EXO.

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Pour répondre à ce défi, je n'ai eu qu'à reprendre quelques paragraphes de la Bible qui me sert à écrire et décrire le monde où se situe mon histoire : "Retour à Domina."
La première partie, la planète Exo est juste là pour situer une partie du bestiaire.

Flore, faune et autres étrangetés…

La planète EXO :


Exo est la quatrième planète d'un système solaire dont l’étoile naine orange, est de type K V tout en étant très proche d’un type G.
Elle a pour nom Eridani VGIII dans la constellation de l'Éridan.
Cette planète est au milieu de ce que les astronomes appellent la zone de Goldilocks de son étoile mère.

Un endroit ni trop chaud, ni trop froid, ce qui signifie que l’eau liquide existe à la surface de la planète.
Le climat est comparable à celui de la Terre au Crétacé supérieur (plus chaud que la Terre actuelle).
Exo abrite différentes sortes de vies complexes à sa surface et dans ses océans ainsi que dans les cieux.

Les créatures volantes tirent parti d’une gravité plus faible que sur terre et de la densité élevée de l'air, ce qui leur permet de croître en taille tout en pouvant voler.
Les créatures terrestres et marines peuvent aussi atteindre de grandes tailles.
Dans sa haute atmosphère, il y a des nuages vivants de plancton aérien (nuages bleus et roses) qui étaient la première nourriture du Blob.
Sa croûte terrestre est assez poreuse, permettant la circulation entre l’océan et le manteau magmatique, ce qui entraîne de nombreux évents hydrothermaux, connus sous le nom de fumeurs noirs, mais il y a peu de volcans terrestres, quand ils existent, ils sont de type hawaïen et sont gigantesques.
Exo a eu une activité tectoniquement plus active qu'aujourd'hui, mais son manteau est encore particulièrement actif produisant de puissants panaches géothermiques qui font fondre la glace jusqu’à la surface de la banquise du pôle Sud, exposant l’océan par endroits à la surface des cieux. Cette géothermie débridée génère et maintient une atmosphère plus épaisse que la normale pour ce type de planète.
Une grande partie de sa surface est dominée par de vastes plateaux et des chaînes montagneuses qui se sont élevées très haut, au-dessus du niveau de la mer.

L'altitude extrême de ces montagnes concentre une grande partie de l'activité nuageuse sur la ceinture équatoriale, ce qui entraîne des précipitations régulières très abondantes dans les basses-terres et un climat extrêmement désertique dans les hautes terres.

La température moyenne mondiale est élevée, de l’ordre de 28 degrés ce qui contribue à maintenir une pluviométrie constante et génère un système de moussons.

Les basses-terres de l'hémisphère nord sont constituées de denses vallées fluviales de forêts pluviales qui se déversent dans un grand bassin boueux qui porte le nom de Centrerien.

Il faut savoir aussi que Domina se situe dans l’hémisphère Nord.

Les basses-terres de l'hémisphère sud sont dominées par de petits lacs et des marais d'eau douce entourés de déserts.

Ligéris, qui avait pour nom Mégatoune à l’origine, se situe elle dans l’hémisphère Sud.

Les formes de vie indigènes sont encore primitives, mais elles évoluent vite.

L’écologie est donc dominée pour l’instant par des formes de vie descendantes des importations terriennes transplantées et acclimatées qui l’ont colonisé dans les temps anciens avant l’effondrement dû aux guerres des ressources et du Blob.

La géologie d’Exo révèle aussi une longue histoire d’impacts périodiques d’astéroïdes.

On pense que l’un d’eux devait transporter le Blob, mais les énormes impacts dus aux guerres et à l’effondrement des implantations terriennes ont créé la formation de cratères géants.
Les hautes terres sont encore inhospitalières, l'écosystème natif d'altitude ne s'étant jamais rétabli complètement des bombardements, dont les cicatrices sont encore visibles depuis son orbite.

Aujourd'hui, Exo a un climat particulièrement chaud et calme, en particulier autour des mers cristallines, de la mer de silex, ainsi que des fleuves du plateau central.

Les courants plus forts dans les eaux plus profondes transportent nutriments et chaleur.
La hauteur des marées peut dépasser 25 mètres entre les basses eaux et les hautes eaux par effet de résonance, cela rend la navigation dans ses océans très dangereuse.

La planète a une inclinaison axiale négligeable, et donc très peu de variation saisonnière.
Les lacs salés du plateau central sont très peu profonds, ce qui en faisait le deuxième habitat du Blob l’écosystème qui le soutenait avant la guerre et sa troisième mutation.
Exo avait trois lunes dont deux lointaines, mais une d’elles a été pulvérisée dans le passé par une catastrophe inconnue.
Une ceinture de débris existe encore sur l’ancienne orbite de cette lune et un mince anneau de roches pulvérisées et de débris est maintenant en orbite entoure la planète.

Il reste donc deux lunes. La Minore qui est proche d’Exo dont la taille est un tiers plus grande que la lune de la Terre, elle possède un noyau encore en fusion. (Avec le cratère d’un volcan en activité visible depuis Exo « le Cyclope. »).
Et la Major bien plus grosse, plus lointaine, qui semble être en grande partie gazeuse et qui possède des anneaux.

