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 Derreck est vraiment ravi que Layla se soit jointe à lui pour le voyage vers le mausolée de Lucas Rosach. Il est cependant moins enchanté par la présence de Catlyn, car la roublarde ne cesse de l’épier ou de s’interposer entre lui et la ménestrelle. Elle est toujours en train de le questionner, souvent sur les raisons de son voyage et leur destination, mais parfois aussi sur sa relation avec Layla. L’intéressée doit souvent intervenir et remettre Catlyn à sa place, ce qui fonctionne un temps. Car la brunette aux airs de garçon manqué ne recule en général que pour mieux revenir à la charge, si bien qu’à la mi-journée Derreck est déjà à fleur de peau. Elle est insistante, intrusive et exaspérante. Ils déjeunent à l’orée d’un bois, dans une ambiance tendue, Catlyn n’arrêtant pas de faire des reproches à Derreck, ce qui entraîne la contrariété de Layla qui s’en prend à son amie, qui à son tour redirige son animosité sur le ranger. Ce dernier fait tout pour rester calme et ne pas s’emporter avec la roublarde, mais cette dernière semble chercher son courroux et n’entend pas le laisser tranquille. Lorsqu’ils reprennent la marche après avoir mangé et que Catlyn vient lui demander : « Où as-tu dis que nous allions déjà ? » Derreck serre les dents et crache :

-Hiveren, nous continuons à l’ouest pendant encore trois jours, puis nous bifurquons au nord. Nous marcherons le même temps et nous serons arrivés.

-Et après, qu’est-ce qu’on y fait ? » Derreck soupire avec exaspération :

-Je te l’ai déjà dit, mon bienfaiteur m’a confié une tâche à accomplir là-bas. C’est tout ce que je peux vous dire pour l’instant. » Elle fait une moue dubitative :

-Ça me semble louche ton histoire... » Le jeune homme craque :

-Et bien rentre à Langekan dans ce cas ! » Elle pouffe de rire :

-Pour que tu t’en prennes à ma Lilou… Plutôt crever. » Derreck serre les poings. Il décide de riposter, il s’apprête à fulminer, lorsqu’il croise le regard de Layla, qui lui offre un sourire triste. Il parvient à s’apaiser et décide d’ignorer Catlyn. Mais il sait très bien qu’elle va s’en prendre à lui physiquement pour le faire réagir. Il réfléchit à un moyen de se débarrasser d’elle, discrètement et sans violence. La seule option qui lui vient à l’esprit est le Souffle de Yag. Mais il craint de l’utiliser, pour plusieurs raisons. La première est qu’il ne veut pas impliquer Layla dans ses histoires de culte, et utiliser ses dons sur sa meilleure amie ne va pas l’aider à respecter cette résolution. La deuxième est qu’il n’a pas envie de coucher avec Catlyn, elle l’agace et l’animosité qu’il ressent à son encontre inhibe tout désir de la part de Derreck. De plus, il ne veut pas faire de peine à Layla en couchant avec sa meilleure amie. Enfin la troisième raison est que la roublarde et son amie ménestrelle sont des aventurières. Si elles viennent à découvrir sa véritable nature, elles tenteront de le tuer, et si elles n’y parviennent pas, elles le dénonceront aux adorateurs des plans supérieurs. Il lui faudra alors, soit fuir et vivre comme un paria toute sa vie, soit les convertir toutes les deux au culte de Yag, ce qu’il se refuse à faire. Ses perspectives ne sont pas réjouissantes, et alors qu’il est sur le point de se résigner, Catlyn le frappe du poing dans l’épaule. Il pousse un cri de douleur et s’exclame : « Mais ça va pas ?! » La roublarde lui répond furibonde :

