L'Anglais, Prince, pénètre dans la chambre plongée dans une faible obscurité. La pièce semble vide, figée. Seule la légère respiration régulière de sa promise tranche avec cette sensation d'immobilité.
La femme, repose sur le lit, vêtue de sa robe de bal épousant à la perfection sa taille de guèpe. Le visage de la douce est paisible, plongé dans un profond sommeil. Prince remet derrière son oreille, en un trendre geste, une des mèches de sa promise. Il l'observe amoureusement. Sa main se ballade, en une légère caresse, sur le corps de sa fiancée. Il détaille tour à tour ses lèvres vermeilles maintenues en une pose aguicheuses, comme si elles attendaient un tendre baiser. Elles contrastaient merveilleusement avec la pâleur du visage. La caresse de son promis se prolonge sur sa poitrine, prisonnière d'un corsage bien trop serré, dont les seins cherchent désespérement à s'échapper à la moindre inspiration.

Elle est belle ! Si belle, qu'un organe s'excite dans les braies de Prince.

Ses caresses se font plus insistantes, alors qu'il remonte le long de la cuisse de sa dulcinée. Sous ses doigts, la douce peau de la femme augmente son désir. Bientôt, il atteindra l'endroit convoité. Prince commence à frotter le petit renflement de son doigt, sous lequel un léger bouton durcit. Lentement, d'une main experte, il arrache de légers gémissements à sa compagne. La respiration de celle-ci se fait de plus en plus hachée, à mesure que l'homme s'active en bas. L'excitation de Prince devient, elle aussi insoutenable, d'une main, il défait ses braies, de l'autre il continue de chercher le plaisir de sa dame.

Bientôt, un liquide commence à enduire ses doigts. C'est à cet instant précis, qu'il la pénétra femme. Leur respiration s'arrêtent, une demi-seconde, pour s'éteindrent en un soupir de satiété anticipé. Un doux mouvement de va-et-vient se met en place le plus naturellement du monde. Bientôt, ces caresses intimes crispent de plaisir le corps de la femme. Les lèvres masculines éffleurant son cou en de tendres baisers couvrent de frissons le corps de elle-ci. Lentement, il l'amenait à l'extase, de son savoir faire d'expert.

Il sentit une sensation humide sur sa cuisse. Il se retire et observe le sang :

• C'est vrai que tu es vierge, murmura le tendre amant.

Il était le premier, et le dernier qui découvrirait cette parcelle de la belle.L'ardeur du prince s'en trouva renforcée. Il défit presque bestialement la robe, afin de libérer la sculpture de marbre blanc qu'était le corps de Belle. Aussi doux et brillant que la pierre polie. Il la pénètra, afin de donner libre cours à son extase. Il continua ainsi, de jouer de leurs corps, mordillant les durs tétons de son nouveau jouet de plaisir. Ses coups de reins, se font plus violents à mesure qu'il approche de la jouissance. Ses mordillements se transforment eux, en morsures, laissant des marques rouges cuisantes sur sa nouvelle possesion. Il arrache bientôt des gémissements àla femme, de plaisir ou de douleur? Il n'en a cure en cet instant, alors qu'il s'apprete à deverser en elle sa semence. Après tout, elle doit aimer sans quoi elle réagirait. Sa dertermination en fût renforcée, ses mouvements sont de plus en plus violents. L'amenant au point de non retour, et libérant sa semence en elle alors que le corps de Belle se tordait sous l'action du prince.

Il se retire, reprenant son souffle. Ils restent ainsi côte à côte en silence, un long moment dans le lit maintenant taché de sang. Une petite larme roule sur la joue de Belle, les paupières toujours closes. Elle n'a, de tout l'acte, pas ouvert une seule fois ses yeux. De même que pas une fois, le violeur ne l'avait embrassé sur la bouche. Il se lève, contemple son oeuvre, change les draps en silence et attend deux jours que les marques du corps de Belle disparaissent. Au deuxième jour, il dépose un tendre baiser sur sa bouche.

• C'est quand même bien dommage de gâcher pareille merveille, pensa-t-il en le déposant. Que ne ferais-je pour un royaume?

*********************************************************************************BellBelle se réveille, alors que le baiser prenait fin. Elle observe l'homme distraitement, perdue après son long sommeil de cinq ans. La douleur dans son sexe l'empêche de se concentrer.

• Ma Dame, est ce que tout va bien ? Je suis votre prince, Charmant de mon prénom.
• Je souffre le martyr, messire . Que ... que s'est-il passé ? Où suis-je ?
• Vous êtes perdue, rien de plus normal après un si long sommeil. Une sorcière vous a ensorcelé, et seul un baiser de votre prince, pouvait vous réveiller. J'ai affronté mille dangers pour vous. La douleur doit venir de l'elexir qu'elle vous a fait ingurgiter. Navré de ne pouvoir dissiper les effets.

Belle regarde le beau prince Charmant. Il semble si contrit de ne pouvoir rien faire de plus pour elle, qu'elle tombe sous le charme. Ils s'éloignent ensemble de la masure, vers leur nouveau royaume.
N'est-il pas merveilleux, son prince Charmant ?

Voici la vraie histoire de la belle au bois dormant, ne vous en déplaise.