Les derniers mots d'un peut-être

Moins d'une minute de lecture

Hélas mon regard passe par la fenêtre

Le semestre se termine, strident et terne

Face au firmament, je tombe, je m’échoue

J’ai si peur de partir de cette tour d’ivoire

À tort ma cage dorée qui protégeait mon cœur

Dehors, le soleil brille, il fait si beau, si clair

Mirages horribles, orages plein d’éclairs

Le ciel cache les étoiles, il me fait peur

Ô sœurs de la nuit qui vous habillez de noir

Fuyez Fortune et sa misérable roue

Fuyez le temps et sa brillante lanterne

Ou vous deviendrez comme moi un peut-être

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