-Arrête de m’ignorer ! » Derreck atteint sa limite et abandonne toute retenue, il fait fit de sa précédente décision de ne pas utiliser le Souffle sur elle. Tant pis pour les conséquences, il l’amènera à un était d’excitation sexuelle insoutenable, et ne lui fera pas le plaisir de l’en libérer. Il maintient donc un mince filet de miasme entre lui et Catlyn, en prenant soin de ne pas atteindre Layla avec. Le manège de la roublarde continue encore pendant de longues minutes. Jusqu’à ce qu’elle rougisse et s’essouffle. Elle ouvre alors de grands yeux et attrape Derreck par le col. Elle affiche une expression furieuse et gronde : « Qu’est-ce que tu m’as fait ? » Le jeune homme lève les mains en signe d’apaisement et s’exclame faussement étonné :

-Mais rien ! Qu’est-ce qu’il te prend ?! » Déjà la roublarde dégaine une lame et Layla intervient pour les séparer. Elle s’emporte contre son amie :

-Espèce de folle furieuse ! Laisse-le un peu tranquille ! Ou je vais te demander de rentrer à Langekan.

-Lilou ! Je t’assure qu’il m’a… » La ménestrelle pousse un grognement de colère :

-Arrête ! Prends un peu de recul et regarde-toi ! Tu n’as fais que l’emmerder toute la journée, et pas une fois il n’a répondu à tes provocations ! Alors maintenant tu arrêtes, ou tu fais demi-tour... » Catlyn fronce les sourcils et serre les dents avant de reprendre la marche et de les laisser. Une fois qu’il sont seuls Derreck souffle de soulagement et murmure :

-Je suis désolé… » Elle s’approche de lui, se pince l’arrête nasale avant de soupirer :

-Tu n’y es pour rien… Oublions-la et continuons, d’accord ? » Il acquiesce, et après ça ils passent l’après-midi côte à côte, discutant de tout et de rien. Régulièrement Derreck s’éloigne de la route pour récupérer des plantes et des fleurs. Il est content de retrouver l’environnement naturel des forêts et de la campagne. Là où ses compétences lui sont réellement utiles. Lorsque le soleil se couche, ils trouvent un coin tranquille pour se reposer au bord d’un lac. Ils conviennent de tour de garde pour la nuit et Layla se propose pour la première ronde. Derreck prépare le repas, une soupe de viande séchée, de plantes aromatiques, avec des croûtons de pain. Un plat agréable pour un voyage en pleine nature, après quoi il va se coucher et s’endort par intermittence. Il est réveillé par Layla qui vient l’embrasser, elle semble d’humeur coquine, mais baille aux corneilles et avoue : « J’aurais aimé qu’on se prenne un peu de temps pour nous… mais je suis crevée... » Derreck caresse ses cheveux bouclés auburn avant de murmurer :

-Va te reposer… Nous trouverons bien une occasion. » Layla louche sur Catlyn, endormie quelques mètres plus loin, et fronce les sourcils, dubitative :

-Avec Barona qui surveille le moindre de nos faits et gestes... » Elle pouffe de rire et Derreck ne peut s’empêcher de sourire, mais il lui rétorque :

-Peut-être, mais si nous devions avoir des problèmes, je suis bien content qu’elle soit là. » Layla acquiesce, et lui offre un sourire affectueux :

-Tu es quelqu’un de bien Derreck… Si elle t’ennuie encore, n’hésite pas à la secouer un peu, d’accord ? » Le jeune homme opine du chef. Elle va ensuite s’allonger et le laisse seul. Il regarde la position de la lune, extirpe un livre de son sac et commence à lire pour s’entraîner. Il parvient à rester éveillé ainsi pendant plusieurs heures, durant sa lecture il est interrompu par un bruit étrange. Sans prendre de risque, il dégaine son arc court et encoche une flèche, mais après quelques minutes de calme, il se pose à nouveau, range son arme et inspecte la lune. Il a largement tenu sa garde, mais avant d’aller réveiller Catlyn, il s’éloigne pour uriner derrière un arbre. Il prend soin de mettre de la distance entre lui et le camp pour ne pas attirer de monstres, et recouvre son odeur avec des feuilles mortes et de la terre. Il retourne auprès de la roublarde, hésite à la toucher pour la sortir de son sommeil et finalement se décide à l’appeler, elle sursaute et marmonne : « Quoi ?