Nénamenzi ville plante :

Nénamenzi, dans l'extrême nord-est du désert, est une jeune citée florissante dont l’idée de base définira un jour les progrès technologiques dont les Samaëliens sont capables.
Les tours de Nénamenzi sont des organismes complètement organiques et vivants qui ressemblent à de gigantesques cactus cylindriques, en forme de piliers mesurant plus de 25 m avec un diamètre de plus de 10 m. De telles structures n’étaient utilisées que par des pionniers volontaires, mais bien qu'elles soient encore spartiates et peu confortables elles sont appelés à être de luxueuses demeures. Les bioprêtres Samaëliens sont plutôt allés dans un sens qui consiste à concevoir certaines plantes de manière à fournir abri, confort, eau, chaleur, fraîcheur, lumière et un peu de nourriture.
Les emblavures de Nénamenzi ont été plantées dans un wadi alimenté annuellement par de petits ruisseaux montagnards. Il n’a fallu que 4 ans avant que les premières habitations soient prêtes à être ouvertes.
Durant ce temps, les futurs habitants ont creusé des galeries dans l’une des falaises pour se loger, aménager des citernes et cultiver des champignons, en outre ils ont planté autour de leurs futures maisons une flore résistante à la sécheresse.
Dans peu de temps, ce sont 51 tours qui abriteront beaucoup de monde et Nénamenzi qui a donné son nom à cette région habitable sera un des ports du Grand Désert, mais la petite ville est déjà une destination populaire pour les jeunes architectes, les bioprêtres et les nomades.


Les Chanys Yamatas :

Les Chanys Yamatas sont de grands tripodes terrestres filtreurs, leurs pieds faisant office de bouches ils puisent leur nourriture dans le sol. Ils habitent le désert du Centrerien dans le brouillard épais de ces régions désolées dépourvus de toute vie végétale complexe, les plaines du désert sont composées d'un substrat mou, semblable à de la boue, riche en minéraux et en nutriments. Les Chanys Yamatas font partie des animaux les mieux adaptés à ce biotope étrange.
Les femelles libèrent leurs œufs dans l'atmosphère, où ils s’éparpillent au hasard des vents. Ceux qui atterrissent dans les flaques d'eau écloront sous certaines circonstances qui restent encore mystérieuses.
Commençant leur vie sous une forme minuscule dans de petites flaques d'eau, ils éclosent dans un monde microscopique et aquatique ainsi, ils commenceront leur cycle de croissance dans un sol humide.
Le Chany Yamata a besoin de périodes de mue tout au long de sa vie.
Ceux qui évitent la prédation ou la maladie sont capables d'atteindre des proportions gigantesques.
Devenir aussi grand les rendra finalement sédentaires. Leur poids colossal les enracinera sur ce substrat épais. Ceux qui réussissent à atteindre de telles tailles, deviendront presque méconnaissables. Leurs corps se couvrant de la boue épaisse qui les entoure.
Ce « cocon » offrira également un certain degré de protection pendant les périodes de mue et pendant les tempêtes et les pluies torrentielles qui affectent cette région. Beaucoup d'autres créatures habiteront ces montagnes que sont les Chanys Yamatas, certaines dépendront entièrement de ces constructions qui leur fournira un abri adéquat et une source de nourriture.

Le kurt :

Le kurt était un animal qui avait évolué à partir d'une espèce hybride de pachydermes et de tapir, de sorte que sa ressemblance avec les ongulés de la Terre était due à une évolution convergente.
Il était utilisé pour tous types de travaux, pour être monté, tracter des chariots, ou porter des charges, cette espèce était du genre placide. Certains avaient été essayés dans l'art de la guerre, mais ils étaient décidément trop lents. Sa robe était généralement grise ou beige, sa peau glabre facilitait son toilettage, son cuir était très apprécié, car épais et souple, il possédait une petite trompe préhensile très musclée qui lui permettait d'arracher les joncs, dont il faisait son ordinaire, le mors était possible, mais mal supporté par l'animal, de plus sa dentition était capable de tout broyer, mors compris. En revanche, il répondait facilement à la voix, donc aux ordres de son conducteur.

Le roojas :

le roojas était carnassier et rapide, c’était une sorte d’autruche ou d’émeu, l’évolution ultime d’un vélociraptor, animal retors, coureur rapide, infatigable, terriblement dangereux pour celui qui le montait, ou pour celui qui croisait sa route, il avait l’intelligence des prédateurs vivant en meute, avec la même hiérarchie que les loups.
Tenter de monter une femelle ou un mâle alpha, tenait lieu du suicide, ou de l’inconscience, voire des deux.
En posséder un et le monter était la marque des chefs, des grands guerriers.
Cela impliquait des années de dressage, la création d’un lien presque télépathique entre l’animal et l’homme.
Le roojas ne supportait qu’un unique maître et son maître ne pouvait monter que lui, car le volatile était d’une jalousie maladive. Cet étrange oiseau courait aussi vite, voir plus vite qu’un cheval, il était capable de faire des bons de plus de quinze mètres sans aucune difficulté, son bec énorme capable de déchiqueter n’importe quoi, ressemblait à celui d’un aigle, sauf qu’il mesurait plus de trente centimètres, c’était une arme redoutable, au même titre que ses ergots.

