Le fantasticacirque

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Une fois dehors Capucine étaient surexcitée. D’abord de ne pas avoir rêvé, et de voir Lina a ses côtés faisait plaisir. Capucine parlait à Lina mais celle-ci ne lui répondait que par gestes. Visiblement elle ne parlait pas mais comprenait très bien ! Tandis qu’elles avançaient, Capucine remarqua qu’elles étaient suivit, par l’étrange monsieur du tram. Mais avant qu’elle ait le temps de le dire à Lina il sortit un lasso de sa poche. C’était un lasso qui ondulait de lui-même et s’agrandit à chaque tour. Lorsque Lina le vit, elle partit en courant, Capucine voyait qu’elle essayait de s’envoler, elle faisait des bonds de plus en plus long de plus en plus haut.

-Vas-y Lina vas-y, tu peux le faire

Mais le monsieur lança son lasso magique qui attrapa Lina en plein vol. Plus la licorne se débattait plus le lasso la serrait. Finalement elle se retransforma en peluche. Alors le lasso se rétracta jusqu'à ce qu’il l’attrape.

-Ah tu me facilites la vie comme ça, ricana le monsieur, Je sais comment te réveiller, il ne manquait qu’une licorne au fantasticacirque

-Hey! J’ai tout vu s’insurgea Capucine

-Et alors, personne ne croira une gamine, éclata de rire le monsieur ! Et il repartit. Capucine reprit la route du tram triste d’avoir perdu sa licorne, quand dans le tram elle la vit, elle était sous le bras du monsieur et semblait la supplier. Alors au lieu de descendre à sa station elle suivit l’étrange monsieur. Il resta dans le tram même lorsque celui-ci arriva à destination.

Il attendit que tout le monde descende, fit descendre sa baguette le long des portes fermées et descendit de l’autre coté du quai, Capucine laissa sa trottinette et se faufila avant qu’elle ne se referme.

Elle fut éblouit par le soleil. Elle arriva dans une prairie verdoyante, les fleurs et arbres avaient des couleurs chatoyantes, même les papillons semblaient briller. L’herbe était douce, et quelques nuages adoucissaient un ciel beaucoup trop bleu. On se serait cru dans un paysage de Roald Dahl avec des couleurs saturées, presque écœurante. L’étrange individu se dirigeait vers une grande tente de cirque rouge. Cela faisait presque mal aux yeux. A part le cirque rien n’apparaissait à des kilomètres à la ronde. Juste de l’herbe quelques arbres et des fleurs. Ca donnait le vertige tout cet espace. Capucine avançait doucement vers le cirque.

Plus elle approchait du cirque, plus elle entendait d’étrange bruit. Des bruit d’animaux, des bruits gutturaux, c’était sauvage et puissant à la fois. Elle entendit aussi un fouet qui fendait l’air puis l’étrange plainte d’un animal. C’était plus fort qu’un rugissement de lion, plus profond, plus plaintif aussi. Pour sûr cet animal avait eu mal !

Capucine commença à se demander comment réussir à les sauver, elle devait peut-être aller prévenir des adultes qui pourraient venir l’aider. Mais elle ne savait même pas comment elle pourrait revenir ici. Alors elle continua d’avancer pour voir comment au moins sauver sa licorne.

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