Alice Galen. 15 ans. Elle aime, rêver, photographier, en recherchant les moments uniques pour en figer le paysage ou l’instant présent. Passionnée de lecture, d’écriture et de littérature. Sa sensibilité, lui offre la possibilité de s’exprimer avec la plus belle des langues françaises. Celle-ci a commencé à écrire pour partager ses sentiments, ses pensées, ses connaissances. C’était avec les années que la jeune femme s’était replié sur elle-même. Elle était une petite fille très généreuse, et c’est d’ailleurs cela qui l’a achevé. Trop donner sans rien recevoir. Être manipulée par des gens que nous pensions honnête. Sans s'en rendre compte, elle perdait ce qui représentait sa vraie nature et elle a commencé à se remettre en question. L’évidence est, dès à présent, que son besoin de partager, de toucher les gens, de façon subtile et réfléchie est inéluctable. L’écriture est la manière qu'elle s'est fabriqué afin d'associer connaissance et plume, de se libérer, de s’évader du monde trop terre à terre dans lequel elle vit et de concevoir le sien. De pouvoir dire aux personnes ce qu'elle pense de la planète et du comportement de chacun. Malheureusement, n'ayant pas encore pris le temps d'en envoyer à des éditeurs ses réflexions restent secrètes. Un jour elle espère pouvoir faire connaitre ses textes afin que les gens changent leur manière de voir le monde et que ceux-ci arrêtent de procrastiner ce qui ne peut l'être.

Fille de deux parents, rarement à la maison. Son père, Alex Galen, est architecte. Il traque les terrains constructibles à toute heure. Il voyage souvent en quête de terres inconnues (même s'il a dû voir la terre entière). C'est tout juste 1 à 2 fois par semaine qu'il se présente au logis. Sa mère, Emma Galen, est assistante médicale. Elle travaille la nuit et se repose la journée. Pendant ce temps elle étudie et s'occupe de la maisonnée. Elle est aussi sœur cadette de Kylie, 17 ans. Sa sœur, la déesse, incroyablement belle, avec ses ondulations brunes, ses yeux d'aigue-marine en forme d'amandes, sa peau douce, sa silhouette de rêve et son sourire angélique. A vrai dire chacune possède le même, qui fait craquer les garçons. Elle étudie au collège, et autant dire que ses résultats sont plus que parfaits, élève modèle, appréciée de tous les enseignants… Autant dire que ce n'est pas le cas de la benjamine. Elle haïs l'école, les instituteurs se prennent pour des dieux, les cours sont interminables et ennuyeux, puis les devoirs lui prennent des heures : un vrai calvaire. Elle donne à Kylie l'aspect de la femme parfaite, mais elle à ses défauts : Kylie est vraiment très curieuse (elle doit être au courant de tout ce qu'il se passe dans notre village), celle-ci dramatise facilement la vie quotidienne … Et encore bien d'autres.

La petite famille vit dans un grand village suisse. Où rien de très accablant se produit. Non ce n'est pas la Californie ou Alabama. C'est bien mieux, les montagnes surplombent le hameau, un fleuve sillonne la région, la nature emplis l'air d'une émotion nouvelle. Ils fêtent le premier août comme, tout bon suisse. Une vente échange se produit chaque année. Et pendant le mois d'Octobre, il y a la fête du village. La région possède tout de même plusieurs écoles, pour les différents degrés ainsi qu'un collège, fréquentés par beaucoup d'étudiants. Ayant déjà motionné, l'école ce n'est pas la tasse de thé d'Alice. Seule la philosophie et la littérature la réjouisse, les autres branches sont pour elle d'un ennui mortel. Elle aimerait pouvoir vivre tous les jours avec son stylo et son carnet, afin de s'enfermer dans une seconde réalité. Pourquoi s'est-elle lancée au collège ? Souhaitant faire latin-grec, de la littérature et de la philosophie il lui fallait commencer par cet établissement qu'est le gymnase. Les autres branches sont que des accessoires. Elle convient que les mathématiques n'accessoirisent pas le tout, car tous l'utilisent à longueur de journée, néanmoins refusant de pensée que celui-ci est plus important que le français, cette matière ne lui importe peu. Bref, elle n'aime pas l'école. Le lieu, peu médiatisé, reste alors un petit coin de paradis. Elle apprécie le fait que dans ce vingt-et-unième siècles, Ils demeurent transparents et invisibles, bien que, ce soit une localité touristique.

Elle profite, pendant la saison estivale, de travailler dans un sentier suspendu. L'argent que gagnés l'année dernière lui a permis d'acheter son fidèle appareil photo. Et celui de de cet été donnera lieu d'acquérir de nouveaux livres. Etant l'écrivaine passionnée du collège, l'amoureuse des livres et de littérature. Les plus beaux moments sont ce qu'elle partage avec les mots. Afin que ceux-ci ne s'échappent pas elle prend le temps d'esquisser quelques textes au lycée, dans le cahier à spiral de ses récits. En vue de se perdre avec ces fameux mots qui la font vibrer, ces phrases et ces pensées discrètes, même dans ses heures les plus sombres.