Chapitre 15

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La famille de Caitlin était rentrée à Los Angeles. Il était dix-huit heures. Jamel venait de donner rendez-vous à sa belle pour se coïter et s'expérimenter. Le temps pour lui qu'il finit de remplir ses papiers administratives. Alya vint dans la chambre de la jeune femme :

- Alors, mademoiselle. Pour vous, ce serait pyjama ? Djelabba ?

Rougissante et nerveuse, la jeune femme mettait sa tête contre son oreiller et disait d'une voix timide et aimable :

- Non... C'est pour autre chose.

Alya avait compris. Ce que Caitlin affronter était une chose importante dans la vie d'une femme. En lui souriant, elle lui disait :

- C'est un grand jour pour vous. Vous allez pouvoir enfin vous amourer avec le roi.

- Oui. C'est ma première fois.

- Laissez vous aller.

Le roi a la réputation d'être doux comme un agneau avec son peuple.

- Vraiment ?

- Oui.

Alya lui trouvait une magnifique tenue en satin appartenant à la mère du cheikh dans le dressing. La jeune américaine en était transportée :

- Whaou !!!! C'es magnifique, Alya !!!

Caitlin adorait la couleur de sa tenue :

- Vous faîtes la même taille de vêtement que la mère de son altesse, l'ancienne reine. C'est sa tenue qu'elle avait porté pendant sa nuit nuptiale avant son mariage. Avec ça, vous seriez sûre de faire émouvoir le cœur de sa majesté. En plus, le vert est sa couleur favorite.

- Comme moi. J'adore cette couleur. C'est la couleur de la nature et de la vie.

- Et aussi des origines de sa majesté.

Alya lui mettait la tenue à la jeune femme. Puis, elle lui coiffait. Après un quart d'heure, la jeune femme était sublime dans cette belle tenue en satin :

- Cent pourcent naturel.

- Merci Alya. Je ne serais pas ce que je serai devenue sans vous pour me chouchouter. Qu'est-ce que je vous dois ? Disait Caitlin en lui faisant un câlin.

- Rien du tout. Vous avez les qualités pour devenir la femme du roi. Les femmes que le roi contoyait auparavant n'étaient pas tendre avec le personnel ainsi que les gardes. Ne changez rien en votre comportement. Soyez parfaite comme vous l'avez été depuis votre venue.

- Merci.

- Alya a raison. Tu as toujours été parfaite, habibti, disait une voix que Caitlin reconnaîtrait entre milles.

- Oh majesté. Bon mademoiselle, je vous laisse face à votre destin.

La gourvernante du personnel du palais fermait les portes et laissait seuls les tourteraux pour se découvrir. Le cheikh regardait sa future femme de la tête au pied.

- Whaou...

Le roi était ému que sa habiba portait la tenue nuptiale de sa mère. Caitlin riait :

- Votre mère a porté donc cette tenue lors de sa nuit de noces ?

- Oui le sept mars, jour de sa nuit nuptial avec mon père. Je n'ai pas les mots pour te décrire tellement que tu es belle.

- Merci. Jamel venait vers sa belle. Il jouait avec sa mèche de cheveux.

- Il n'y a pas de moments aussi unique que toi.

Caitlin était en ébulission de ce moment. Jamel lui faisait tourner la tête ainsi que son coeur. Elle était sur le point de craquer, d'exploser tel un volcan en éruption. Elle prenait une inspiration et chuchotait en arabe à l'oreille de Jamel "bousni" qui veut dire "embrasse moi". Le roi avec un sourire aguicheur exécutait l'ordre immédiatement. Il scellait ses lèvres aux siennes. Puis le cheikh portait sa princesse jusqu'à son lit. Il la déposait sur le matelas en la couvrant de sa grandeur. Le souverain prenait le temps de goûter ses lèvres et de se vider du désir qui le submergeait. Ses yeux était d'un noir ardent. Sa respiration sacadée se mêlait avec celle de la jeune femme. La jeune américaine sentait sa barbe au contact de son cou. Elle poussait un doux gémissement. Jamel s'arrachait au cou de la jeune femme pour s'arracher à ses lèvres là où tout son sang enfiévré pulsait à tout moment. Le cheikh émettait un grognement de satisfaction :

- Tu es tellement belle, omri.

- Je sais, dit t'elle dans un soupir doux et vibrant pendant qu'il lui embrassait la lobe de son oreille, Alya m'avait dit de le mettre afin que ça te plaisait. Est-ce que ça a marché ?

- À toi de me le dire, habibti, disait le cheikh en lui saississant sa main vers son torse.

Caitlin enlevait sa chemise en lin vert pâle et découvrit son corps musclé chargé d'histoire. Ce n'est pas pour rien que cet homme viril soit un guerrier du désert. La jeune californienne se mordait la lèvre et rougissait. Il est tellement beau. Le roi enlevait son peignoir et lui caressait son dos ce qui provoqua un cri strident à la jeune femme. Il lui chuchota à son oreille.

- Montre moi qui tu es, habibti.

Sa voix était dure comme de la pierre. La carrure d'athlète du souverain électrisait le coeur de la jeune femme. Caitlin entreprenait des caresses sur son torse jusqu'à qu'il saissait ses mains. Il embrassait ses lèvres pulpeuses, chaudes et moites. Lui mordillant sa lèvre, il l'entendait prononcer son nom. Le roi la sentait contre lui. Enlacés pour l'éternité. Le cheikh en profitait pour défaire les bretelles de la nuisette en satin de Caitlin. Il enveloppait sa poitrine. Le roi caressait avec son pouce chaque parcelle de cette partie qui se durcissait à chaque gestes affectueux. La jeune femme était en lui. Le cheikh lui procurait d'étrange sensations au creux de ses reins. Caitlin prenait le visage de Jamel entre ses mains et l'embrassait d'un désir ardent voir presque sauvage.

