Chapitre quatre : Une défense philosophique

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Chapitre Quatre : Une défense philosophique.



Quand elle se rendit au poste de gendarmerie, Fabien était là.

« Ne me touchez pas !»

« On va vous confronter et vous écouter dans une salle privée.» Lança Louise.

« Pourquoi as tu porté plainte ?»

« Vous savez pourquoi madame l’enseignante.»

« Que t’ai je appris ? n’as tu rien retenue ? Tu es intelligent non ?»

« Vos flatteries laissez les là ou je les pense !»

« Calme toi, je veux comprendre, en quoi t’ai je harcelé ?»

« Vous m’avez harcelé sur le cours, je comprenais, très bien !»

« Tu n’en ferais pas un peu trop ?»

« Votre défense philosophique m’affectera pas.»

« Fabien ; je l’avais fait pour ton bien ! Je défends ces causes harcèlements et … toutes religions.»

« Allez c’est repartie ! Encore un cours de philosophie.»

« Je te laisse réfléchir car c’est toi qui cherche le conflit or ça n’a pas lieu d’être.»

Fabien se trahissait et frappa Marianne.

Les gendarmes intervinrent.

Marianne partit, fragile et avait mal aux joues.

« Il n’est clair … moi qui voulait l’aider.»


Elle entra dans un bar assez réputé du coin.

« Un verre ma jolie.»

Aux informations, un attentat fut commis dans un lieu religieux juif, Frank réagissait.

« Je trouve cela injuste.»

« C’est tout ce qu’il a à dire ce vieux voleur.» Dit un vendeur du bar qui buvait son whisky assez concentré.

« On ne changera pas la politique, ils sont incompétents ! Mettez des visionnaires dans l’assemblée, pas des bouches-trous !» Lança un autre.

Marianne fit un geste d’approbation.

« Marc, un verre s’il te plaît.»

« ça fait longtemps, que deviens-tu ?»

« J’ai quitté mes fonctions, je me convertis en policière.»

« Quelle surprise !»

« Et je veux un domaine spécifique, défendre les juifs car les politiques n’écoutent rien.»

« Ils font la morale mais quand c’est eux, on dit rien.»

« Exact !»

« Frank j’aime pas ce type.»

« Moi non plus te rassure.»

« Connard, fais attention.»

« Calmez vous !» Lança Marc

« Marc ?»

« Oui ?»

« Aimes tu toujours mes essai philosophiques ?»

« évidemment.»

« Dans notre réalité, pourquoi s’entretuons nous ?»

« Oula, beaucoup de choses.»

« Toujours la loi du plus fort, on est obligé de se détruire pour mieux recréer après.

L’erreur ce n’est ni la raison ni la déraison, on apprends de nous même.

L’humain aime le sang, regarde les guerres et les conflits religieux ou intérêts !»

« ça me révolte aussi.»

« Je connais des amis juifs et juives, ils sont menacés tous les jours.»

« On n’en parle pas assez ...»

« Et les ouvertures d’esprits sont relativement faiblardes.»

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