Toi tu me fais chier putain ! Pendant deux heures, j’me suis retenue de péter un câble, de te gifler, de hurler, de... Arghhh !!! J’en peux plus, je peux plus te voir, entendre parler de toi, tu me saouuule !! Tu m’as mis l’esprit en purée, bordel ! Tu m’as cassé la tête pendant deux heures sans que je puisse rien faire ! Tu dis de la merde, tu embrouilles tout le monde…

 J’te jure que si tu reviens… J’te connais d’façon, tu vas pas me lâcher, tu vas pas nous lâcher ! Quand est-ce que tu comprendras ENFIN que tu nous casse les ******** !! Et ça y est, tu reviens à la charge ! Putain mais ta gueuuuule ! Qu’est ce que j’aurais donné pour t’étrangler, te faire taire ! Si seulement je pouvais te réduire à rien, au néant, connard ! Laisse-moi, j’en peux plus, chuis à bout. Tu connais le mot overdose ? J’ai entendu assez de tes conneries pour toute une vie putain ! Casse toi, pars loin de moi, dégage, vas t’enterrer, crève bordel !

 Ce texte est destiné à Karl Popper, ce charmant philosophe contre qui j'ai pété un petit câble tout à l'heure...