Chapitre III - Stop and smell the Roses
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La société m’étouffe,
Et je souffre
De subir,
Lorsque je voudrais guérir
L’égoïsme grandissant d’un monde
Qui court à sa perdition.
Ma rétine saigne d’apercevoir des sourires à l’envers,
Ma bouche est las de paroles mécaniques,
Mes tympans se crispent du dialogue d’une jeune fille de treize ans,
Pratiquant le harcèlement scolaire
Mes poings se serrent de tant de violences gratuites,
Inscrites sur les murs,
Dans les mœurs,
Et peut-être même sur ta peau,
Puisque la Différence dérange.
Du plus profond qu’il puisse faire écho ;
STOP.
Stop and smell the Roses
Son parfum est majestueux,
Ses pétales voluptueuses,
Et sa beauté n’a pas d’égale.
Pourquoi cultiver la Haine, là où le Bonheur voudrait prendre racine ?
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