Le tri-bosse :

Le tri-bosse, de la famille des camélis est une sorte de chameau qui comme son nom l’indique possède trois bosses, en outre il a six pattes qui ont la particularité de pouvoir pomper l’humidité par leurs coussinets plantaires. Son pelage est blanc voire argenté. C’est un animal qui a souvent mauvais caractère.

La noutre :

Elle est très ressemblante aux loutres terriennes, aussi bonne nageuse, aussi joueuse, peut-être trop.
La noutre de rivières forme une niche similaire aux crocodiliens dans des environnements trop froids, ou trop exposés pour les reptiles.
Son corps était plus long que celui de la loutre, avec des postérieurs courts et palmés, mais avec des antérieurs plus longs.
Sa queue ressemble à celle du castor, quoique plus longue, plus étroite et surtout avec le côté le plus plat non pas à l’horizontale comme pour le castor, mais à la verticale.
La tête est très expressive, avec une mâchoire puissante et des crocs pouvant mesurer quatre centimètres. Ses oreilles sont petites et mobiles, elles peuvent être entièrement fermées.
La queue est recouverte d'une peau épaisse et écailleuse, alors que le reste du corps est recouvert d'une fourrure semblable à celle de la loutre.
Ces animaux intelligents et grégaires aiment vivre en meute et ne craignent pas l'homme, elles ne l'attaquent que pour se défendre.
Il faut savoir qu’un individu peut peser plus de 40 kg, 40 kg de muscles, d’agilité avec une intelligence supérieure à celle d’un singe.
Les femelles présentent la particularité de s’accoupler avec plusieurs mâles qui leur sont tous dévoués.
Il y a tellement d’histoires de légendes à leur sujet, qu’on pourrait en parler toute une nuit, tout un jour, et même plus.

La taupe dorée :

Parmi les mammifères pouvant vivre dans le désert, seules les taupes dorées peuvent « nager, plonger » dans le sable. Elles n'ont pas de terriers, car elles sont en constant déplacement. Leurs prédateurs principaux sont le pinsamort et le cracyiène contre lequel elles pratiquent la défense dite en boule de hérisson.
Bien que très semblables aux taupes, ces créatures adorables ne sont pas de proches parents des taupes, elles sont surtout nocturnes, elles mangent des acariens, des fourmis, des sangsues des sables, ainsi que d'autres insectes. Complètement aveugle, elles se fient à leur sens de l'odorat qui est très sensible et à l'utilisation des récepteurs électriques, présents sur leur mâchoire inférieure et sur leur truffe écailleuse. Elles sont capables de capter de subtiles vibrations émanant du sable dans un rayon de plusieurs dizaines de mètres. Puis, en utilisant leurs puissants membres antérieurs, elles peuvent rapidement et efficacement atteindre leurs proies.
Grâce à leur style de vie nocturne, elles sont épargnées par les chasseurs à sang-froid qui en général chassent la journée. Les nomades les utilisent pour nettoyer leurs tentes, car en plus d’être efficaces, elles sont très affectueuses, leur chair est loin d’être délicieuse, et leur fourrure en cas de contrariété devient une véritable pelote d'aiguilles urticante.

Les sangsues des sables :


Ce sont de petits mollusques assez semblables à des vers qui s'enduisent d'un mucus qui leur sert à s'enrober d'une croûte de sable. Elles ne peuvent se déplacer que sur quelques dizaines de mètres, ou profitent du vent qui dans ce cas peut les emporter sur de longues distances. Elles sont attirées par la chaleur, elles se gorgent du sang de leurs victimes comme de minuscules vampires. Les sangsues, quel que soit leur sexe, se nourrissent de sang. En cela, elles se distinguent des moustiques.

Etc...

Les iŭga :

Les iŭga, (iŭgum au singulier) est un cheptel de bétail humain, de sous esclaves. Elles sont connues, exploitées et vendues sur le continent en dessus de la mer de Silex, ainsi que sur une mince frange du continent Sud bordant cette même mer. Elles sont en quantités plus que suffisantes et se marchandent bon marché. De sorte que leurs propriétaires permettent à leurs contremaîtres de les gérer très durement, de les nourrir au meilleur coût, de les torturer à loisir. Les vêtements sont considérés comme une dépense inutile voir interdite par les lois de soumission. En règle générale, cela coûterait plus cher de bien les traiter et de les garder pendant des décennies, plutôt que de les conduire durement, jusqu'à l'épuisement et d'acheter de nouvelles iŭga, à mesure qu'elles meurent à la tâche, ou qu'on les « déposes ». Toutes les iŭga sont régulièrement fouettées et l'idée d'intimité ou d'espace personnel est quelque chose qu'elles devront oublier. Donc sauf exception les iŭga, seront toujours tenues complètement nues et chauves., leurs bras sont toujours enchaînés quand elles ne travaillent pas. Le nez, les seins, le sexe, sont toujours annelés.