- Beauté sauvage aussi, souriait le cheikh qui caressait les cuisses de la jeune femme.

- C'est parce que tu es incroyable, Jamel, souriait Caitlin.

Le cheikh lui souriait et continuait son exploration. Il dessinait de sa langue, un chemin tortueux le long de la colonne vertébrale de la jeune femme qui elle se préparait mentalement au plus grand moment de l'acte. La jeune femme était chaude, moite et tout pour le roi. La langue de Jamel venait d'effleurer le fruit du péché provoquant en Caitlin des spasmes de plaisir. Il lui faisait des va et viens. Le corps de Caitlin s'envolait vers un orgasme imminent et elle avait besoin de le sentir contre elle à ce moment délicieux. Le roi arrivait face à son visage et la jeune femme goûtait à nouveau ses lèvres. Elle pouvait sentir son odeur enivrante. Jamel la regardait dans les yeux et lui disait d'une voix rauque :

- Que veut tu que je te fasse, habibti ?

- Tu as carte blanche. Montre moi tout ce que tu sais faire...

Jamel lui caressait son cou. Il embrassait son épaule ainsi que la lobe de son oreille et lui dit d'une voix suave :

- Tu seras mienne.

Caitlin avait des papillons dans le ventre. Le roi l'embrassait comme si c'était sa dernière vie. Il mettait sa main à sa ceinture et dévêtit son pantalon. Il était en boxer. Caitlin se demandait comment va t'elle être en lui malgré son imposante carrure, sa virilité et sa puissance. Ses jambes flageolaient. Elle tremblait. Pour la rassurer, le cheikh lui murmurait des paroles en arabe :

- N'aie pas peur, habiba. Reste avec moi..

Ces mots ne faisait que rassurer la jeune femme qui s'emportait dans ce tourbillon d'amour. Elle commençait à caresser le fruit détendu du cheikh. Elle souriait et touchait ce fruit détendu entre ses doigts en contemplant ses yeux émeraude qui brillait. Le roi touchait sa tempe. Elle l'encouragait avec ses soupirs. Ainsi Jamel pénétrait dans le corps de la jeune californienne avec une douceur incroyable. Ça y est. Le roi était dans la jeune star hollywoodienne. Une douleur intense traversait le corps de la jeune blonde vénitienne avant d'être attenuée par les caresses du cheikh sur sa chair. Tous les deux nageaient dans le bonheur. Le roi lui faisait de longs va et vient en murmurant à Caitlin qu'elle était belle et à qu'elle point il était fou d'amour pour elle. Leurs mouvement devenaient intenses et plus puissants. Caitlin gémissait au fur et à mesure et jouissait de cette nouvelle sensation. Quant à Jamel, il ne voulait pas la brusquer. Il accélérait le rythme dans une certaine tenue. Les deux âmes se conjuguèrent afin de se fondre l'un contre l'autre. Leurs cris résonnaient à travers la pièce tels des rossignols mélodieux. Brûlants, la jouissance aphrodisiaque et interminable venait de s'achever. Ils échangèrent un long baiser passionné. Ils restaient soudées l'un à l'autre un moment avant que Jamel se retirait d'elle et la serrait contre lui. Ils ramenènent également leurs couverture contre eux. Enfin le cheikh avait réussi à faire graver son image à l'esprit de Caitlin pour toujours et à jamais. Quand à Caitlin, elle ne se réalisait pas qu'elle venait tout juste de perdre sa virginité :

- Quelle aventure, soufflait t'elle

- C'est ma troisième aventure inconnue et c'est la meilleure que je n'ai jamais vu de toute ma vie. D'habitude, je pars après l'acte parce que j'ai des doutes. Cette fois-ci c'est différent, disait le cheikh de sa voix suave.

- Pourquoi est -ce différent Jamel ?

- Simplement parce que tu m'aimes. Cet amour et ces sentations. Je les ai attendus depuis tellement longtemps.

- Ça fait depuis combien de temps que tu n'as plus ressenti ces émotions ?

- Quatre ans, habibti. J'avais ton âge. Et je peux te dire que tu es officiellement mienne.

- Et je peux aussi te dire de mon côté que je suis tombée sous ton charme désormais.

- La beauté plaît aux yeux. La douceur charme l'âme tel un serpent qui charme son fakir. La femme a le pouvoir d'apaiser l'homme, de faire fondre son coeur. C'est la première fois de ma vie que je ressens ces émotions. Tu es la femme parfaite, Cait.

- Oh ça me touche que tu m'appelles par ce nom rougissait Caitlin en se nichant dans le cou de Jamel.

- J'entends souvent ma soeur t'appeler par ce surnom que je trouve adorable aussi mais je privéligie les mots affectueux en arabe. C'est comme ça qu'on affectionne les femmes dans mon pays.

- C'est génial.

- Oui, habibti.

- Je...Je t'aime.

Caitlin l'embrassa et se laissait tomber dans ses bras. Elle se sentait belle à travers cette homme. Le cheikh regardait sa bien aimée qui se sombra dans le sommeil et ferma les yeux tout en appréciant cette vision magnifique. Ils étaient fusionnels l'un à l'autre sombrant dans le pays des rêves. La journée s'acheva. Le couple se douta que certains évènements allaient orner leur nouvelle vie.

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