-C’est à ton tour. » Elle acquiesce, se redresse, et lui lance un regard assassin tandis qu’il va s’allonger dans sa couverture. Il met quelques minutes à s’endormir et somnole par à-coups. À un moment, il se réveille se retourne et découvre que Catlyn a disparu. D’abord inquiet, il se rassure en se disant qu’elle a du aller se soulager un peu plus loin. Il prend sur lui de surveiller le camp, mais après quelques minutes, quand il ne la voit pas revenir, il décide de se lever. Il attrape son arc, encoche une flèche et en garde deux autres dans sa main. Il fait le tour du camp et repère des traces s’en éloignant. Il les suit le plus discrètement possible et se fige lorsqu’il entend des gémissements. Il passe derrière un arbre et découvre Catlyn, sa veste ouverte sur sa poitrine nue, son pantalon baissé dévoilant sa chatte. Elle se masturbe doucement et ne semble pas l’avoir remarqué. Il l’observe quelques secondes, et son désir s’éveille. La roublarde est nettement plus séduisante que ce qu’il soupçonnait, son corps est athlétique et couvert de petites cicatrices, mais ses formes, habituellement dissimulées par sa tenue, sont débordantes de féminité. Elle accélère ses mouvements et pousse de petits cris similaires à des miaulements, elle est sur le point de jouir. Derreck décide de la torturer un peu, il prend son air le plus innocent possible et bondit hors de sa cachette en murmurant : « Catlyn ?! C’est toi ? Est-ce que tout va bien ? » La roublarde sursaute en tentant de se rhabiller et s’exclame en chuchotant :

-Derreck ?! Qu’est-ce que tu fous ici ?! » Elle remonte maladroitement son pantalon et reboutonne sa veste. Il lui répond inquiet :

-Je me suis fait du soucis, tu n’étais plus au camp et tu ne revenais pas, je suis parti à ta recherche…

-Je vais bien ! Casse-toi maintenant ! » Derreck prend un air soulagé :