Une iŭgum peut porter des tatouages, des scarifications, des marques au fer rouge, des mutilations de toutes sorte. Son sexe n'est pas seulement épilé, mais bagué et peu avoir une médaille gravée. Elles ont toutes un tatouage sur le front qui indique leur qualité d’iŭga. Enfin, parfois, elles ont une autre chaîne autour de la taille qui peut être utilisée pour les garder sous contrôle. Le conditionnement adéquat des nouvelles iŭga, est un déterminant important de leur valeur à long terme. Garder les nouvelles acquisitions nues, enchaînées, bâillonnées, violées aussi souvent que possible est fortement recommandé. De plus, l'installation de piercings sur l'anatomie sensible facilite une correction facile et douloureuse, aidant au contrôle physique et mental des esclaves les plus récalcitrantes. Il est également obligatoire de les raser complètement. Non seulement cela empêche la propagation des parasites, mais cela aide également à déshumaniser ce nouveau bétail, tout comme le fait d’avoir de nombreux rapports zoophiles, ce qui accélère le rythme de leur dressage, car c’est bien de cela qu’il s’agit. La paresse persistante, la désobéissance et les pensées contestataires, ne doivent pas être prises à la légère. À première vue, si un conditionnement insuffisant ne semble affecter qu'une seule iŭgum, il peut en fait menacer de contaminer le cheptel entier du bétail. En tant que tel, plusieurs mesures strictes sont recommandées, comme l’isolement, la torture et l’exécution publique des plus rebelles, avant d'introduire les nouvelles esclaves dans le troupeau existant. Cela minimise le risque de contamination des autres iŭga et facilite la transformation des nouvelles esclaves en travailleuses dociles et obéissantes. De toute façon une iŭgum, ne le devient vraiment, que lorsque sa peau devient bleue. À ce niveau de transformation, son cerveau est modifié pour en faire de véritables soumises sans volonté propre.

Il existe trois sortes d’iŭgum :

L’ante : celle qui n’est pas encore bleue et qu’il faut dresser durement en attendant sa mutation.

L’iŭgum commune : elle est bleue, sans volonté, presque sans mémoire, souvent incapable de s’exprimer normalement. Elle est très forte, bien plus qu’un homme en tout cas. Très endurante, elle est toujours excitée sexuellement, comme atteinte d’une nymphomanie permanente. C’est pour cette raison que souvent on l’enchaine les mains dans le dos.

La clamor : très rare, car son cerveau n’est pas modifié et qu’elle peut tuer grâce à son hurlement. Elle est très dangereuse. De plus, elle est tout de même modifiée physiquement, car elle est encore plus forte, plus agile, plus endurante, qu’une iŭgum commune. Lorsque l’on en détecte une, elle est soit éliminée, soit vendue à un Hors-Loi, seul capable de gérer ce genre d’animal.

Comment expliquer les iŭga ?

Simplement par le manque de moteurs, l’absence d’un grand nombre d’animaux de trait et la découverte du cycéon d’iŭga, un ingrédient mutagène facilement cultivable.

Provideur* : à l’origine le mot qui désignait le chef des placiers était « proviseur » mais il a été changé par « provideur ».

Res* : abréviation de respectable pour un homme libre, terme Dominien.

Arphanges**(1 arphange ou parasange = 3 km).

Ligéris*: grande ville au centre d'un désert, elle est gouvernée par plusieurs races (plus d'explications plus tard.)

La deuxième heure du dernier carré* : (sois à peu près 21h heure terrestre.)

Gémonies* : (Escalier dont la rampe qui gravissait le flanc nord-ouest du Palatal, était ornée de potences et de cages de fer qui reliait les prisons à la citadelle, on y exposait donc dans des cages des suppliciés destinés à mourir de faim et de soif et leurs cadavres y pourrissaient jusqu'à n'être que la couche du suivant).

Stola* : (Robe des dames libres).

Thyrse* : (Attribut de Dionysus et de sa suite, constitué par une tige souple surmontée d’une pomme de pin, d’un bouquet de feuilles de vigne et d’une touffe de lierre. Ici le thyrse d'Honorata est sculpté dans une branche d’un des plus vieil arbre de la forêt étrange.)

Vestale* : (Prêtresse de Vesta, qui entretenait le feu sacré et était astreinte à la chasteté, ici littéraire femme d’une grande chasteté).

Dionysies* : (Le rituel dionysiaque était caractérisé par des processions très animées, où chanteurs et danseurs interprétaient un hymne dit dithyrambe. Beaucoup des participants, peut-être sous l’effet du vin, et de l'alcool du Moggave entraient dans un délire mystique. Dans les cités, et notamment à Domina, les dionysies représentaient dans l’année six périodes de fêtes, les plus importantes étaient les grandes Dionysies, célébrées au printemps pendant six journées. Les trois dernières étaient consacrées à des représentations de la vie du dieu).

Très Grand Préfet du Prétoire* : (Général en chef des Prétoriens et ministre des légions).

Augustule* : (Sers à qualifier les princes ou les rois, ici second de l’empereur).

Naos* : (Partie intérieure du temple où se trouvait placer la statue de la divinité ; sanctuaire).

Cloaca Maxima* : (Égout principal de la ville).

