Le seigneur avait l'habitude d'exiger pas de notifier mais les nouveaux accords avec les pays voisins l'obligeaient à moins évicérer le menu frottin. Et pour courroner le tout, il devait mettre fin à son agressivité par écrit. Que c'était ennuyeux !

Il finit tout bonnement par déléguer cette besogne à son ministre ivrogne et retourna à ses faits d'armes, mais sans armée à ligaturer.

Il s'ennuyait encore...

"Pourquoi guerroyons-nous ? Pourquoi guerroie-je ? Sûrement que j'aime cela. Peut-être trop ma foi"

L'ennui le guettait encore... encore... sans fin à l'horizon, il baillait et s'étirait de tout son long.

Il fit tinter sa chaîne. Trouva la solution.

"Si je guerroyais sur l'instant, je ne me questionnerais pas tant. Un accord ne peut exister que si les parties survivent".