3. Thomas
Vole, vole petit albatros.
Déploie tes ailes par-dessus l’océan indien
Plane, plane jeune albatros
Vole jusqu’à ce que de nos souvenirs il n’en reste rien
Je me suis perdu en mer
Oui je me suis égaré dans ses impressionnantes vagues
J’ai navigué en mer douce, j’ai bu la tasse
Le chant des sirènes m’a capturé
Oui je me suis bel et bien laissé envoûté
De toi je ne peux me séparer
Oh mer, mère de progéniture nombreuse
De tes enfants tu as soin
De leurs secrets tu es confidente
Sur ton rivage je ne suis qu’un étranger, un inconnu
De tes filés je suis prisonnier
Je me sens déjà chez moi
Une nuit, cinq nuits, des centaines de nuits sont passés
Pourtant c’est comme si nous n’avions jamais été séparés
J’avais plus on ne se quittera
Belle, majestueuse, impétueuse mer
Ta magnificence coupe le souffle des plus amers
De toi les marins ne peuvent se séparer
Annotations
Versions