Milliaire* : (1500 m, autant de pas, qu’entre son trône et la base de la colonne.)

La Kathisma* : Loge monumentale de l'empereur. Cette structure à deux niveaux comprenait, outre la loge proprement dite, une salle de réception et communiquait directement avec le palais dont l'accès était barré par deux portes de bronze. La kathisma servait aussi à des cérémonies religieuses d'où le Cakravartin bénissait la foule et ses armées.

toises*: (ancienne mesure de longueur, valant 1,949 m)

merir*: cordon en poil de tri-bosses ou en laine qui retient le kefieh sur la tête, donner son merir signifie que l'on se décharge sur le nouveau possesseur du soin de son honneur, c'est aussi le ronnaitre pour chef.

Patrologie* (étude de la littérature Messienne, qui comprend l’histoire des doctrines de l’Église Messienne).

Provéditeurs* : Ces magistrats, trois en nombre et comparables aux édiles romains, ont comme rôle : D'entretenir la propreté de la cité, de réparer ponts et pavés, de mettre la police sur les navires, pour éviter des surcharges, de connaître les privilèges des citadins, de taxer les nouveaux livres, d'exercer autorité sur les confréries d'artisans et les gondoliers de traverse. Ils prestent une charge de 16 mois et disposent d'une voix au Sénat.

La première heure du deuxième carré*: ((Soit à peu près 7 h 30 terrestre.) Sur Exo, un jour se partageait en 4 tranches divisées elles même par 4.)

Häkim*: maire.

Putae* :

Maître loueur* : ce dit d'un maitre occasionnel client de plus d'un jour dans un bordel ou d'une personne qui loue dans une officine spécialisée un, une esclave, iota, Iŭgum.

L’exomide ou exomis*: tunique courte servant en général de tenue de travail, utilisée par les marins, les soldats, et les ouvriers (libres ou esclaves). Elle se compose d’une seule pièce de tissu drapée autour du torse, passant autour de l’épaule gauche et laissant nue l'épaule droite. Elle peut être fixée sur l'épaule par une fibule. Elle est resserrée autour de la taille par une ceinture et s’arrête au-dessus des genoux. L'exomide laisse une grande liberté de mouvement, ce qui la rend particulièrement adaptée comme tenue de travail. L’exomide laisse donc l'épaule et le sein droit découvert ce qui permet de voir le marquage de l'esclave.

Salgon*: ancien Empereur de Domina

Ligne*: ????????????

Domina*: Capitale de l'empire du même nom.

Aquilata*: Une des plus importante villes de Domina.

Plateau du Moggave*:

Squadra *: il s'agit d’une troupe montée en générale 120 hommes.

Civitas*: Beaucoup de citées état possèdent une Civitas, c'est en règle générale la citadelle où siège le gouvernement, le sénat et toute l'administration. Par extension, Civitas peut signifier le « territoire » occupé par une communauté de citoyens.

Resparres*: Titre pour les hommes libres : respectable.

1 arphanges*: égale 3km.

λάϐδα* (le lambda vaut 30.)

cycéon d'esclaves*: Le cycéon, intermédiaire entre la boisson et la nourriture, gruau d'orge et de manioc allongé d'eau et additionné selon les cas d'herbes, de drogues, d'aromates, de laitage et des restes qu'on ne donne pas aux cochons. Son nom vient de ce qu’il faut remuer le mélange avant de l’absorber pour éviter la formation d’un dépôt des matières solides, (c'était le cas à l'origine depuis le cycéon désigne plus une bouillie qu'une boisson.)

Patrologie* (étude de la littérature Messienne, qui comprend l’histoire des doctrines de l’Église Messienne).

Provéditeurs* : Ces magistrats, trois en nombre et comparables aux édiles romains, ont comme rôle : D'entretenir la propreté de la cité, de réparer ponts et pavés, de mettre la police sur les navires, pour éviter des surcharges, de connaître les privilèges des citadins, de taxer les nouveaux livres, d'exercer autorité sur les confréries d'artisans et les gondoliers de traverse. Ils prestent une charge de 16 mois et disposent d'une voix au Sénat.

Nonce*: Prélat chargé de représenter, de façon permanente ou temporaire, la papesse auprès d'un gouvernement étranger. (On dit aussi nonce apostolique.) Si à l'origine ce mot était masculin du fait de l'évolution du clergé Salamandrin, il peut être utilisé au féminin.

Le Harag : @vinzwallbreaker@
Ce grand suidé pouvant atteindre selon certains six pieds de hauteur au garrot et peser cinq quintaux est parfois appelé à tort sanglier d'Erymanthe, car ce fut dans ces montagnes que fut tué le premier spécimen. Les défenses du mâle qui saillent sur les côtés de son crâne peuvent mesurer jusqu'à deux coudées et représentent des armes meurtrières contre ses prédateurs mais aussi contre les autres mâles. Contrairement au sanglier, c'est un animal peu sociable qui vit isolé sauf à la saison des amours. La femelle, plus petite et souvent dépourvue de défenses, s'occupe seule de sa progéniture (portée allant jusqu'à six petits) et met bas au mieux tous les deux ans. Animal omnivore, certains racontent que les mâles peuvent attaquer et tuer des humains pour les dévorer en période de famine mais aucune preuve en ce sens n'a jamais été produite. Il en demeure que c'est une bête farouche et imprévisible qu'il vaut mieux éviter. Une rumeur jamais vérifiée prétend pourtant qu'un individu aurait été un jour dompté par un Hernim.

