Réflexions Naturalistes
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Ô Nature, essence de toute vie,
Regorgeant de possibles infinis.
En ton grand coeur généreux nous naissons,
Nous vivons dans ton écrin toutes nos saisons.
Et pourtant tu sais être si cruelle,
Lorsque la Mort arrive sous l'ombrelle
D'orages endeuillés et d'hiver froid,
Ta colère jamais ne nous épargnera.
Sachant la cyclique immortalité ;
L'homme nait et puis meurt, au fin sommet
D'une chaîne de pouvoir destructrice
Qui génère une chirurgie réparatrice.
Mais toujours tu vivras,
Que l'on soit là ou pas
Pour penser la saisissante évolution
Du vaste monde en constante formation.
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