Chapitre 60

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Yéléna se tenait debout avec toutes ces femmes excité pour savoir qui allait attrapé ce maudit bouquet.

- 1. . . 2 . . . 3 . . .

Yéléna s'apprétait à quitter ce groupe de taré quand le bouquet lui attérit dans les mains. Elle lança un regard à Sol qui lui applaudissait soulevant les épaules l'air de rien. Elle qui n'en avait rien à faire, et voilà qu'il lui attérissait entre les mains! Au fond, elle s'imaginait bien avec Sol le grand jour, mais elle ne devait pas le lui montrer, il ne devait pas savoir à qu'elle poing elle le désirait comme époux. Oui, il arrivait que sa fièreté reprenait le deçu! Mais elle avait toujours grand coeur, par ailleur elle refila la bouquet à cette pauvre cruche qui ne s'était pas abstenu de divulguer son mécontentement à sa meilleur amie la marié.

- Faut-il que je te fasse avoué que tu as aprécié attraper ce bouquet?

- Mais pas du tout!

- Tu es une mauvaise menteuse! Il la serra dans ses bras avant de l'embrasser tendrement.

- Tu veux que je te dise?

- Oui dis moi.

- Il est l'heure de ramener ma mère à l'aeroport.

- Ça c'est pas bien!

- Quoi donc?

- Fait pas l'innocente. Il l'attrapa et la porta jusque l'entré. Ses yeux perdu dans les siens il lui donna une ultime vision. Debout devant l'hotel, il l'attendait décontracté. Une arche de fleure aussi belle que celle de Rébécca, elle s'avançait dans l'allé rejoindre son futur époux sous les yeux des invités silencieux estomaché par sa tenu de princesse. Les larmes aux yeux, et tourna du regard pour ne pas qu'il la voie si faible. Il la déposa délicatement sur le sol. Alors?

- Tu es mesquin Sol. Mais, je t'aime, et tu sais ce que je désir. Tout est comme dans mes rêves. . .

- C'est parceque je te connais.

- Promet moi une chose.

- Oui?

- Demande le moi au bon moment.

- Ça tu peux en être sur Déesse Séléné.

À l'aeroport les au revoir sonnait comme un adieu. Yéléna avait du mal à laisser sa mère partir. Elle avait retrouver les siens et Alice en faisait aussi parti. . .

- Prends soins d'elle.

- Je n'y manquerais pas madame O'Connor.

- Aurevoir ma fille.

- Appel moi quand tu arrive.

Les larmes aux yeux elle regardait sa mère s'éloigné dans le couloir. Sol la serra contre lui et l'embrassa sur le front.

- Tu veux faire quoi?

- Courrir. . .

- Alors allons nous dégourdire les pattes ma belle.

FIN

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