Herbe d'embrouille: @meynaf@
Une herbe qui semble normale, quoi qu'un peu plus vivace que l'herbe environnante.
Couvre toute une zone de quelques mètres carrés, mais tous les brins d'herbe ne sont en fait qu'une seule plante.
Quand quelqu'un marche dans la zone, l'herbe l'attrape et tente de le faire tomber.
Si elle y parvient, elle l'attrape, le maintient, et tente d'entrer en contact avec une partie dénudée.
Une fois ceci fait, elle lui suce le sang, du moins une partie, puis le relâche...

Chardon de feu: @meynaf@
Un chardon tout bête, avec une ou plusieurs boules rouges.
Pousse avant tout sur le flanc des volcans actifs. Plutôt rare, donc.
Un bon herboriste peut concocter des potions aux pouvoirs curatifs extraordinaires avec, qui soignent même des troubles d'origine magique.

Herbe noire: @meynaf@
Si rare que bien des gens la prétendent tout simplement éteinte.
On dirait du gazon, sauf qu'elle est noire.
Manger une telle herbe redonne aux magiciens une fraction de leur énergie magique.
Mais elle aurait d'autres propriétés encore plus extraordinaires...

Araignée d'eau: @meynaf@
Un énorme corps chitineux, perché au bout de huit longues pattes aux pieds en forme de ventouses ; un sang vert, épais et visqueux, à l'odeur vireuse ; une paire de grands yeux pâles et globuleux ; un sifflement strident en guide de cri : telle est l'araignée d'eau, qui vit dans les étendues d'eau.
Bien qu'elle ne dispose pas du poison virulent des autres types d'araignées, c'est un redoutable prédateur, qui glisse sur l'eau dans un silence presque total.

Homme-chien: @meynaf@
Les hommes-chiens ont un corps d'homme et une tête de chien. Ils ont le corps recouvert de poils et une queue de chien, mais ils se tiennent debout comme des humains, dont ils parlent le langage.
Les hommes-chiens font d'excellents soldats et des gardiens fidèles, ils sont cependant dénués d'initiative et ne font qu'obéir aux ordres - leur sens de la discipline est exemplaire.
De ce fait, il n'est pas rare d'en trouver dans l'entourage de gens mauvais, qui tâchent de s'en assurer les services.

Hydre rayée: @meynaf@
Un peu comme l'hydre classique, à la différence qu'elle n'a que deux têtes et que son corps est couvert de larges rayures noires.
Ceux qui ont survécu à la rencontre disent cependant qu'ils auraient préféré rencontrer une hydre ordinaire...

Mahvislum: @meynaf@
Le mahvislum ressemble un peu à un quadrupède, une sorte d'ours visqueux quand il est vu de loin, et certains disent qu'il change tout ce qu'il touche en plante animée : lui-même serait une victime et ainsi de suite.
Il est conseillé d'éviter les marais où il vit, car ses soudaines apparitions ne laissent que peu de chances à l'infortuné voyageur.

Mouche-harpon: @meynaf@
D'un noir diapré, grosses comme des pigeons, les mouches-harpons ont l'air inoffensives au premier coup d'oeil. Leur tête semble porter une trompe allongée, mais il s'agit en réalité d'un dard empoisonné, effilé comme une aiguille, que les mouches-harpons peuvent projeter à distance sur une cible.
Elles ne produisent qu'un dard à la fois, et quand celui-ci a été lancé, elles mettent une semaine à le remplacer.
Le poison paralyse la victime, sous la peau de laquelle les mouches femelles viennent déposer leurs oeufs afin que les asticots disposent d'une réserve de viande abondante quand ils écloront.

Serpent de mer: @meynaf@
Redouté des marins, le serpent de mer a une énorme tête, portée par un long cou sinueux, sa gueule est hérissée de crocs terrifiants qui mesurent une bonne vingtaine de centimètres, et il s'en écoule un liquide visqueux et verdâtre.
Ces créatures se déplacent trop rapidement pour qu'un navire ou un nageur puisse espérer les distancer, et elles aiment bien s'offrir quelques marins pour leur petit déjeuner...
Leur corps fait une bonne dizaine de mètres de long, mais il reste en général dans l'eau tandis que le monstre combat, et n'est donc pas visible.
Lors de son attaque, le serpent de mer commence par infliger d'importantes avaries au bateau afin de le couler, car il est incapable de grimper sur le pont.

Azimaras: @vinzwallbreaker@

(ou algues traitres) qui poussent dans les eaux calmes des étangs de montagne. Plante apparentée aux plantes carnivores, si on s'y prend les pieds, c'est la mort quasi assurée. Par noyade, puis ensuite lentement digéré. Elle se reproduit par bouturage naturel. A la saison des pluies ou des fontes de glace, des brins se détachent de la plante mère pour se laisser porter par le courant jusqu'à une nouvelle zone calme pour prendre racine sur les berges et s'étendre sur le fond, de sorte qu'on ne la voit pas toujours...

