Un soleil noir et latin

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 Ce jour là, c'étais le premier jour que Roméo Moriarti, parrain de la cosa nostra, seigneur des mondes souterrain, roi sombre de Sicile ressentis non pas du remord mais une légère appréhension.

Il étais là, debout dans son grand costume noir. Ses cheveux blanc parsemé sous son chapeau de feutre noir. Ses joues pendantes et son bide débordant par dessus sa ceinture.

L'histoire d'une vie d'excès. Il étais là debout, les mains dans les poches au dessus d'un grand trou. Dans ce grands trous profond et sombre, étais éparpillé plein de choses, avec des bras, des jambes emmélées. Des cheveux, blonds, bruns..., beaucoup de bouches ouverte avec leur dents dur et droite, bien enchassé.

Des yeux grands et bleux le regardais, et il leur retournai le regard. Cela avais été une sale affaire, des petits jeune qui s'étais trouvé au mauvais endroits au mauvais moments. Quelque passeport dans sa main, il serviront. Ses hommes aspergèrent les corps d'alcool, il craqua une alumette, les yeux bleu le regardais toujours, sans rien dire.

Il se demanda quand ces yeux commencèrent à le regarder. Ces petites boule blanche qui ne veulent lui dire. Il jeta l'alumette et une grande flamme se leva vers le ciel bleu, où des petits nuages cotonneux se reposais.

Il regarda ses hommes nourrir le feux avec de gros tronçons de chêne. Il en avait assez. Il se dirigea vers sa longue limousine noir qui l'attendais.

Il s'assit à la banquette arrière ses yeux porté vers l'horizon. Regardant d'un œil hagard la campagne italienne dormir sous le brulant soleil latin. Il se sentai fatigué et frustrée, encore des morts. Rien n'avais changé dans sa petite italie. Toujours ce soleil de plomb, les cadavres, les jolies maisons blanches, les grands trous profond et froid. Les lasagnes de Mama, les grands diner avec le maire, la politique, les belles balades en voiture avec sa fille.

Un vie froide de crime qui sentais le cadavre et la mort. Cette vie de petits rayons de paix et de chaleur ou sont grands costume noir s'en allait. Tous cela il l'acceptais mais il y avait toujours ces gros yeux blanc, sans vie qui l'attendais au coin des jours et qui le regardais. Il se coucha tôt ce soir là.

Il souhaitai être seul et dis a sa jeune femme de ne pas le déranger. Il regarda longtemps le plafond de pierre nue , les yeux grands ouvert. Se rémémorant quelque éclairs de souvenir. De lourd jours chaud, ou se même soleil brulant illuminé des corps sans vie.

Ces corps qui lentement pourrissé dans un après midi bleu. Doucement, il sombra dans un sommeil troublé, où de rapide vision, de l'angoisse tournoyé. La cloche sonna son douxième coup, et il se réveilla avec l'écho résonnant.

Oscillant encore entre le rêve et le monde sensible, il vus la grosse lune jaune et ronde au centre de la fenêtre. Il se décida à sortir, marché un peu. Le jardin étais peigner dans une lumière onirique, il se sentais en paix. Mais dans ce bonheur paisible, il se rendis doucement compte d'une certain peur. Les arbres sifflaient de leur feuille sombre. Les buissons dans une demi clareté projeté d'étranges démons qui ruisselait sur les petits cailloux blanc, le chemin disparassait alors.

Il marchait lentement scrutant les ombres fuyante, le sol crissait sous pas réveillant de petits êtres de la nuit. Il continua sa marche, chantant dans sa tête. Mais, à son insu, lentement commença a remonté une inquiètude, une crainte.

L'astre se cacha une minute derrière un grand nuages. La pénombre remplis sa vue, c'est alors qu'il entendis, un petit cri, comme un oisillon. Il tourna son regard vers l'épicentre de sa curiosité. Il vus qui trainais un pendentif en or où au centre tronais un petit saphir azur. Il s'approcha, pris l'objet et après avoir regardé les étranges symboles gravées dans le socle, le mis dans la poche de sa veste et rentris dans sa demeure pour dormir.

Il se réveilla, il étais en forme. Il s'étira les deux main jointe au dessus de sa tête. La nuit l'avais libéré de ses anxietès et vision de la veille. Il s'habilla promptement et descendit pour déjeuner. Il mangea un cannelloni à la crème avec de la confiture de cerise noire et deux expresso.

