Doux venin

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Comme un baiser amer,

La mort a su,

Bannir ce temps révolu,

Compassion, elle ne tolère.

Posant son magnifique calice,

Sur le sol froid,

Du bout des doigts,

Caresse ma peau lisse.

Adieu mes rêves fous,

Un jet de roses,

D'une lointaine osmose,

Seul devant le trou.

Je laisse derrière moi,

Une multitude de souvenirs,

Je bannis le pire,

Rire une dernière fois.

Vivre est un cadeau

Libre encore plus beau.

Dans ce poème, je me dévoile à vous, j'en écris peu et pourtant ce fut un réel plaisir.

Merci.

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