Après quelques minutes pour nous remettre de toutes ces sensations, nous nous sommes relevés et avons commencé à nous nettoyer l’un l’autre. A part ma transpiration, j’étais relativement propre et elle fit cela rapidement. Quand vint mon tour de la laver, je pris soin de retirer délicatement les traces de sperme restantes sur son visage et son corps. Je l’embrassais tendrement en lui disant :

- Si tu savais à quel point c’est excitant de voir mon jus sur ta peau…

- Je crois que je sais, répondit-elle dans un sourire en commençant à masturber mon sexe qui avait déjà regonflé.

Nous nous embrassons et ma main alla vérifier que c'était également excitant pour elle. Elle coupal’eau chaude et me poussa encore mouillé en dehors de la douche, puis de la salle de bain, pour finalement m’expédier sur le lit :

- Allonge-toi !

Après avoir obtempéré, elle ajouta avec un grand sourire:

- Ça y est, on est “tout à l’heure”.

Mon sexe eut un grand sursaut en comprenant le sens de ses paroles. Elle se mit à califourchon au-dessus de mes jambes, me permettant de voir ses seins se balancer. Rouge comme une tomate du fait de son excitation et de l’embarras qu’elle ressentait vis-à-vis des paroles qu’elle s’apprêtait à prononcer, elle me susurra sensuellement:

- Oui, je vais te sucer jusqu’à ce que tu jouisses dans ma bouche. Je suis sûr que tu en rêves, et depuis que j’y ai goûté tout à l’heure, j’en ai vraiment envie…

Elle lécha doucement mon gland, avant de me prendre en main. Tout en me lançant un regard langoureux, elle enfonça lentement ma bite dans sa bouche. Ses lèvres me caressaient sur toute la longueur, et sa langue s’affairait à cajoler le bout. Ses lents aller et retour, couplés à cette promesse de finir en apothéose faisait rapidement monter mon excitation. Au bout de quelques minutes délicieuses, je sentais que j’étais presque au paroxysme du plaisir … mais je n’arrivais pas à laisser mon orgasme éclater. La mort dans l’âme, je lui dis alors :

- Je crois que ça ne viendra pas. Tu fais ça très bien, même hyper bien, mais je crois que j’ai des réticences à te jouir dans la bouche…

Elle sorti mon gland de sa bouche et me répondit d’un air faussement fâché :

- Ha non, tu m’as promis un goûter, je n’arrêterais pas avant de t’avoir bu jusqu’à la dernière goutte ! Dans la douche, tu as joui d’un coup sur mon visage parce que l’excitation t’a emporté ? He bien, j’ai d’autres moyens de te faire craquer !

Elle se leva et déplaça le miroir sur pied de la chambre pour le placer au bout du lit.

- Regarde bien dans le miroir, me dit-elle avec un clin d’œil.

Elle reprit la même position et recommença à me sucer langoureusement en plongeant son regard dans le mien. Effectivement, mon sexe tressauta dans sa bouche avec cette magnifique vue. En remontant mon regard, je voyais ses seins se balancer, ma bite aller et venir dans sa bouche, puis ses yeux gourmands, suivi par son dos sexy qui se finit sur son superbe cul. En continuant, je pouvais voir dans le miroir sa chatte dégoulinante et ses fesses bombées. La tension dans mon sexe commençait à être intolérable, mais je ne jouissais toujours pas. Gardant mon gland au contact de ses lèvres, et avec toujours cette fièvre dans le regard, elle ajouta:

- Regarde mieux. Je porte encore quelque chose depuis qu’on est parti de la maison…

L’une de ses mains alla écarter ses fesses, et je pus alors voir un magnifique rosebud avec un joyau bleu marine qui remplissait magnifiquement son petit trou. Cette découverte plus qu’excitante fit tomber toutes mes barrières et je lui remplis alors la bouche par plusieurs giclées importantes. Ses yeux s’écarquillaient, probablement impressionnée par la quantité lui remplissant la bouche. Elle essayait d’avaler au fur et à mesure, mais du sperme coulait encore le long de ma bite. Une fois l’explosion passée, et le contenu de sa bouche avalé, elle me dit avec un sourire:

- La vache, je pensais pas qu’il t’en resterait autant.

Nous avons alors éclaté de rire, heureux de cette intimité toute particulière nous rapprochant. Elle lécha les dernières gouttes restantes sur moi, remonta à hauteur de mon visage et me dit toujours en souriant :

- Alors, j’irais pas jusqu’à dire que c’est bon, mais c’est loin d’être désagréable. Et en plus, ça m’a mise dans un de ces états…

Elle m’embrassa goulument en amenant ma main sur sa chatte complètement trempée. Et effectivement, quelques caresses appuyées sur son clito suffirent à la faire décoller et elle jouit dans un grand cri libérateur. Elle posa sa tête sur mon torse, et nous nous sommes tous les 2 légèrement assoupis.