Soudain, « Roberta ! Il est temps que tu descende. » n'entendant pas de réponse, il demanda à sa bonne ou se trouvais sa femme et sa fille. C'est alors qu'il vis des petits pieds blanc descendre l'escalier pas à pas. « Je suis là, j'arrive mon loup » il l'as regarda apparaître, féline. Elle lui demanda « comment étais le petits déjeuner ? » en lui posant ses douces mains sur ces vieux os et en lui massant tendrement les épaules lui raconta. " Je suis me réveillais tôt pour préparer le repas avec Jeanne... J'ai fais un drôle de rêve cette nuit. Je me promenais avec un homme, son visage étais masqué. Nous marchois le long d'une petite rivière. Parfois nous nous trempions les pieds dans l'eau fraiche et prenions un bain de soleil nus sur la petite rive de galets. Ce jeune homme me raconté des histoires drôles et coquine au creux de la nuque. J'ai beaucoup ris. Avant de partir il m'a offert un pendentif en argent ornée d'une petite perle carmin". Roméo, finissant son déjeuner leva ses petits yeux noisette vers elle. Elle portais une robe cintrée, noir et courte qui lui souligné le corps. Un grand décolleté élégant lui descendait j'usqu'au nombril, revelant ses seins blancs et jeune. Il eut envie d'elle, tous de suite. Il lui attrapa la main, et lui fis l'accompagner à sa chambre. Tandis qu'il se tentait a verouillé la vieille porte, elle se déshabillait laissant tomber en une sombre cascade ses cheveux. Elle s'avança vers lui nue, sans gêne, ses pied se posant délicatement sur le sol , elle s'avançais en femme conquérante.. elle glissa ses long doigts fins le long de son torse, lui retira sa chemise et embrassa sensuellement son corps.

Elle lui retira sa ceinture, la boucle fit un bruit sourd en tombant. Elle malaxa son pénis, qui se durcissait lentement sous son doigt sensible. Son souffle brulant lui carressait la peau tandis qu'elle s'appretait à lui faire l'amour. Son corps dressé, collé contre le sien, sa poitrine pressé contre la sienne. Il entra en elle, libérant son souflle et sentis le corps de sa femme.

Il étais froids, affreusement froid. « qui a t'il mon loup ? » Il la regarda, un gros vers s'extirpe du coin de son œil. Il crie, essaie d'ouvrir la vieille porte frénétiquement. Il court nue vers la salle à manger, son instinct animal lui dictant ses ordres. Les escaliers craque doucement tandis qu'elle descend, elle parle de sa voix pleine d'incompréhension « Mon Loup, mon loup que t'arrive t'il ? Tu n'aime plus mon corps ?». « Ah oui ! Le déjeuner comment l'as tu trouver ? C'étais un travail énorme, Roberta n'arretais pas de crier c'étais affreux » Sur la porcelaine blanche du service, maintenant de petits doigts boudiné s'étalais. La cafetière pleine de sang poisseux contrasté avec la nappe de dentelle . « J'ai trouvé Roberta, Mr Moriarti » la voix de clochette de Jeanne résonna dans la grande pièce. Elle arriva, toute souriante dans ses petits escarpins beige, portant le grand plateau d'argent sur lequelle tronais la tête de sa fille. « je suis désolé Mr Moriarti, je pensais faire cuire le roti pour diner, mais je peux le mettre au four de suite ». Roméo portant ses doigt a sa bouche , regoutais la chair impie qu'il avais ingurgité. Il vomit une boullie d'ongles, de phalange et de sang.

Il eut peur, il allait mourir. Il courra à l'entrée, essaya d'ouvrir la porte, elle étais fermé. Il se dirigea vers la cuisine, s'arma du hachoir. C'étais lui ou eux désormais et sa peur se transforma en colère pour Roberta. Il se cacha dans l'ombre d'une armoire attendant les monstres qui le pourchassait. Il frappa Jeanne la première, sa lame s'enfonça dans sa nuque avec tant de force qu'elle percuta le mur avant de s'éffronder. Il s'en alla ensuite de nouveau à la salle manger. Elle étais là assise sur les antique chaise de velour rouges mangeant élégamment. Il se lança vers elle a grande enjambée en hurlant sa mort. Il la poussa au sol, la tenant par la gorge et tandis qu'elle riait au éclats « oh tu n'as rien vus ! ». Il frappa, de nombreuse fois, expiant sa colère, sa tristesse, son désespoir. Pour ne laisser sur la moquette couleur crème qu'un chose rouge et balafré. Il se leva, pris la tête de sa fille et la serra de toute ses forces contre son cœur en pleurant.
Flash info : « Mr Moriarti, suspect principal de l'enquête concernant le meurtre de sa femme, sa fille, et sa bonne à étais jugée coupable. Il servira une peine à perpétuité pour ses actes ». Dans un grand trou, 6 pied sous la chaude terre italienne de grand sourire éclate et un pendentif rouge luit dans le noir.

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