Chapitre 8 : Cachotterie dans les cachots

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- J'ai été un très vilain garçon madame.
- Vraiment ? Alors tu mérites d'être puni.
- Oui madame.
La sorcière dans un mouvement rapide et fluide sort sa baguette et les points vers les chaînes qui pendent au plafond. Ces derniers viennent immédiatement s'enrouler autour des poignets de sa victime. Elle point ensuite sa baguette vers les chaînes ancrées dans le sol et celles-ci viennent immobiliser les jambes du jeune homme. La femme contemple sa victime ainsi vulnérable et soumise à toutes ses volontés. Lentement pour accentuer son geste elle pointe à présent sa baguette vers sa victime qui se retrouve nue. Le sourire de la jeune femme s'accentue encore, car elle constate que sa proie a déjà un début d'érection.
- Alors comme ça, ça t'excite d'être une petite pute soumise attachée.
- Oui madame
- Je vais t'apprendre ce qui t'en coûte de bander sans mon autorisation.
Un jet de flamme sort de la baguette de la sorcière et vient lécher les parties intimes de son partenaire. À part une légère brûlure qui le fera souffrir dans les prochains jours et de faire roussir les poils pubiens de l'homme, cela n'a pas beaucoup d'effet à part conférer une impression de puissance à sa tortionnaire. Cette impression de puissance qui l'excite et rend son sexe humide. Elle fait apparaître un fauteuil de type victorien en velours rouge. Après s'être assise, elle rebrousse sa robe pour faire apparaître son sexe poilu. La sorcière pointa à nouveau sa baguette sur son esclave. Les chaînes attachées à ses poignets se détachent, mais une nouvelle chaîne sort du sol et s'enroule autour du cou de l'homme puis se tente l'obligeant à se mettre à quatre pattes.
- Lèche
Un seul mot, et le soumis obéit et commence à lécher comme on lui a demandé. Il concentre son travail sur le clitoris et les petites lèvres de sa maîtresse pour lui procurer un maximum de plaisir et aussi, car c'est la partie la moins poilue du sexe féminin. La femme commence d’ailleurs à gémir et presse la tête de son esclave contre son mont de Vénus.
- Ho oui va y putain connard.
L’homme fait alors tous sont possibles pour que sa maîtresse arrive à l’orgasme
- Ho oui va y sale chien. Oui ouuiiiii
Le soumis ressent l’orgasme de celle à qui il a juré obéissance et cela le fait frémir de plaisir. Puis pendant qu’elle reprend son souffle, il reste silencieux à quatre pattes. Puis elle reprend la parole.
- Ouvre la bouche.
L’homme sait ce qui l'attend, mais il obéit. Il ouvre la bouche et tire la langue. Et la femme se met à uriner en dirigeant son jet doré vers son visage. Une fois ses besoins assouvis, elle se lève.
- C’est bien sale chien, tu as le droit à un cadeau.
Elle tire à nouveau sa baguette et à nouveau des chaînes rentrent en action. Une chaîne sort du plafond et s’attache elle aussi au coup pour l’obliger à se relever en position penchée. La sorcière dirige alors sa baguette vers son sexe qui passe du genre féminin au genre masculin. Un phallus de 22 centimètres de longueur pour 20 centimètres de circonférence. Elle se place à l’arrière et présente son sexe magique devant l’anus de l’homme avant de l’enfoncer d’un coup sec, en bon petit soumis, l’homme aime cette douleur suivie du frisson procuré par le gland qui vient toucher sa prostate et enfin, la stimulation des terminaisons nerveuses de l’anus à chacun va et vient. Très vite, l’authentique pénis finit d’être à son apogée tandis que son propriétaire se met à gémir. La femme accélère sa cadence et ralentie dans un plaisir sadique de faire durer l’instant et de maintenir son soumis à la limite de l’orgasme. Mais au bout de dix minutes d’un tel traitement, il finit par jouir. Deux gicler de sperme vienne s’écraser sur le sol de pierre du cachot. La sorcière se retire alors et pour la dernière fois utilise sa baguette pour libérer son esclave de ses chaînes, faire disparaître son fauteuil et faire revenir son sexe à son état normal grâce à « finite incantatem ».
- Nettoie-moi ça avec ta langue sale pute.
- Oui maîtresse.
Et alors qu’il commence à laper, ils entent la porte s’ouvrir.
- Percy ?
- Ginny ! Qu’est-ce que tu fais là ?
Mais avant que cette dernière est pue répondre elle a refermé la porte laissant les deux amoureux sans voix.
Rappel : Au moment où Ginny veut parler à Harry Percy l’interrompt pensant qu’elle veut parler du « bisou » qu’elle a surpris entre lui et Pénélope Deauclaire. De plus, Percy a toujours aimé les règlements alors je le vois parfaitement adepte du Sadomaso.

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