Plein ! Voila combien j'en et baisé des bouches depuis que tu et parti du collègue, et même quant tu y étais encore ! J'en et baisé des dizaines et des dizaines, a chaque colle j'avais mon opportunité et a chaque fois je la prenais avec grand plaisir ! Tu ma infecté a la pédophilie et a la baise buccale et maintenant j'en suis accro !

Il me tenait tellement fort et me baisé si brutalement que cela commencer à me faire mal et m'étouffée me fessant part réflexe de survie me débattre.

- Ne te débat pas, ne t'inquiète pas je ne vais pas t'étouffé, tu ne tomberas même pas dans les pommes, je suis devenu un aAAAAAAAAA... !!!!

Oui, je les mordu.

Bizarrement il ma vite lâché après sa et tout aussi vite sorti sa bite de ma bouche.

Moi je reprenais mon souffle en crachant toute la salive qui c'était accumulé dans ma bouche et ma gorge en toussant grassement.

- PUTAIN !!! Merde qu'es qui te prend !!?? Commençant à perdre les pédales.

- Tu m'étouffé pauvre Malade ! Commençant à lui crié dessus.

- Si tu m’aurais laissé finir ma phrase je t’aurais dis que j’étais devenu un As de la baise buccale au point de savoir quant une fille et sur le point de s'évanouir et du cou savoir quant retiré ma bite pour qu'elle respire !

- Putain ta rien compris espèce de con ! Le sexe ses un partage Bordel ! Tu n’es pas sensé être le seul à prendre du plaisir !

- Hooo si !! Ses de ta faute si...!

- Si Quoi !! Si tu bandé comme un putain de pervers de merde en cours entouré de gamine de 14 à 16 pige ?! Non je crois pas non ! Je crié tellement fort que tout le bar devait nous entendre.

- Tu... allant répliquer violement.

- Tu Ferme ta Gueule !!!!

Il me regarda avec un regard empli de colère.

- Maintenant tu sors de se bar et tu ne croise plus jamais mon chemin ou sinon j'appelle les flics et leur raconte tes petit penchant pour les mineurs.

- Tu n'est qu'une pute Mélissa, déjà a l'époque quant tu a volontairement sucé ma grosse bite tu étais une pute et maintenant tu et en plus de sa une...

Je sorti mon portable et composa le 17 devant ses yeux, il s'arrêta de parler net.

- Dégage. Ayant le doigt très proche du bouton d’appel.

Il se rhabilla et parti.

Je suis resté dans la réserve un moment, réfléchissant a se que je venais et devrait faire. Puis j'ai appuyé sur appelé.

Sont travaille d'instituteur et sa pédophilie pour lui ses fini.

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