-Désolé… je retourne au camp. » Il s’en va et entend la roublarde pester, il en profite pour relâcher un petit nuage de Souffle, après tout, elle a bien mérité de souffrir un peu. Une fois de retour, il abandonne son arme et retourne s’allonger, le soleil ne va pas tarder à pointer le bout de son nez, et il espère pouvoir se reposer un peu. Il entend Catlyn revenir et devine que sa démarche est agacée, il fait mine de dormir et l’entend s’agiter. Il finit par s’assoupir, il sombre pendant ce qui lui semble être quelques secondes, mais est réveillé par un violent coup de pied dans le ventre. Il pousse un cri de douleur et entend Catlyn crier : « Debout ! » Il lui lance un regard assassin, et elle semble amusée. Elle va auprès de Layla et lui caresse le visage avec affection. Derreck l’observe et la voit rougir, il s’agrippe les côtes et pousse un gémissement tandis qu’il se lève. Il range sa couverture et ses affaires, puis grignote une pâtisserie sèche. Durant tout le petit-déjeuner, Catlyn est collée à Layla et lui demande si elle a bien dormi, ou comment elle se sent. Derreck sent un pincement dans sa poitrine et s’agace, il termine son repas puis se lève et déclare qu’il faut reprendre la route. La ménestrelle hoche la tête, lui emboîte le pas et vient lui donner la main, mais Catlyn le fusille du regard et lui montre les crocs. Le jeune homme ne comprend pas la réaction de la roublarde et s’en moque. La deuxième journée se déroule comme la première, à ceci près qu’à chaque fois que Catlyn vient l’ennuyer, Derreck libère un mince filet de Souffle et la force à fuir. Systématiquement la roublarde sent que quelque chose d’étrange se produit, mais elle reste incapable de voir le miasme et ne parvient pas à comprendre ce qu’il lui arrive. Ils progressent à bonne allure, Derreck continue de récolter des plantes et fruits à mesure qu’ils avancent. En fin de matinée, la température baisse et le ciel se couvre. Sentant l’orage approcher les compagnons décident de manger sur le pouce tout en marchant. En milieu d’après-midi il sont douchés par une pluie battante, et d’un commun accord ils décident d’accélérer le pas pour rejoindre un abri. Ils courent à petite foulées tout l’après-midi, si bien qu’à la tombée de la nuit, il atteignent la frontière entre les terres de Rolon et les Aidrales : le fleuve Irodon. Large cours d’eau dont la source se situe dans les monts Rotharys au nord. La route laisse place à un pont donc chaque côté est doté d’un poste de garde et d’une auberge. Derreck tente de se souvenir des quelques leçons de politique et de géographie qu’il a reçues de la part de Dokkrus. Les deux régions voisines font partie du royaume d’Agratus, mais sont administrées par deux seigneurs différents, tous deux liges du Roi Ragenald. Ils ne sont pas en guerre, mais pas véritablement amicaux non plus. Le trio se rue dans l’auberge et profite de l’abri du porche pour secouer un maximum d’eau de leur cape. Layla entre la première, à l’intérieur il y a peu de place et bien qu’il n’y ait que six clients, l’endroit semble bondé. La plupart sont en train de manger, l’un d’entre eux cependant est devant le feu de cheminée et se réchauffe. La ménestrelle va se placer elle aussi devant l’âtre et pousse un soupir de soulagement. Catlyn la rejoint, non sans assassiner du regard quiconque aurait l’audace de la regarder. Derreck quand à lui salue sobrement les voyageurs et accroche sa cape à l’entrée avant de rejoindre lui aussi la chaleur du foyer. Une matrone les hèle depuis un comptoir : « Si vous voulez rester, il faut consommer ! » Ses manières s’adoucissent lorsqu’elle détaille Derreck, elle toussote et demande : « Qu’est-ce qu’il vous faut ? » Le jeune homme s’approche d’elle et demande : « Pourrait-on passer la nuit ici ? » La tenancière fait une moue hésitante et explique :

-Je n’ai plus qu’une chambre de disponible, avec un lit double... » Derreck hausse les épaules :

-Les filles le prendront, moi je dormirai par terre si vous n’y voyez aucun inconvénient. » Elle soupire :

-Ce n’est pas autorisé. Pas de mixité dans les chambres. » Layla intervient en présentant son luth :

-Et si je divertis vos clients, vous consentirez à faire une exception ? » La matrone fait une moue dubitative :

-Si vous y parvenez, d’accord. Mais vous devez prendre un repas avec. » Layla hoche la tête :

-Marché conclu, trois plats du jour dans ce cas.

-Je vous prépare ça. » Elle s’éclipse en cuisine, et Layla va prendre place sur une chaise près de la cheminée. Elle entame la partition d’une ballade connue : Agratus le pourfendeur de démons. L’histoire du premier souverain de l’humanité et de son vaillant combat contre les forces du mal. L’air est entraînant et Derreck se prête à marmonner les paroles :

...

