Oreiller

Moins d'une minute de lecture

Oraison glacée. Non qu'elle pleura le passé.

Rien dans le monde d'hier ne lui tenait à cœur,

Exception faite d'un souhait vain . Elle caressait

– Idylle imaginaire ! – l'espoir d'un frêle bonheur :

La chaleur insensée d'une étreinte rassurante...

La ville désormais s'était mue en désert

Et nulle ne pouvait l'y aimer – nulle âme vivante.

Roulée à même les cendres : « Seule, dans ma misère... »

Annotations

Vous aimez lire Opale Encaust ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0