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Laila continua son blog et de faire de nouvelles rencontres.

Elle rencontra aujourd’hui un député nommé Gaël.

« Bonjour madame. »

« Lisez ce blog. »

Il prit dix minutes.

« Vous êtes une femme d’avenir car la poète a toujours raison, la femme est l’avenir de l’homme. »

« Louis Aragon ? »

« Exact madame. »

« Je trouve cela passionnant et fascinant. Pour moi, les humains sont rares.

Sans agriculteurs, sans vendeurs, sans meneur, sans lois, la vie serait triste et réduite à l’anarchie la plus totale. »

« Vous êtes député depuis ? »

« Deux ans. »

« Que pensez-vous de la dite question ? »

« Nous sommes tous pareils, nous apprenons à l’école puis s’ensuit l’école de la vie. La vie adulte, les épreuves des deuils, les épreuves des sentiments, des amis.

Les relations sociales, des souvenirs pris en photo, mit dans des albums où des cadres photos ... »

« Plutôt relations que livres ? »

« Oui, on a tous des philosophies et point de vue différents, c’est ça la force de l’humain. Cultivons nos différences. »

« Bon merci. »

Le député continua son chemin et me fit un sourire d’enfer avec ses dents blanches rayonnantes.

Laila apprit encore beaucoup aujourd’hui.

Elle écrivit sur son blog.

« S’instruire et la clef de la vie, car que serait la vie sans apprentissage ? C’est un éternel recommencement, chaque jour est différents, de nouvelles nouvelles, de nouvelles informations que l’Humain apprends et donne aux autres.

Le savoir est t-il plus fort que l’Humain ? Et ses relations sociales ? »

« Laila ? »

à deux heure du matin, quelqu’un sonna.

Elle eut du mal à sortir du lit.

« Qui est-ce ? »

« C’est moi Jane, ton amie du collège ? »

« Qu’as-tu putain ? »

Elle ouvrit la porte à moitié endormie.

Jane était petite et limite anorexique.

« Tu as un problème Jane ? »

« J’ai des problèmes avec les huissiers. »

« Merde, regarde toi. »

« Quoi ? »

« C’est pas bon l’anorexie, tu le sais très bien Jane. »

« Merci de me soutenir, de me faire la morale ! Je comptais sur toi pour me loger. »

« Tu risques la prison. »

« Je lis un livre en ce moment regarde. »

« Le plus important pour toi, les livres où les relations sociales ? » dit Laila hésitante.

« Je … sais pas. La philo c’est terminé depuis belles lurettes ahah ! »

« Jane, je peux pas te prêter de l’argent mais je peux te loger. »

« D’accord. »

« Mange un peu s’il te plaît, on était bons amies toutes deux ... »

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