Du Sable dans le Vent

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Tic-Tac Tic-Tac*

Ceci est bien le bruit des pendules d'horloges,
Nombre d'individu les voient et ils s'interrogent,
A cause de ses bras qui se branlent toujours,
De gauche à droite font le même aller-retour,
Sur le temps qui passe et, de ce fait, notre vie,
Sur l'existence inassouvie.

Je vous propose ici de voir mes opinions,
Ou plus, tout simplement, toutes mes questions.

Le temps vécu est court, comparé à l'univers,
Et que laisserons-nous comme trace sur Terre,
Qui ne pourra pas être écarté d'un revers,
Une question qui reste tout un mystère,
Et puis, est-ce que tous les objets sont réels,
Si aucun de nos sens, ainsi, ne les perçoivent ?
Sont-ils toujours présents, ou sont-ils tous ponctuels ?
Les apparences sont trompeuses et déçoivent.

Que savons-nous de lui, grand espace infini ?
La connaissance physique ainsi réuni,
Les visions d'esprit ; le chercheur s'ingénie,
S'interroge toujours sur la cosmogonie.
Éprouver toutes lois pour trouver la concorde,
Rêvée entre les forces pour que tout s'accorde,
Combien d'univers ont existé avant nous ?
Le courant de la vie emporte les cailloux.

Passons des questions sur toute l'existence,
A la vie en tant que profondeur, pénitence.
Un voyage constant tel un vaste cours d'eau,
Qui, dès la naissance est reçu comme un fardeau,
L'existence n'est pas un long fleuve tranquille,
Qui peut prendre une odeur de mauvais diacétyle,
Mais elle est un torrent courant vers un abîme,
Certes, propre à chacun, pleine de mésestime,
Parce qu'il faut dire trop calme elle est mer morte,
Donc dites-moi pourquoi avancer de la sorte.

Si vous n'aimez guère la dangerosité,
La vie aventureuse et l'impétuosité,
Essayez la routine, elle est plus que mortelle,
En ce temps, tout devient moins qu'une bagatelle,
Mais attention à vous, ce n'est pas pour une nuit,
Soyez un peu sensé, ayez aucun ennui.

Pour finir tout ceci, toute cette pensée,
Voici ma vision, cependant condensée.

Un navire se doit de voguer sur les eaux,
Se balader, ne pas rester près des roseaux ;
La vie incarne un train et non pas une gare,
Abandonnant les rails, si elle nous égare,
Nous choisissons toujours une direction,
Celle-ci a besoin de l'intellection
Nous flânons constamment, nous musardons sans cesse,
Car pleine de besoins, pleine de sa richesse.

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