La souffrance...

3 minutes de lecture

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

La souffrance et le bonheur sont deux sentiments antagonistes

Fondamentalement une forte exposition à l'un donne un effet de lassitude et d'acquis. La forme la plus présente des deux perds alors de la valeur. Suivant cette idée le bonheur comme la souffrance peut être vecu soit comme quelque chose d'exceptionnel et dinc affecter grandement quiconque

Or les événements marquant on un caractère décisif dans l'évolution de l'individu tout au long de sa vie.


Dès lors on peut prendre conscience du fait que l'homme se construit à partir de ce qu'il trouve en grande quantité


Ici l'homme se sert de la souffrance comme fuel pour alimenter son réservoir de rêve et de remise en question.

S'il était question de l'inverse cad que l'homme soit plongé dans le bonheur et parfois touché par le drame , non seulement cela n'aurait rien de constructeur car tous chemineraient vers une route commune du bonheur qui mènerait à un trouble de l'identité personnelle sexpliquant par le fait que tout le monde aurait le même parcours car le bonheur n'est pas createur mais porteur de sens. Or il doit porter du sens à la souffrance qui elle construit un être humain car la souffrance est personnelle et ce au plus strict du terme

Ensuite il est important de mettre en parallèle que si l'homme était dans le bonheur plus que dans le malheur, celui ci finirait soit par mourir d'ennui soit par mourir tout court car le choc lié à la souffrance serait en oppositio totale avec l'idée de construction de soi. Là où une heureuse expérience de bonté amène à l'évolution positive de soi, la souffrance ici ne serait que destructrice.

Mais comment expliquer le mal dans le monde ?

Le mal dans le monde doit être vu comme deux extrêmes auquel peuvent converger certaines choses ou personnes, les autres se trouvant entre l'espace qui relie les deux extrêmes. Les gens normaux comme toi et moi nous situons là plus ou moins au milieu selon notre vision des choses et notre parcours de vie

Les gens richent se situent dans la partie Bonheur permanent (une extreme donc ) et les gens pauvres ou dans la guerre etc dans la souffrance immense (autre extrême )


Les gens richent représentent le côté tellement de bonheur je m'ennuie et je dois trouver moyen de donner sens à ma vie. Donc soit ils se fument a la drogue ou toute sorte de vice pour donner sens a leur vie, soit il continue de chercher et bien souvent ca fini mal ou tres bof


Les gens en pauvreté extrême ont eu une grande resistance à la souffrance et une grande sensibilité au bonheur. Chaque onde de positivité est perçue comme miraculeuse et la mort d'un proche perd de l'effet au vu du nombre de mort dans la vie d'une personne tres pauvre


Les gens richent s'ennuient donc et vont vers le carnage et la deconstruction de soi tandis que les pauvres sont deconstruits de base et vont vers la construction de soi.


Ce sont les deux extrêmes dont lun plongé dans le bonheur et l'autre dans la souffrance


L'humain moyen se situe au milieu et ocille de temps à autre. Malgré tout on observe une tendance chez certaines personnes à vouloir souffrir pour se faire plaisir

Je ninclus pas que le masochisme dedans des troubles comme le trouble borderline ou certains bipolaires . Ce pourrait être des exemples d'une tendance humaine inconsciente de vouloir se rapprocher de la souffrance pour de ce fait donner au bonheur une rareté et donc une valeur plus importante que la souffrance et donc un effet benefique accru dans la construction de l'individu

Quant au fait que Dieu (supposant quon lui donne sa place ici) ne puisse pas mettre tout le monde au même stade équilibré, cela réside dans le fait que si Dieu appliquait la chose , il limiterait profondément le champ du possible et l'existence de l'homme, tout comme s'il imposait sa présence incontestable dans ce monde.

Le fait que telle personne soit dans le bien ou le mal et pas une autre c'est dans l'idée que soit il y a un plan préconçu auquel nous n'avons pas accès, soit car l'idée du hasard évite de faire passer Dieu pour un père cruel qui place selon son bon vouloir. Bien entendu le hasard et le plan ne peuvent pas exister en même temps. Voila donc au final selon moi pourquoi l'homme souffre plus qu'il n'est heureux. Et une grande partie de ma theorie peut s'appliquer sans l'existence de Dieu.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire LeFauxCerf ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0