Sur ces terres, que tous nous aimions,

Librement se mouvaient les démons,

Ravagés, pillés et massacrés,

Mais sur son majestueux destrier,

De son épée les pourfendit,

Et de sa magie les bannit,

Argatus, Roi des hommes,

Argatus, poing de chrome,

Puis les souvenirs de son village et des proches lui reviennent et son enthousiasme s’éteint. Il continue d’applaudir mais ne trouve plus le courage de chanter. Son humeur s’améliore cependant lorsqu’un voyageur, vraisemblablement un guerrier des Monts Rothary, crie à travers l’auberge pour demander une gigue de sa région. Layla rit et explique qu’elle ne possède pas le coffre pour rendre justice aux chants guerriers des hommes du Nord. Ce dernier se met à entonner lui même les paroles d’un mélodie vantant le courage et la bravoure d’un héros des temps anciens. Layla s’empresse de le rejoindre et joue de son instrument pour les accompagner. Les clients se mettent à battre la mesure en tapant du pied au sol, du poing sur les tables ou simplement dans leurs mains. Derreck en arrive même à rire légèrement, il aperçoit la matrone qui sort le nez de sa cuisine et sourit. Le chant se termine et un marin de la péninsule d’Argantael demande alors à Layla si elle connaît la mélodie des Baleiniers, la ménestrelle s’exclame par l’affirmative et parcours son luth de ses doigts. Le matelot se met alors à réciter le refrain et elle le suit. La soirée s’anime, les clients réclament à boire, la tenancière semble ravie. Elle vient trouver Derreck et lui explique : « J’ai mis vos repas à mitonner, je ne voudrais pas interrompre votre amie, d’autant qu’elle est en train de chauffer la salle et que les commandes d’alcool vont bon train. » Derreck opine du chef et passe l’heure suivante à écouter Layla. Il s’étonne de ne pas voir Catlyn et la cherche du regard, quand il la trouve, elle est dissimulée dans un coin et regarde son amie avec fascination. Non… réalise Derreck : pas de la fascination, de l’affection, voir… de l’amour ? Il pense d’abord se tromper, mais plus il y réfléchit, plus il comprend certains comportement de la roublarde. Sa surprotection de Layla, son agressivité et sa méfiance envers lui. De la jalousie ? Pourquoi pas. Il va lui falloir tester cette théorie, et cette nuit à l’auberge est peut-être le moment parfait pour le faire. Il se lève et va retrouver Catlyn, lorsqu’il s’approche d’elle, elle lui lance un regard méfiant. Derreck lui sourit, se tourne vers Layla qui est encore en train de chanter et déclare : « C’est la première fois que je la vois ainsi. Elle a l’air heureuse... » L’air de rien il libère un peu du Souffle de Yag. Catlyn lui offre une moue réprobatrice :

-Si tu la connaissais, tu saurais qu’elle ne vit que pour la musique. La seule raison pour laquelle elle n’est pas ménestrelle à temps plein, et qu’elle ne parvient pas à gagner sa vie avec. La compétition dans le domaine est trop rude, et son talent n’atteint le génie de certains de ses pairs. Elle doit donc compenser avec autre chose. » Derreck soupire en souriant :

-Tu tiens beaucoup à elle. » Catlyn s’agace :

-Elle est comme une sœur pour moi.

-Si ça peut te réconforter, Layla m’a dit la même chose à ton sujet. » L’expression furibonde de la roublarde se teinte de tristesse. Nostalgie ou mélancolie due à un amour à sens unique ? Impossible de savoir. Derreck enfonce le clou et libère toujours son miasme : « Tu sais, elle a de la chance de t’avoir pour la protéger. C’est une chouette fille et ça me rassure de savoir que tu veilles sur elle. » Catlyn grogne :

-Arrête ton char va, je sais très bien que tu ne veux qu’une chose, c’est te frayer un chemin vers son entrejambe. Je suis la seule chose qui t’en empêche.

-Enfin Catlyn… Layla n’est pas qu’une…

-Ne te fatigue pas à essayer de m’attendrir. Je sais parfaitement que tu cherches à nous monter l’une contre l’autre. Est-ce que tu sais combien de salopards ont tenté leur chance ? Personne n’y est parvenu, parce que je me préoccupe de Layla bien plus qu’aucun mâle ne le fera jamais. » Derreck note l’emploi de ce terme péjoratif, son intuition selon laquelle Catlyn est homosexuelle se confirme de plus en plus.

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