La deuxième du troisième carré* : (Sois à peu près 15 terrestre.)

Áodàixẻtà* : c'est une robe qui peut être unie et répondre à un certain code de couleur pour les uniformes de certaines professions, mais elle peut dans les autres cas être multicolore, posséder de nombreux motifs et être faite en différentes sortes de tissu. La partie supérieure, de coupe très près du corps, est composée d'un large décolleté avec des manches courtes. La fermeture se fait discrètement sur un côté ( gauche pour une célibataire, droite pour une femme mariée.) par de petits boutons en nacre ou par un lacet ; La partie inférieure, fendue sur les côtés jusqu'au-dessus du bassin, est faite de deux pans descendants jusqu'au-dessus des chevilles, un des coté peut porter des boutons dont le nombre dépent du nombre d'enfants. L'Áodàixẻtà est essentiellement un vêtement féminin qui habille uniquement les femmes libres. Cependant, la fente de la tunique qui remonte en général, quelque 2 ou 3 centimètres plus haut que les hanches, laisse ainsi découvert de chaque côté le bassin ainsi que les jambes, cela permet souvent d'apercevoir l'entre jambe cette ouverture est surnommée le « triangle du Frisson ». bien-que les femmes de Yuchekha connaissent les sous vêtements elles sont peu à en porter.

L’exomide* : ou exomis est, une tunique courte, ( très courte pour les esclaves, pour que l'on puisse voir les marques de servitude.) servant en général de tenue de travail, utilisée par les marins, les soldats, et les ouvriers (libres ou esclaves). Elle se compose d'une seule pièce de tissu drapée autour du torse, passant autour de l'épaule gauche et laissant nue l'épaule droite. Elle peut être fixée sur l'épaule par une fibule si la personne est libre, dans le cas contraire elle est simplement nouée. Elle est resserrée autour de la taille par une ceinture. L'exomide laisse une grande liberté de mouvement, ce qui la rend particulièrement adaptée comme tenue de travail.

Rhombe*: tunique courte en forme de losange. Sa forme de base est simplement un losange (à titre indicatif : 1,2×0,60m) percé d'un orifice central était largement ouvert, pour passer la tête, ou les hanches. Cette pièce de tissu ne comporte ni ourlet ni ceinture. l’esclave pouvait soit y passer la tête, soit la taille, dans un cas, on avait une coutre robe, dans l’autre une jupe.

Écharpe*: Pièce de tissu de 1,8m de long sur 0,15m de large, ses extrémités sont lestées afin de ne pas s'envoler. Comme les esclaves ne sont pas autorisées au port d'une fibule elle passent l'écharpe dans un des anneaux de leur collier. Si le maître le permet il autorise l'esclave à mettre une ceinture.

Caupona* (plu) cauponae: Auberge dont le comptoir est ouvert sur la rue.

Caupo*: Aubergiste.

Resparres*: (C’était une formule de politesse pour désigner quelqu’un de très important dont on ne connaît pas le nom. En gros, cela voulait dire respectable parmi les respectable.)

Regparres*: même chose que plus haut mais s'applique aux régénérés.

Cimarium*: Métal supraconducteur à température ambiante.

Doryphore*: Les doryphores (porte-lances) étaient des soldats de l'armée des Tisons qui, marchaient devant le char du roi, ils formaient un corps de 15 000 hommes. À partir de la chute du royaume, ils deviennent des mercenaires. Leur nom vient de leur armure, de leur casque, de leur bouclier en bronze doré. Honorius dispose de doriphoroi, (autre nom pour les désigner.) qui composent la garde de Palais.

Le'aokuu*: sacoche de cavalier généralement en cuir qui s'attache à la ceinture et sur la cuisse.

Médaille du Libre Passage* : ??????????????

péquins*: porteur de pique en général des paysans peu formés aux arts du combat.

Smeurks* ???????????

Chevaliers Rouges du Tau de Feu*: ?????????????

Camélis*: autre nom du tris-bosses*.

Pinsamort*: sorte de Scarabée géant vivant sous le sable meuble.

Caudalia*: boisson à base d'alcool et du sang de Samaël.

Canis*: reptile ressemblant à un loup.

Désert Caché*: ????????

Scramasaxe* : Les scramasaxes ou saxes ou Breitsax* sont des couteaux longs affutés d'un seul coté sur les deux tiers de la lame, qui pouvaient être utilisés au combat. Leur origine n'est pas très claire.

La Vallée des Larmes*: ???????

Thorv*: ????

rugors* : j'ai le nom mais pas l'animal si quelqu'un a une idée je prends.

Capitouls* : Membres du conseil d'une ville libre.

Champ du Lys* : Bataille entre les Dominiens et l'Empire de l'Est, Honorius et Ser étaient les généraux de la réserve et du train.

Labrulbergens* et les Krizzons* : Peuples du Nord alliés de la reine Igfrid.

Bataille du Plateau de la Lune* : Grande victoire d'Honorius.

Gn’eiss* : Les Gn’eiss des sous-espèces humaines modifiées qui vivent à Ligéris, ex Mégatoune, cette race s’était retirée dans des grottes, des tunnels sous la ville de Ligéris, sous terre elle a appris à cultiver les moisissures et les champignons exotiques d’Exo. D’une certaine façon elle est très proche de leurs cousins Cimmériens de l’hémisphère nord. L’inventivité de ce groupe de « tunneliers » s’est révélée être un franc succès, car il a construit de grandes forteresses et de grandes villes souterraines tout à fait adaptées au climat désertique, puis les Gn'eiss ont colonisé à nouveau la surface du désert et ils ont mis au point un grand nombre de technologies grâce à l’aide des Caudalis (eux tres proches des Valdhoriens). Ce sont les alliés des Samaëliens. Les Gn’eiss ont la peau sombre comme l’ardoise. habitants des niveaus inférieurs de la cité état de Ligéris Ils sont à l'origine de sa chute, les Gn'eiss ont la peau d'un noir profond, ils ont aussi une connaissance innée de la géologie et des métaux.

Consistorium* : plus communément appelé conseil des 12, y siège, entre autres les proches d’Honorius à savoir Ser, Garm, Honorata, Dame lupus, Toila, Igfride et la mère d’Honorius. Ce conseil est au-dessus du sénat, il a tout pouvoir mais il œuvre le plus souvent en toute discrétion, mais il doit rendre compte non pas au Sénat ni aux Dominiens mais à la Guilde qui est leur bailleur de fonds.

Bren*: chef politique et militaire ayant un rang équivalant à celui de prince pour les peuples Nordiques.

Kazar* : correspond au titre de César.

Ergastules* : dortoir des esclaves.

Leno* : autre mot pour désigner un proxénète.

Has : avec 1 has on peut acheter un bol de soupe, avec 2 has une chope de bonne bière.

mensae delphicae*: une table à trois pieds.

Deimos* : Dieu de la peur.

Phobos* : Dieu de la panique.

D’Évole* : le dieu des vents des grands canyons et des cascades.

Styxman* : connu aussi sous d’autres noms comme : Charon, le passeur d’âmes. C’est lui qui transporte les morts à leur destination finale.

Gubernator* : celui qui tient les rames du gouvernail.

Gorges Hurlantes* : le seul passage navigable pour remonter le Tibre, durant la mousson, il est impraticable, aussi durant cette période, on place les bateaux sur des rails et on les tire jusqu’à Caestrum-Heltary où le fleuve est navigable à nouveau, quelle que soit la saison. Il est prévu le creusement d’un canal entre la Grande Cluse et Caestrum-Heltary.

Chutes d’Évole* :

Aquilata* : deuxième cité de l’Empire Dominien tant par sa population et par sa position stratégique.

Patron* : chez les Dominiens, le patron est un protecteur, un employeur, souvent ses clients sont des affranchis ou les membres de sa famille au sens large.

Baculs* : pièce de harnachement des bêtes et des hommes pour le halage à laquelle s’attache la corde de traction.

Llagut* : il était utilisé pour le transport, propulsé à la voile, à la rame ou à la perche, ou halé par des animaux ou des hommes. De caractéristiques très différentes du llagut de mer, il pouvait transporter plus de 30 tonnes de produits agricoles ou de matériaux de construction entre les différents ports du fleuve. D'une longueur ne dépassant jamais 20 mètres, étroit, il était non ponté.

Coudée* : la coudée Dominienne est égale à peu près 50 cm.

Praetorium* : Tente du général dans un camp. Ici, Palais fortifié du préteur dans une province.

Arcani* : le vrai terme est Areani, Arcani est une faute, une coquille qui est restée. Ce sont les Agents secrets, des espions passés entre les mains de Metamoto le maitre d’armes. Ils sont là pour protéger l'intérêt de l'Empire et la personne d’Honorius. Les Areanis éliminent souvent les fauteurs de troubles.

Summa supplicia* : Le droit Dominien appelle summa supplicia les supplices infligés à un criminel pour le mettre à mort : ce sont le feu, la crucifixion, l'envoi aux bêtes et le culleus (prévoyait que, dans le sac, avec le condamné, soient aussi enfermés un singe, un chien et une vipère : pendant la noyade et dans l'étroitesse de l'espace à l'intérieur du sac, les animaux mordaient le condamné.) Ces cruelles peines de mort sont presque toujours réservées aux catégories sociales inférieures ainsi qu’aux esclaves.

Échauguette* : guérite de guet généralement placée en surplomb sur une muraille fortifiée, une tour, etc.

Bretèche* : sorte de guérite souvent rectangulaire en saillie sur la muraille et construite sur mâchicoulis pour battre verticalement un point faible, porte, angle mort.

Kazar* : Nom du premier Empereur après la disparition des Empereurs du Ciel.

Accubita* : Lit de repas.

tchaï* : Boisson chaude ou froide, ressemblant au thé quoiqu'ayant un léger goût de violette et de prune. Elle est forte en « vigilite » (substance proche de la caféine et de la taurine.)

Golem*: (sorte d’automate à forme humaine que de saints rabbins avaient le pouvoir d’animer)

chapitre 27

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